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Avis aux amateurs – voici un rêve étrange fait cette nuit et que je trouve riche de symboles; pour autant je n’arrive pas à le décrypter complètement et j’aurais besoin des quelques lumières. J’ai fait ce mauvais rêve (à l’issue duquel je me suis réveillée brusquement avec une sensation de tristesse et de lourdeur). Il faisait suite, pour le contexte, à l’expérience d’un événement qui a brisé la confiance que j’avais dans le garçon pour qui j’ai des sentiments depuis 1an1/2…
J’étais donc très triste et remontée à son égard la veille, très virulente même, ne voulant plus jamais le revoir. C’est mon étudiant…

La scène se passe dans un hôpital semble t-il, je nen voit que le lit dans lequel repose le garçon évoqué plus haut. Il n’est pas physiquement reconnaissable, mais c’est lui (IL). Auprès du lit se trouve un médecin en blouse blanche, de l’autre côté du lit au plus près de lui, il y a moi, qui suis son autre médecin. Plus loin des stagiaires en blouses blanches observent la scène. IL est mourant. Le médecin chef me demande mon diagnostic. Je ne dis rien. La scène subit une recomposition totale: IL a disparu et tout le monde le recherche car il est toujours mourant et donc en danger sans soin. On m’accuse d’être coupable de son état. Je me sens coupable et la sensation de culpabilité est très prégnante dans le rêve.

Je le retrouve dans une camionnette, sous une boîte à outils elle-même dissimulée sous un amoncèlement de tuyaux. IL est métamorphosé en coq roux (précision: le garçon réel est roux) et est enfermé dans un carton (une sorte de cage en carton qui laisse apparaître seulement un trou en forme de demie-lune sur le haut pour lui permettre de respirer). Il ne lui reste plus longtemps à vivre, il s’affaiblit de plus en plus et son esprit est en train de partir lentement. On présente alors trois poules rousses à la lucarne pour voir si en les voyant il allait reprendre vie. Mais il ne reconnaissait, comme s’il avait perdu la mémoire, pas les poules alors on les retire. Je me trouve toujours au plus près de la cage, comme avant auprès du lit; j’ai formé humaine. Je déchire la lucarne pour ouvrir le carton et le faire sortir. IL me reconnaît, il saute sur mes genoux. Il y a de la douceur en lui à mon égard. IL a un petit fagot de bruyère dans le bec, qui comporte encore de la terre sur les racines. IL me l’offre et meurt sur mes genoux. Je me réveille en sursaut.

Si quelqu’un a une piste, je suis preneuse! 🙂