La main de la mort sur mon épaule.
Bonjour!
Je reviens avec deux rêves, plus courts mais assez énigmatiques.
J’ai d’abord fait le rêve que j’allais faire du saut en parachute avec mon frère et une amie de son âge. Nous étions nerveux et je me retrouvais en tandem avec mon amie, tandis que mon frère était avec le moniteur, pour inquiéter encore plus ma sécurité. Le moniteur nous expliquait comment ça allait se passer et nous étions partis pour une chute sans fin. Le moniteur nous rassure par sms et nous donne le top départ pour activer le parachute. On le voit presque s’arrêter dans le ciel tandis qu’il nous disputait et insultait car on n’arrivait pas à activer le parachute. On avait peur. J’ai finalement trouvé un lacet qui pendait de mon casque et bien qu’il s’emmêlait dans mes cheveux, j’ai continué à tirer de toutes mes forces, et malgré la douleur. Je crois que nous avons fini par atterrir en douceur sur l’herbe et au centre d’une cible.
Le second rêve fait un peu plus peur. Je me suis trouvée en amphithéâtre pour un cours d’histoire de l’art. Voyant une amie, je m’assois à côté d’elle, contente de la voir. Je suis le cours tout en discutant, quand un enfant d’à peine 12 ans, assis derrière moi, se saisit de mon cou et le serre. J’ai senti dans mon sommeil la douleur de l’étranglement, presque la main de la mort sur mon épaule. Je ne pouvais plus respirer et je poussais de petits cris comme à l’abattoir. Mon amie a appelé le prof à l’aide et l’enfant ne m’a plus touché. J’ai changé plusieurs fois de place dans l’amphi.
Je sens que ces deux rêves supposent des soucis. Mais j’ai l’impression d’en ressortir vainqueur.
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Évidemment! Tant qu’il s’agisse de ma réorientation, j’ai peur de me tromper, car je n’ai pas envie de redoubler éternellement. Quant au théâtre, la nervosité peut se référer au trac -étant un peu timide de base- et la peur de ne pas réussir.
Et c’est ce que j’aimerais enfin! Puisque vous me suivez depuis un moment comme un médecin généraliste, j’ai souvent dit vouloir être dynamique et assidue notamment au travail malgré mon côté de feignante.
Si je me porte vers ça, peut-être que je me redécouvrirais, qui sait!
Je ne suis pas avec le moniteur. J’ai souvent pris l’habitude d’attendre d’être aidée, voire poussée pour avancer dans mon travail. (Ah! Procrastination quand tu nous tiens!) J’aime bien être encadrée -mais de façon bienveillante-, conseillée…
Mais ici, je suis plus ou moins seule à faire face à tout, livrée à l’autonomie.
C’est une décision que je prends de moi-même, seule. Qu’avec peu de conseils. Et bien sûr que cela m’inquiète, puisque je n’ai aucun appui pour me rassurer, me pousser ou me soutenir.
Je pense me lancer dans quelque chose de presque insensé, sans écouter personne. Mais si je me fie à la fin, je tomberai dans la cible, en plein dans mon but -donc au final, cela me donne raison.
Concernant mes ressentis, je pense que mon comportement ne changera pas trop et je ressentirai toujours de la crainte -si j’en crois ce que j’en rêve.
Qu’en pensez-vous?