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Bonjour,

Je suis en train de courir sur une route défoncée. Tout autour de moi est en ruine mais le ciel est clair et ensoleillé. Le paysage apocalyptique ressemble à une ville, une métropole croulant sous les ruines. Un tout petit chien (une sorte de Yorshire courageux avec de jolies mèches aux bouts de ses oreilles) me suit. On court ensemble parmi les gravas de la route et je me surprends l’appeler de temps en temps par le nom de ma chatte. On passe de nombreux obstacles ensemble.
Nous passons sous un pont et la route (sur laquelle nous courons et qui passe sous ce pont) est jonchée de galets grisâtres et noirs. La route devient inaccessible mais j’escalade le pont aux parois composées de galets noirs. La petite chienne réussi à passer elle aussi et nous continuons à courir jusqu’au bout d’un grand bâtiment (immeuble de bureau) dont l’entrée est bouchée de bétons, chaises en bois, bureaux, meubles encastrés. J’escalade de nouveau un muret d’1,60 m environ, me faisant accéder à ce gros obstacles de chaises et autres que je pousse de toutes mes forces pour que la petite chienne passe elle aussi.
J’arrive à repousser difficilement les décombres. La petite chienne passe. Je saute, retrouve le rez de chaussée et entre dans le hall vide, gigantesque de l’immeuble. Tout au fond, la grande salle est allumée par une ampoule suffisamment forte pour tout illuminer.
J’avance sur mes gardes mais la petite chienne trace droit devant. Je m’inquiète car devant, à sa rencontre, il y a un chien bien plus costaud, genre labrador bâtard totalement noir qui s’avance vers elle. Je l’appelle mais elle continue à courir vers lui et je crains qu’elle se fasse croquer. A ma grande surprise, il n’y a aucune animosité entre les deux animaux qui se font des câlins truffes contre truffes.
je continue mon avancée au bout du hall et là, une porte en bois s’ouvre. Un homme d’une quarantaine d’année barbu, yeux bleus, blond accompagné d’une petite fille aux longs cheveux blonds également m’accueillent. Je jette furtivement un coup d’œil derrière eux et là, je vois une autre salle immense avec à l’intérieur pleins de clones de l’homme blond et de la petite fille blonde. IL referme la porte et je lis dans son regard qu’il me suggère de ne pas m’effrayer, ou m’énerver… Il a l’air de vouloir m’aider. Il sait que j’ai besoin de me reposer. Il ouvre une autre porte où l’ouverture est baignée d’une lumière éblouissante…et je me réveille.

Encore merci pour l’interprétation,

Növae