Mon voyage et mon pull.
Bonsoir!
Ça fait longtemps que je ne suis pas venue ici!
Ce n’est pas tout frais dans ma tête, et le nom des pays était mélangé -mais c’était à priori la réalité dans mon rêve.
J’ai une sorte de déjà-vu.
En fait, je devais partir en Australie -qui est en fait la Nouvelle-Zélande-. Je suis super excitée à l’idée d’aller enfin visiter le pays qui m’a tant attirée. J’avais gagné ce voyage, il me semble, et le billet ne prévoyait pas que je puisse emmener quelqu’un; je partais donc seule. Au comptoir d’une agence qui ressemblait à un comptoir d’enregistrement d’aéroport, je demandais des renseignements et finalisais mon voyage. J’étais nerveuse à l’idée de m’en aller seule, mais incapable de renoncer à ce voyage sans m’en mordre les doigts. Je tenais sous le bras une peluche géante d’un chien que je venais aussi de gagner -mais aucun rapport avec le voyage- avec un tout petit sac en bandoulière. Je devais passer en avion par New York -en Australie, en fait- et tout le monde autour de moi semblait s’inquiéter sans pour autant vouloir me mettre des bâtons dans les roues. J’avais promis de ramener des souvenirs à ma meilleure amie. Au comptoir, il y avait un problème: je n’avais pas l’âge requis, ou c’était le diplôme, je ne sais plus.
Plus tard, dans mon deuxième rêve, accompagnée de mon copain, j’échangeais le pull prune dont je n’aimais pas la couleur contre un vrai pourpre -histoire vraie pour ce que je pense du pull, mais je n’ai pas procédé à l’échange. Je disais également à la vendeuse que je ne comprenais pas pourquoi elle encombrait le pull de papiers et emballages inutiles. Ensuite, je suis passée à la boulangerie. Le décor était gris, comme un sous-terrain. Mon copain m’a aussi félicité pour avoir échangé mon pull.
Merci beaucoup de vos réponses! Bonne soirée!
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Ce sud pourrait aussi être le sud d’un corps humain, là où habitent les désirs, n’est-ce pas? (Ce que je retiens de mes cours de philo!)
Je suis d’accord avec ce que vous dites!
Donc, est-ce qu’on pourrait dire que je suis toujours dans ‘l’intellectuel’? Je devrais donc rejoindre l’endroit de mes ressentis, mes rêves, mes désirs.
On a souvent dit que pour être heureux et s’accomplir, vivre la plénitude, l’on devait entreprendre tout ce qui pourrait nous rendre cette émotion; et donc ainsi éviter partout où l’on ne se sent ni bien, ni à sa place. On me l’a d’ailleurs répété jeudi.
D’ailleurs, l’escale à New York -vers le sud, dans mon rêve- et la représentation claire de la statue de la liberté ne représenterait pas un chemin vers l’épanouissement ou quelque chose comme ça? Je serais libre de tout entreprendre!
Je pense qu’entre le nord et le sud, la destination, il manque l’action pour embarquer. Je crois qu’il s’agit d’aller vers l’environnement qui me convient, où je vivrais dans la luxure et l’abondance. (Car actuellement, mon environnement est tout sauf trop cool: tout y est provocant et abaissant, il s’agit plus d’un endroit négatif où l’on ne pense qu’à s’énerver.)
Pour plus de détails: le niveau ne me sied pas, j’ai l’impression de décevoir ma soif d’apprendre; les adultes encadrants et dirigeants se montrent plus que tout irrespectueux et arrogants, pas un ‘bonjour’, seulement le mépris dans le regard mais il faudrait que nous soyons irréprochables; pas facile de faire quand l’exemple, ni même le retour ne se voit…
Alors, je crois que cet endroit que l’on cherche depuis hier soir n’est que l’endroit à atteindre. Puisqu’il s’agit de kangourous et qu’il n’y en a pas au nord, j’en déduis cela. J’ai d’ailleurs dit que J’Y (là-bas seulement) aurais envie de tout voir et de tout faire, en Nouvelle-Zélande.
Il a l’air tellement simple ce rêve, mais c’est vrai qu’en détails, ça devient plus compliqué! …
Qu’en pensez-vous?