Du poivre rouge pour des rats.
Bonsoir Baptiste!
Je sais bien qu’on est dans une autre interprétation, mais mon inconscient m’assaille de rêves en tous genres.
La fois dernière, j’ai fait une compilation de trois rêves mais je ne m’en souvenais que de deux.
Dans le premier, j’étais en quelque sorte kidnappée et mise en cage dans une pièce longue avec toutes sortes d’animaux, espèces et humains. Ils étaient tous voués à mourir de faim, mais avait chacun des droits personnalisés là-dessus: par exemple, des rats pouvaient manger uniquement du poivre rouge. Ils mettaient de manière autonome comme une protection (contre quoi, aucune idée) sur le museau et les yeux; ça ressemblait à un embout de poche à douille de pâtisserie.
Dans le deuxième, je faisais une visite pour un petit groupe de personnes de dix en leur disant qu’il fallait bien mettre une protection au visage (et ça ressemblait presque à un masque à gaz). Je me suis retrouvée avec 50 visiteurs parce qu’il y en a qui m’ont forcée à les accepter. Ils étaient intenables pendant la visite. J’avais mon lapin dans les bras qui se tortillait pour revenir par terre, mais c’était pour lui éviter qu’il se casse quelque chose; l’endroit était un peu dangereux. Il s’est sauvé de mes bras. La fin de la visite a débouché sur un endroit de toboggans et de jouets, une vraie salle de jeux.
Qu’en pensez vous?
Alors, c’est déjà une première partie positive!
Attaquons la suite!
Un supermarché, c’est un endroit où on fait ses courses, on achète surtout de quoi se nourrir pour la semaine.
Ici il n’a pas d’enseigne. C’est un supermarché à ciel ouvert, sur une petite place dans la rue. Dans le rêve, c’est normal, un supermarché sans murs ni toit. Ç’aurait pu être un simple marché mais il y a des rangées d’étagères et du personnel de rayons. La rue est pavée autour.
Il y a quelques personnes. Ce n’est pas vide, ni bondé.
À mon grand regret, je ne sais plus du tout ce que je cherchais. Je sais juste que j’avais oublié d’acheter certaines choses sur ma liste de courses et que j’étais revenue quelques jours plus tard prendre ce qui me manquait.
C’étaient des choses dont j’avais l’habitude d’acheter souvent. Peut-être des fruits, des flocons d’avoine, une conserve d’artichaut? Aucune idée! Mais j’ai flashé sur le chocolat.
Dehors il fleurait bon le printemps. C’était un matin chaud.