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La Jordanie

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Bonjour baptiste,
Je sais que nous avons déjà un rêve en cours mais celui que j’ai fait cette nuit me laisse profondément perplexe. Une fois de plus, il met en scène bon nombre d’animaux. Il était précédé d’autre chose dont je ne me souviens pas. La seule chose que je sais c’est qu’une personne me parlait de la Jordanie, en disant que c’était une destination parfaite et magnifique et qu’il y allait souvent. Le rêve dont je me souviens, démarre sous le soleil et dans un climat qui fait plutôt vacance c’est pourquoi je pense qu’il se déroule en Jordanie (pays dans lequel je ne suis par ailleurs jamais allée). Voici le rêve:
Nous visitons le pays et pour se faire nous traversons une étroite passerelle (ce n’est pas compliqué, assis on passe tout juste dessus). Cette passerelle surplombe une eau claire et plutôt calme. On la traverse sans problème et on arrive devant une sorte de lac, au loin on aperçois quelque chose qui boit, ça a une allure mi-humaine. On voit également nager des ratons-laveurs ainsi que des castors, qui transportent des bouts de bois. On repart alors car il commence à se faire tard (même si le soleil est pourtant toujours haut dans le ciel). On retraverse la passerelle (qui d’ailleurs n’a pas de rembarre et est en pierre). Là sur notre droite, il y a des hippopotames (au moins d’eux) tandis que les ratons laveurs arrivent sur notre gauche. A ce moment là je me retrouve (je ne sais pas trop comment) assise et je roule sans pouvoir me contrôler de droite à gauche. J’essaie pourtant de ne pas tomber à l’eau (pourtant je prends appuie plusieurs fois sur l’eau pour ne pas tomber dedans) et du coup un hippopotame s’éloigne. A ce moment là on me dit « regarde il y a des jeunes qui ramène du bois) je me retourne croyant voir un raton-laveur mais en faite c’est un jeune castor qui me regarde. Je m’assois alors et je dis « cette passerelle est quand même très étroite ». Et je me suis réveillée là.
Merci par avance de votre aide et bon été sous le soleil

Poly Question répondue 28 août 2018

Poly
Quitter ses parents pourrait signifier , être en autonomie pour se débrouiller dans la vie .
Ce travail que vous faites en relation avec votre monde intérieur depuis deux ans vous rend il plus autonome et apte à vous débrouiller dans la vie?
Vous repassez la passerelle .
Vous reviendriez donc dans le monde conscient.
C’est quoi un hyppopotame ?
C’est comment ?
que pouvez vous en dire de spécifique?
amicalement

baptiste51 Question répondue 9 août 2018

Bonjour baptiste,
Oui c’est certain. Du moins j’en suis convaincue. Il est évident que cela permet d’avancer et de vivre dans la vie selon ses propres moyens.
Un hippopotame est un pachyderme. Il est herbivore, vie dans l’eau, est assez imposant mais surtout il fait partie des animaux les plus dangereux du monde. Malgré une certaine placidité il devient très agressif quand quelqu’un entre sur son territoire, c’est pire encore lorsqu’il a son petit. Il faut dire que vu la mâchoire et la dentition qu’il a un humain ne risque pas de faire le poids. Il est à l’origine de l’un des plus haut nombre de mort par an.
Ce dernier point me fait par ailleurs penser à quelque chose. Mais un raisonnement uniquement conscient est dangereux car (selon moi bien sûr) il est nocif et agressif pour chacun. Il y a deux ans (quand j’ai commencé à poster sur ce forum d’ailleurs) les choses allaient très mal pour moi. Non pas en apparence où les choses avaient l’air, vues de l’extérieur, d’aller bien mais intérieurement. Le terme va paraitre un peu fort, mais psychologiquement (avec le recul) je semblait bien morte ou en passe de le devenir.
Amicalement

Poly Question répondue 10 août 2018

Poly
Vous devriez donc prendre conscience d’un dynamisme qui est assez imposant, dangereux , qui a une certaine placidité , qui est agressif quand on pénètre sur son territoire, qui vit dans l’émotion (l’eau ce sont les émotions)
A quoi cela vous ferait-il penser lorsqu’il est question d’explorer votre monde intérieur pour trouver votre place dans la vie extérieure.?
amicalement

baptiste51 Question répondue 10 août 2018

Baptiste,
Alors je ne sais pas si ça peut avoir un rapport mais ça me fait penser à une certaine forme de négativité. En effet, comme on l’a dit l’évolution est assez lente, sauf que souvent (du moins dans mon cas) quand on ne voit pas d’évolution on commence à se dire que ça ne marchera. Ce côté est assez sournois et ça revient lorsque l’on essaye de le faire disparaitre. Ça entraine finalement de vives émotions lorsque l’on essaie d’entrer dans un domaine plus inconscient. Et ça peut être dangereux pour l’évolution personnelle.
Amicalement

Poly Question répondue 10 août 2018

Poly
Essayez de me donner un exemple concret de cette forme de négativité.
Est ce possible ?
amicalement

baptiste51 Question répondue 10 août 2018

Bonjour baptiste,
La description que je faisais au dessus pourrait aller aux notions négatives comme le doute notamment.
Amicalement

Poly Question répondue 12 août 2018

Poly
Je vous fait travailler mais ce n’est pas pour vous embêter vous le savez bien .
Prendre conscience de cet hyppopotame en vous serait important .
A droite il est dans les pensées, les raisonnements logiques.
amicaleement

baptiste51 Question répondue 13 août 2018

Baptiste,
Oui oui je sais ne vous inquiétez pas. En fait c’est justement cette position à droit qui m’y fait penser. Pour moi (mais c’est peut être un tort) à l’inverse de la peur qui n’est pas forcément logique le doute lui suit une certaine logique. En effet, quand on commence à douter d’une situation notre cerveau à tendance à nous monter de façon rationnel pourquoi ça ne va pas marcher.
Mais peut-être est-ce autre chose? Ce n’est pas forcément très clair?
Amicalement

Poly Question répondue 13 août 2018

Poly
Une affaire de mental ? Avec des idées qui tournent en boucle ?
On fait le scénario avant même qu’il se réalise? …
amicalement

baptiste51 Question répondue 13 août 2018

Baptiste,
Oui c’est ça. On se fait le scénario avant même qu’il ne produise et cela en négatif, ce qui fait qu’on finit par se persuader que ça ne marchera jamais. A partir de là, les idées ont tendance à nous tourner dans la tête ce qui accentue finalement cette idée qu’on y arrivera pas. Sauf que quand on y réfléchis ce n’est que notre conscient qui nous envoie ces informations car c’est selon son analyse à lui que ça ne peut pas marcher.
Amicalement

Poly Question répondue 14 août 2018