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Bonjour,

J’ai déjà soumis deux rêves à l’analyse récemment alors je sais que j’abuse un peu mais j’ai fait deux cauchemars qui m’ont vraiment perturbée donc j’aimerais bien vous en parler également.

Dans le premier, je marchais dans ce qu’il semblait être le quartier où vivent mes parents mais des détails avaient changé : les maisons étaient plus rapprochées et quatre d’entre elles (dont celles de mes parents) se faisaient face dont une que je n’avais jamais vue. Je discutais avec une fille qui apparemment était l’une de mes amies. Je descendais la rue avec elle, des prairies bordaient le chemin. Je promenais un chien qui n’était pas le mien. A un moment, elle m’a dit quelque chose qui m’a poussée à revenir sur mes pas mais je ne me souviens plus de ce que c’était. La scène suivante se déroulait dans la maison que je connaissais pas. Je me trouvais assise à une table, sirotant un café avec une bande d’amis. En face de moi, il y avait une grande fenêtre qui donnait sur la maison d’en face au coin de laquelle mon ex-belle sœur (une fille très antipathique) attendait avec une bande de copains à elle. Ensuite (et là, je ne me rappelle pas de la transition (il n’y en avait peut-être pas)), le décor a changé. Je marchais seule dans une campagne immense recouverte d’une neige épaisse. Je crois que je promenais à nouveau un chien sur un chemin très enneigé qui faisait la jonction entre deux morceaux de cette campagne. Une tempête de neige a frappé, le vent rendait m’a progression difficile . J’étais frigorifiée, je déambulais tant bien que mal. J’ai voulu à un moment rebrousser chemin car je craignais de tomber avec l’ordinateur portable que j’avais entre les mains. Lorsque je me suis retournée, cependant, j’ai vu une fille qui promenais son chien en avançant rapidement, comme si la tempête n’avait aucun effet sur elle. Et au loin, sur la berge que j’avais quittée plus tôt, il y avait un homme chauve qui, quant à lui, promenait plusieurs chiens et qui m’a regardée d’un air étrange. Il s’agissait apparemment d’un assassin (réflexion que je me suis faite dans ce rêve). J’ai donc décidé de continuer sur ma lancée et, arrivée au bout d’y chemin, j’ai pris mon pied dans un trou de neige assez profond et ai fait tomber mon ordinateur. Celui-ci se trouvait hors de la mallette censée le protéger. Je l’ai ramassé, me suis relevée et me suis trouvée nez à nez face à l’homme aperçu plus tôt. Ses chiens gambadaient gaiement dans le paysage.

A nouveau, sans transition, je me suis retrouvée dans un lit. Apparemment, je m’éveillais. J’étais allongée sur le flanc droit dans une chambre aux murs blancs où je distinguai deux portes, blanches elles aussi. Face à moi, couché sur le même matelas que moi, il y avait un homme qui me parlait. Je ne voyais pas son visage. Il me tenait visiblement contre lui. Nous semblions nous connaître. Dans mon rêve, je le reconnaissais comme l’assassin que j’avais croisé dans la campagne mais sa silhouette paraissait un peu différente et il avait changé de vêtements. Je lui faisais la conversation en guettant les portes de la chambre du coin de l’œil. Apparemment, j’avais fomenté un plan avec ma famille et mes amis pour le piéger et ces derniers étaient censés débarquer d’un instant à l’autre pour me venir en aide et l’attraper. Mais personne n’entrait et je sentais la panique m’assaillir, d’autant plus que, tout en continuant à me parler normalement, l’homme en question appuyait un couteau sur mes reins et je feignais, terrorisée, de n’avoir rien remarqué. Je pouvais sentir la pression de ce poignard contre le bas de mon dos. A un moment, puisque personne n’arrivait pour me délivrer, je me rappelle m’être levée et qu’une bagarre s’était ensuivie au cours de laquelle je l’ai frappé avec…des hoola hoops (il faut savoir que j’ai vraiment deux hoola hoops de sport dans ma chambre)! Plus tard, mes proches ont débarqué dans la cohue et je me suis réveillée.

Mon deuxième rêve est un peu plus compliqué à raconter mais je vais essayer. Je me trouvais dans ce qu’il semblait être un centre de vacances pour étudiants. Il s’agissait d’un voyage organisé. Ce centre était assez lugubre avec des vieux carrelages délabrés au sol, des murs gris, des portes métalliques, des couloirs sombres, … Je m’y trouvais apparemment avec les personnages d’une série que je regardais lorsque j’étais adolescente. Au début du rêve, ma mère était présente elle aussi mais elle n’est pas restée longtemps. Je me souviens qu’elle et moi débarquions dans une sorte de fond de couloir qui faisait office de salle-de-bain. Une fille était là mais nous ne voulions pas qu’elle nous aperçoive alors j’ai plongé en direction du lavabo contre le mur, tournée vers le miroir. Sur ma droite, il y avait deux portes qui menaient vers les toilettes. Plus tard, je rejoignais seule ce qui semblait être ma chambre. Je la partageais avec plusieurs personnes dont une ancienne camarade de fac. Je discutais un moment avec elle puis d’autres étudiants nous ont rejoints. Il s’agissait de certains acteurs que j’ai évoqués plus tôt. Je passai un petit moment à conserver avec l’un d’entre eux qui était très séduisant à l’époque et qui campait un personnage très gentil. Plus tard, je l’entendis dire à un ami qu’il m’avait beaucoup aimée à une époque et que j’avais d’ailleurs souvent accepté de passer du temps avec lui à discuter et rire mais qu’il avait finalement renoncé à moi parce que, lorsqu’il essayait de se rapprocher de moi, je lui paraissais froide et peu intéressée. Je me mêlai alors de la conversation pour lui annoncer que si j’avais pu lui paraître détachée, c’était parce qu’il y avait Jade dans l’équation (un autre personnage qui était sa compagne dans la série). Je me suis tout à coup retrouvée fustigée de toutes parts, je cherchais à défendre ma position mais je me sentais horriblement coupable et triste. Dans la scène suivante, nous étions dehors, le temps était maussade, le ciel d’un gris métallique. Au sol, du macadam gris. Il pleuvait. Nous étions réunis avec d’autres étudiants pour partir en excursion mais je ne me rappelle pas la suite de mon rêve. Tout ce que je sais, c’est que, tout du long, je me suis sentie angoissée alors même qu’il ne s’y passe rien d’extraordinaire!

Qu’en pensez-vous ?