Des routes, trop de routes!
Bonsoir Baptiste! (Si c’est toujours le même interprète.)
Hier soir, du 25 au 26 août, j’ai fait un rêve un peu prenant, comme on en a l’habitude d’en lire ici.
Je le partage sans me souvenir de tous les détails… parce qu’il y en avait TROP.
Je suis dans un style de tournant -si on peut appeler ça comme ça quand la vie ne nous a jamais paru aussi plate- et je vais probablement en rajouter d’autres rêves demain.
Ce que j’ai rêvé:
Je me suis réveillée en retard pour aller au boulot et dans le stress, je roulais vite. C’était un vrai méli-mélo de routes et je ne m’y retrouvais pas! Il pleuvait; on y voyait pas clair et ça glissait. Il y avait des travaux et des déviations à n’en plus finir et je traversais des endroits que je ne reconnaissais pas.
C’était affreux, stressant, trop vite, angoissant même. Et gris.
Ensuite, j’étais dans une sorte de SPA qui maltraitait violemment les animaux. L’horreur.
J’ai remis une couverture sur le dos d’une tortue qui l’avait perdue.
Bizarre, hm?
Je dois avouer… depuis le temps que j’y cogite! …
Je suis tout à fait d’accord avec le terme « émotion »; voilà pourquoi j’ai beaucoup hésité à foncer sans réfléchir, ou au contraire faire d’abord passer la réflexion.
Je suis dans l’émotion en pensant au théâtre:
-premièrement parce que ça fait mille ans que j’y pense, et que c’est un domaine qui me plaît énormément.
-puis parce qu’on peut dire que ça en fait partie; on mime des émotions également dans le cinéma.
J’avance vite, le stage ayant été fin août, je dois réfléchir à toute vitesse:
-si je réponds oui pour cette rentrée, je devrais filer pour la semaine prochaine ET écourter au dernier moment également mon contrat de travail que j’ai actuellement.
-je dois aussi répondre de manière immédiate à mon travail si je reste jusqu’au bout ou pas.*
Mais je n’ai ni envie de me rajouter un surplus de stress et d’adrénaline, ni envie de « laisser tomber » à la dernière minute des collaborateurs avec lesquels je m’entends vraiment bien.
*Ce que j’ai finalement fait: rester jusqu’au bout de mon CDD.
Non effectivement, c’est un métier de chance, la comédie. Mais j’ai tout de même fait des études, et j’ai un métier dans le tourisme qui me plaît également. Disons que c’est « ze » rêve des rêves. J’aurais toujours mes arrières assurées avec un job dans le tourisme.
La question que je me posais, c’était plutôt, si c’était une bonne idée de se précipiter. D’autant plus que la chute peut être fatale en allant vite!