Aujourd'hui le Thursday 28 March 2024, 87eme jour de l'année

La guerre, l’amour, et la rentrée des classes.

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Bonjour!

Certains rêves me passent au-dessus, et à moins qu’ils ne me secouent vraiment, je ne les interprète pas. Autant ces derniers temps, mes rêves ne semblaient pas avoir d’importance, autant à force d’en rêver, ça me met à me questionner.

J’ai fait deux ‘petits’ rêves cette nuit.

RÊVE 1:

Le premier, en écho à un ancien rêve dans lequel je revivais mon entretien de manière encore plus agaçante, relate ma rentrée scolaire. Dans le lycée, il y a pas mal d’élèves. Je suis seule, puisque je ne connais personne, et je dois choisir une option; j’hésite entre le ‘chant’ ou la ‘danse’. (Les cours ne représentent pas du tout ce que c’est. C’est juste une appellation.) Ces appellations étaient inscrites sur des feuilles collées aux deux portes devant moi; je devais donc choisir entre deux portes. Plus proche de la ‘danse’ -comme si j’avais déjà mariné ce choix-, je me résigne à y aller. ‘Mais le chant a l’air bien aussi… Bon. Maintenant j’ai choisi danse. Trop tard, je change plus.’ J’ai la chance de trouver une amie dans le même cas que moi dans la même classe. Le cours commence. Assise au fond, je m’adonne aux exercices photocopiés avec une attitude appliquée, mais je pique la mouche aux exclamations que me fait ma professeure. En rencontrant d’autres élèves, je remarque que j’ai oublié de mettre mon uniforme. Grosso modo, je retiens de ce rêve que j’ai la niaque de réussir mais je suis tout autant révoltée, en particulier par les attitudes des enseignants.

RÊVE 2:

Ce rêve fait suite au précédent. Le climat est de guerre, mais cela ne semble pas aussi important que cela en a l’air. Deux clans opposés s’unissent contre un ennemi commun. Les 3/4 sont décimés mais il reste encore des ennemis cachés en haut de falaises qui surplombent un camp dévasté. Seuls deux personnages décident d’y aller pour en finir: une femme de caractère insolent habillée de peaux de fauve (clan exceptionnellement de femmes de type amazones) est prise devant la selle d’un homme aux cheveux blancs (le sorceleur d’Andrzej Sapkowski), et ensemble ils galopent dans tout le camp afin d’être cible mouvante et pour que la femme les tue avec son arc. Malgré leurs différents, le climat entre eux s’adoucit et un ardent désir est ressenti, ce qui leur donne envie de se serrer encore plus l’un contre l’autre. Ils attendent d’avoir abattu tous les ennemis pour profiter du calme, de leur solitude et de se glisser dans un tipi blanc du camp…

Je pense que les deux rêves peuvent être liés d’une certaine manière.

Qu’en pensez-vous?

Merci!

Bonjour!

C’est gentil, merci beaucoup! J’ai toujours essayé de cultiver mon style, mais il faut l’avouer, écrire des romans n’est vraiment pas facile…

J’ai 18 ans, 19 précisément en fin d’année.

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