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J’ai peur et je veux rentrer chez moi.

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Bonsoir!

Ce rêve m’est apparu cette nuit.
Il faut que je dise que je n’ai pas jugé urgent de le noter, ni même d’en parler ici, et il a donc eu le temps de se brouiller un peu pendant la journée. Comme c’était un rêve avec beaucoup d’éléments et de détails, je vais poser le contexte et passer à l’essentiel.
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Ce rêve était… bizarre.
Il y avait beaucoup de passage de gens qui faisaient leur vie dans une ambiance banale et sympathique, mais tout de même… terrifiante… Il n’y avait rien de concret pour faire peur, mais pourtant je ressentais cette inquiétude d’être là. Je savais que je n’appartenais pas à ce monde, mais j’y avais atterri par on ne savait quel moyen.

Dans ce rêve, j’étais enfant. Je devais être la fille de douze ou quatorze ans que j’étais.
Je n’étais pas la seule enfant de mon âge qui avait cette sensation de peur et de « je fais quoi là? ».

La première image de mon rêve me renvoie à un gigantesque manoir de pierre grise avec un vieux parquet. Les habitants étaient probablement des vampires riches et voulaient nous prendre charitablement en charge dans la famille avec les autres enfants. Mais on ne devait pas jouer tous seuls dehors et devaient rester dans la maison sous leur surveillance.

J’ai réussi à partir.

Je me suis retrouvée dans un village de constructions en pan de bois, en torchis. Ça me paraissait plutôt Gaulois, et les gens, quoiqu’étrangers toujours, étaient adorables et empathiques. Ce village était constitué d’une seule énorme maison-hangar en bois, entourée de maisonnettes. C’était un endroit d’artisans de toute sorte, qui travaillaient le fer, la vigne, la culture… Ils aimaient leur métier. Je courais dans ces lieux à la recherche d’une cachette. J’avais toujours peur de quelque chose et je ne voulais surtout pas qu’on me retrouve. J’ai prié un jeune tonnelier de m’aider et il m’a aidée à me cacher dans un tonneau sur une étagère.
Un majordome/ogre me cherchait, mais le jeune a fait mine de ne pas m’avoir vue. Il est repartit.

Moi j’ai pris le train blanc Shikansen en sentant le devoir de le prendre. Mais je ne savais pas où aller. Je voulais rentrer chez moi.

Ici tout semblait avoir un long vécu.

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Merci en tout cas, pour y passer du temps. 🙂

J’envoie mes premières pensées!

Bonne soirée!

baptiste51 Question répondue 2 décembre 2019

1) Mon dernier travail.

*Active: non.

*Gens adorables: ils sont sympas, on s’amuse bien, ils sont à l’écoute.

*Gens étrangers: /.

*Gens empathiques: on discute de tout, et j’ai déjà pu le constater. Ce sont des gens qui ont un esprit large.

*Tous me connaissent: je viens les voir depuis plus de trois ans.

*Ils aiment leur métier: la plupart sont bénévoles et font un travail de passion.

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2) Ma ville.

*Active: oui et non. Oui parce que j’ai du travail de préparation (d’écriture, de terrain, d’observation). Non parce que je ne l’exerce pas à proprement parler, dû à l’activité touristique en dormance.

*Gens adorables: première impression, en tout cas, ils sont agréables avec qui échanger et je ne me sens pas à côté de la plaque pour un sou.

*Gens étrangers: ils viennent de plusieurs coins (pas forcément international) avec chacun leur histoire différente.

*Gens empathiques: /.

*Tous me connaissent: Pas tous tous.

*Ils aiment leur métier: il se voit une passion, ils ont choisi leur métier et ils étendent leurs activités.

*Travail des matériaux naturels: c’est le bout de la chaîne! Notre travail passe par la culture.

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Je n’ai pas encore assez battu du fer pour que ça pousse et que je puisse cueillir les fruits, c’est sûr.

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