Aujourd'hui le Thursday 2 May 2024, 122eme jour de l'année

Des chiens, et échappatoire risquée dans un avion en feu.

5.62K vues

Bonjour!
Je me reporte ici pour un nouveau rêve des plus troublants. Il s’est déroulé cette nuit.

Dans une première partie, et dans un décor de rue londonienne faite de pavés et petites maisons à escaliers, j’ai trouvé un petit chien seul, assis au bout d’un trottoir, entre un réverbère et un passage piéton. Je ne suis pas sûre que cette race de chien existe réellement; il semblait être un yorkshire, mais en un peu plus gros, avec des traits de shi tsu. Il avait des yeux tout ronds, noirs et brillants, un dos noir et un ventre fauve. Je l’ai recueilli et emmené dans mes bras, émue par la solitude et la tristesse qui l’entourait. Je ne crois pas lui avoir donné de nom.

Dans une deuxième partie, je suis arrivée par un couloir (lequel me semblait être l’un de ceux de mon lieu d’études actuel) avec ce chien auquel je vouais affection. Tous les murs étaient blancs, et le sol tapissé de moquette bleue. C’est ici que je posais le chien qui s’en allait trottiner au-devant.
En vérité, j’étais dans un avion, qui ne ressemblais par ailleurs en rien à un avion; il comportait de larges couloirs et de petits studios à louer.
Au fond de l’un de ces couloirs, je rencontrais une amie de ce lieu d’études et, heureuses de se retrouver, nous nous donnions de nos nouvelles. Elle était vêtue des pieds à la tête de noir (un blouson de cuir, une robe légèrement moulante en tissu) mis à part ses petites chaussures à peine hautes et son rouge à lèvres qui étaient rouges. Cela contrastait beaucoup dans sa tenue.
Elle se tenait devant une porte dotée d’une vitre qui était le studio qu’elle venait de louer. Elle me fit faire un tour; rapide, puisque c’était tout aussi grand qu’une cabine: un petit lit en face longeant le mur, un petit bureau à droite sur le mur en face du lit -et donc à côté de la porte- où quelques papiers s’accommodaient déjà à leur demeure provisoire. Au fond, une fenêtre. J’ai cru également avoir vu un vélo.
Nous bavardions comme deux amies de tout et de rien, la porte refermée derrière nous. On narguait également deux rottweilers qui semblaient faire leur loi dans l’avion, lesquels avaient été poussés hors du studio alors qu’ils essayaient de rentrer. Ils grognaient et retroussaient leurs babines. Mais on était en sécurité. À travers la porte, je vis la candidate à l’élection Marine Le Pen se pavanait dans le couloir, gratouillait les deux gros chiens soudain affectueux, avant de s’en aller. Il semblait qu’ils lui appartenaient.
On jeta un œil dehors et pencha par la fenêtre ouverte voir le décollage. Une tête à droite se dégagea d’une autre fenêtre: c’était un homme que je connaissais il y a un moment. Je voulu prendre de ses nouvelles quand il me dit « Mais qu’est-ce que vous faites? Vous ne voyez pas qu’il y a le feu? Il faut partir! ». Et effectivement. Le feu était partout dans les couloirs de l’avion.
Mon amie n’hésita pas, elle passa par la fenêtre. Deux bus roulaient à vive allure près de l’aile de l’avion pour nous récupérer. Elle prit le bus de gauche; affolée, ne sachant comment descendre, je suivis les conseils qu’elle me donna avant de partir: m’aider de la roue (en fait, c’était plutôt un monocycle) posée sur le bureau comme d’une échelle -j’avoue que c’était franchement pas utile-. « Attends-moi! dis-je au garçon qui sautait. Attends-moi en bas et rattrape-moi! ». Ce qu’il fit.
Nous nous installâmes au premier siège dans le bus de droite -ma ligne pour retourner chez moi, le 257-. Il m’enlaça l’épaule dans un réconfort. Mon rêve m’a soumis l’idée d’une nouvelle histoire… avec lui.

Qu’en pensez-vous de toute cette folie?
Merci beaucoup!

Cela me fait penser à une solitude dûe à une incompréhension.
Si je reste sur ma première idée, cette incompréhension se révèle chez mon amie d’enfance à qui j’en ai ouvertement parlé; elle pense que c’est la peur du début et qu’avec l’habitude, je l’oublierai.

Vous affichez 1 des 0 réponses, cliquez ici pour afficher toutes les réponses.