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J’étais en train de cuisiner pour une fête. J’avais deux grandes brioches dans le four. Je m’inquiétais de savoir si les brioches allaient bien gonfler. De loin j’ai eu l’impression que ce n’étais pas encore très bon. Ma fille s’approche du four et me demande de venir voir. Je regarde et, je vois les deux brioches pas mal du tout, elles avaient pris une bonne taille. Je lui dis qu’elle doit juste vérifier la cuisson en plongeant le bout d’un couteau. Elle ouvre le four et coupe une brioche en deux. Je suis très fâchée car il me semblait qu’elle avait gonflée mais qu’elle n’était pas suffisamment dorée et donc, complétement raté. Dans la corbeille de fruits, j’avais des mangues et je lui ai demandé d’attendre d’en manger jusqu’à ce qu’elle prenne plus de maturité. Les invités sont arrivés et, parmi eux, il y avait Mickael Jackson. Il était venu avec un énorme serpent vert qui était enroulé autour de lui. C’était la première fois que je le voyais en détail car ce n’était pour moi qu’une célébrité parmi tant d’autres. Je trouve sa bouche et son nez parfaits et j’aime beaucoup cela. Je le trouve très beau. A un moment je me trouve à quatre pattes parterre en train de faire quelque chose et, il s’approche et il me met son serpent sur le dos. Moitié en rigolant, je prends note de l’aspect rugueux du serpent. Il me demande de ne pas avoir peur, je n’ai qu’une petite appréhension sans peur réellement car j’avais déjà eu des serpents autour de mon cou lors de mon voyage à Marrakech. Il récupère son serpent et, je suis toujours plus bas que lui lorsque je le regarde à nouveau et j’admire la beauté de sa bouche et de son nez. Je me fais la réflexion que la forme de ma bouche est un petit peu dans les mêmes formes mais pas aussi parfaite.
Ensuite, on me montre mon père en train de manger la mangue. Je suis embêtée car je l’avais interdite à ma fille. Mon père me dis qu’il y a encore des abricots. Je me fais la réflexion que ce n’est pas du tout la même chose. D’ailleurs ces abricots avaient la forme de poivrons longs grillés sans peau et blancs, rien à voir avec des vrais abricots.
Etant assise là, je vois à nouveau Mickael Jackson qui arrive avec son serpent autour de lui. Il se présente dans une sorte d’encadrement de porte, un peu en hauteur par rapport à moi. Je suis encore une fois en train de l’admirer, d’admirer cette beauté. Lorsque, une image de télévision des Jackson’s five m’a traversé l’esprit. Je me rends compte que c’est normal d’avoir cette perfection dans les traits car ils ne sont pas naturels. Il y a eu beaucoup d’opérations esthétiques pour obtenir cette perfection. En vrai, je n’étais pas prête à une transformation de ce type. Ce que je voulais moi, c’est une perfection naturelle.

Tentative d’explication : Si je comprends bien, je tergiverse à me lancer dans l’écriture de mes deux livres (brioches) car j’attend une « perfection » et une « maturité », perfection qui n’existe pas réellement. Ai-je bien tout compris ? Merci d’avance !