Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

L’environnement du sommeil

Aménagez votre environnement. Dormez dans la pièce la moins bruyante de votre appartement. Les couleurs doivent être apaisantes (bleu, vert, blanc) et le mobilier sobre. Utilisez des lumières discrètes et indirectes et une température pas trop élevée (18°C à 20°C au maximum). Pensez à humidifier l’atmosphère de votre chambre, surtout si vous avez un chauffage central, en posant par exemple un verre d’eau sur le radiateur. Si vous habitez à côté d’une rue bruyante, pensez au double vitrage et installez des rideaux épais qui atténueront sensiblement le bruit.Le lit peut être dur ou souple, cela n’a pas réellement d’importance et dépend des goûts de chacun. Un lit dur est préférable pour éviter les problèmes de douleur de dos. On dit souvent que l’on dort mieux si l’on s’installe la tête au nord. Rien n’est prouvé, mais vous pouvez toujours essayer.

L’importance des habitudes. Nous observons tous un rituel au moment de nous endormir : prendre un bain, lire quelques pages, écouter de la musique. Tous ces rituels favorisent l’endormissement, surtout chez les enfants, qui ont souvent des habitudes très précises, exigeant une histoire, une peluche, une porte ouverte ou fermée, une lumière allumée ou éteinte… Respectez ces rituels qui aident les enfants à s’endormir dans le calme.

Le confort de la literie intervient de façon non négligeable. Chacun a pu un jour constater qu’il est possible de s’endormir dans pratiquement n’importe quelles circonstances quand l’on  » tombe de fatigue « , mais que les réveils sont dans ce cas souvent sombres et douloureux.Pour favoriser un sommeil harmonieux, quelques règles essentielles doivent être suivies.

Les sommiers et matelas permettant d’amortir les mouvements et de compenser les creux, causés dans les matelas classiques par les points du corps les plus lourds, sont à recommander, surtout lorsque l’on dort à deux. Ainsi faut-il choisir les structures à ressorts, ou, mieux encore, celles comprenant des lattes articulées, mais il n’est pas contre-indiqué d’avoir recours à des solutions moins habituelles comme les matelas d’eau, par exemple, ou les  » futons  » japonais.

Il est préférable d’éviter les lits trop mous, qui peuvent avoir des effets néfastes sur la colonne vertébrale. Il est même conseillé aux gens qui souffrent du dos de placer une planche rigide entre le sommier et le matelas.

Il n’est pas indispensable de dormir avec un oreiller. Et lorsqu’on le désire, il faut veiller à ce qu’il ne soit pas la cause d’une torsion du cou.

Il faut avoir une liberté de mouvements suffisante et éviter notamment les lits et les vêtements de nuit trop serrés.

L’hygiène est une condition trop souvent oubliée. Pourtant, ne serait-ce que pour des raisons psychologiques, il s’agit d’un point non négligeable. Il est si agréable de se plonger dans des draps propres et sentant le frais !

La température dans la chambre doit être adéquate, répondant à la fois à des critères généraux et aux habitudes particulières de chaque individu. Certains ressentent la nécessité impérieuse de dormir la fenêtre ouverte, d’autres ne cherchent qu’à s’enfouir le plus profondément sous les couettes les plus chaudes, même en été.

Le degré d’humidité de l’air ne doit pas être négligé. Si la moiteur des nuits tropicales peut constituer une gêne, c’est en réalité plutôt la sécheresse excessive des chambres à coucher occidentales qui pose problème, notamment à cause d’un chauffage trop important. Soyez vigilant à cet égard et pensez, en particulier, à installer des humidificateurs d’air dans les chambres d’enfants.

Le degré de luminosité est également important. Certains aiment dormir dans le noir absolu, tous volets fermés, alors que d’autres préfèrent être réveillés par la lumière du jour. C’est affaire d’habitude personnelle, aucune règle n’existe en la matière. Une chambre bien hermétique à la lumière est souvent un excellent somnifère… mais souvenez-vous toutefois que certains (principalement les enfants) ont un besoin impérieux de lumière, qui leur permet de combattre l’anxiété. Respectez, dans ce cas, cette volonté, mais adoptez une source de lumière très diffuse, la moins crue possible, en bannissant le néon.

Suite (Les conditions liées au dormeur)

Lire la suite...

Le réveil

Parce qu’ils refusent, consciemment ou non, d’affronter les problèmes de la journée ou pour bien d’autres motifs, beaucoup d’entre nous ont des difficultés à sortir du sommeil, même en cas de sommeil qualitativement et quantitativement satisfaisant. Vous pouvez suivre quelques conseils qui vous rendront les matins plus faciles.

La règle d’or en la matière est d’adopter un réveil en douceur. Votre organisme a tourné au ralenti pendant la nuit, laissez-le progressivement reprendre son rythme de croisière. évitez, à la première sonnerie du réveille-matin, de vous précipiter sous une douche froide. Si vous pensez qu’il s’agit de la meilleure façon de bien démarrer la journée, votre organisme, lui, n’est pas de cet avis ! Alors, soyez à son écoute. Faites comme les chats, étirez-vous longuement pour redonner à votre corps sa plasticité et sa souplesse. Prévoyez, s’il le faut, de vous réveiller quelques minutes plus tôt, pour avoir le temps de vous livrer à ce démarrage en douceur.

reveil

LUTTER CONTRE LA FATIGUE AU RÉVEIL

On peut connaître une sensation de fatigue lors du réveil pour plusieurs raisons : cette impression est un signe habituel de dépression. Mais, dans les cas les plus fréquents, la raison est beaucoup plus simple : on est fatigué au réveil parce que l’on ouvre l’œil au mauvais moment.

SE RÉVEILLER SPONTANÉMENT

Pour bien dormir et se réveiller en pleine forme, la solution idéale est de se réveiller spontanément, sans faire appel à un moyen extérieur (réveil-matin, radio, etc.). En effet, si votre temps de sommeil est habituellement de sept heures, et que vous vous couchez à vingt-trois heures, vous vous réveillerez sans problèmes à six heures, frais et dispos.

Vous pouvez faire varier ces limites progressivement, en vous couchant chaque soir dix minutes plus tôt ou plus tard, afin d’accoutumer votre corps à de nouveaux horaires.

Pour bien connaître votre temps de sommeil, faites l’expérience pendant les vacances : endormez-vous quand vous en ressentez l’envie et observez à quelle heure vous vous réveillez spontanément. Vous remarquerez dans la plupart des cas que vous vous réveillez de bonne heure, vers cinq ou six heures, en ayant l’impression d’être en pleine forme et de n’avoir plus du tout sommeil. Si vous vous rendormez et vous réveillez une heure plus tard sous l’influence d’un facteur extérieur (bruit, chaleur, …) vous constaterez une impression de fatigue, comme si vous aviez très mal dormi toute la nuit.

RESPECTER LES CYCLES DU SOMMEIL

La raison de ce phénomène est simple. Dans le premier cas, vous êtes réveillé à la fin d’un cycle de sommeil paradoxal, ce qui est normal, parce qu’il précède le réveil spontané. Dans le deuxième cas, vous vous êtes réveillé pendant un cycle de sommeil lent. L’idéal, pour ouvrir l’œil, est d’attendre la phase de sommeil paradoxal suivante : dans l’exemple ci-dessus, si vous vous réveillez en pleine forme à cinq heures, il faut attendre six heures et demie ou sept heures pour retrouver cette  » forme « .

Il est évident aussi que tout dépend de l’heure du coucher. Si vous vous couchez trop tard, ce calcul ne sert à rien. Cependant, vous pouvez réaliser une expérience similaire le soir : vous commencez à bâiller et à avoir les yeux qui picotent à vingt-deux heures par exemple. Si vous vous couchez à ce moment-là, pas de problème : vous vous endormez du sommeil du bienheureux. En revanche, si vous résistez à l’envie de dormir, vous observerez que vers vingt-deux heures trente vous êtes en pleine forme et que l’envie de dormir a complètement disparue. Si vous vous couchez à ce moment-là vous aurez des difficultés à entrer dans le sommeil. Comme pour le réveil, il est préférable d’attendre un nouveau cycle et une nouvelle envie de dormir.

Suite (La sieste)

Lire la suite...
1 2