Rêves de bébés
Bonjour, j’ai fait des rêves pour le moins étranges, sur deux jours de suite.
La première nuit, j’ai rêvé que j’étais un homme (ndlr : je suis une femme). J’étais allongé sur un lit d’hôpital, dans un bloc opératoire. J’étais à moitié anesthésié, donc conscient lorsqu’un chirurgien et un infirmier sont entrés. Le premier s’est approché de moi, sorti son scalpel et commencé à marquer l’endroit où il ferait son opération.
Le second s’est placé derrière lui pour observer la scène.
J’ai commencé à paniquer. Donc, j’ai tenté de parler, disant « je ne suis pas anesthésié ». Je me suis un peu tordu dans tous les sens, m
Navrée, j’ai cliqué sur envoyé sans le vouloir.
Je reprends
Donc, j’ai essayé de « m’échapper », mais on m’a remis en place. Le chirurgien a pratiqué une césarienne (ce n’était pas douloureux, mais me produisait une sensation extrêmement dérangeante – logique, direz-vous, car je voyais clairement l’homme fouiller dans mes entrailles. Désolée si vous étiez en train de manger en lisant ça), et a sorti un bébé, assez luisant, de mon ventre. J’ai donc compris que je venais d’avoir un enfant.
La suite est floue, mais dans la fin du rêve, je partais de la salle en claudiquant (ma jambe droite traînant, car douloureuse), sans mon enfant.
Ce rêvé était d’un grand réalisme : j’avais mes pensées propres, je réfléchissais, ressentait toutes les odeurs de médicaments, de désinfectant… Le plus fort étant la sensation du scalpel froid qui entaillait ma peau. Cela m’a laissée pour le moins perplexe. Peut-être étais-je proche d’un rêve lucide ?
La seconde nuit, j’ai rêvé que j’étais chez ma cousine, et que nous confectionnions, à partir d’une recette trouvée dans un livre de chimie, une sorte de liquide (ou potion), sensée me faire tomber enceinte.
Il s’agissait d’une solution aqueuse. Le résultat ressemblait à une sorte de pâte, comme celle pour faire du pain, mais bleue cyan.
Je ne me souviens pas de l’issue du rêve, mais j’ai eu le sentiment, au réveil, que le détail de la pâte bleue (ndlr : étrange, comme phrase…) avait de l’importance, car je pouvais le voir clairement dans mon esprit, et me remémorer la sensation de son toucher.