Les grands travaux sont presque finis, beaucoup de sentiments y naissent.
Bonjour!
Je faisais faire la visite d’une énorme maison, fruit d’un chantier phénoménal, commandé par une famille de tout un arbre généalogique. Beaucoup de gens y avaient mis la main à la patte, juste pour l’événement exceptionnel. Une maison clairement design, colorée de toutes les couleurs, mis à part quelques endroits pas finis (une ampoule nue, des pans de murs vides), mais les 3,5/4 sont bâtis.
Au sous-sol, une pièce aussi grande qu’une salle de sport comporte trois lits spacieux en mezzanine, si hauts que ça m’en donnait le vertige. Là, je retrouve mon compagnon, révisant son bac. ‘Moi, je prends ce lit, dit-il en rigolant.’ ‘Oh là, je te laisse y aller seul, je lui réponds sur le même ton, moi j’ai le vertige.’
Puis, je feuillette son agenda. Première page: cet agenda appartient à [son nom complet] et [mon nom complet]. Les pages suivantes sont entièrement griffonnées de pensées d’amour envers moi: ‘[mon nom] ma future femme’, des cœurs, des poèmes, des affections, des compliments…
Mon rêve suspend la visite.
Qu’en dites-vous?
Merci!
28 Réponses
lily
j’ai finalement interrogé le yi king pour lui demander ce que je devais faire pour ce rêve, sachant que j’avais perdu le fil à mon sens . Il m’a dit qu’il était préférable de s’arrêter .
Je suis un peu soulagé car je n’aime pas faire du mauvais travail .
Je prendrai en priorité un de vos prochains rêves.
avec toutes mes excuses . bonnes fins de vacances
cordialement
Bonjour Baptiste, je vais essayer!
La maison est en travaux, et elle est presque finie. La principale pièce à terminer est le sous-sol (endroit pouvant servir de débarras généralement, et se situant au bas de la maison).
-> Maison = moi; je réalise un travail sur moi-même. Une partie ‘plus profonde’ (= sous-sol) reste à être étudiée.
Quelques meubles neufs sont disposés dans la grande pièce, qui tend à ressembler à une salle de sport.
-> La pièce garde une atmosphère de ‘compétition’, ou de ‘challenge’. La présence des meubles montrerait que j’ai déjà commencé à accomplir certaines choses dans ce travail sur moi-même. Ils pourraient également matérialiser chacun un challenge que je souhaiterais faire.
Ces meubles sont des mezzanines, garnis d’une échelle pour atteindre ce lit en hauteur.
-> Le lit, espace de confort et de repos, serait donc le but de ce challenge, de ces travaux. Le réconfort après l’effort. Ils sont munis d’une échelle, et je peux constater que je peux facilement les atteindre mais je n’ose pas, car la peur de la hauteur (ou la difficulté) vertigineuse me retient. La salle est très bien éclairée; j’ai tout les atouts pour y arriver mais je m’obstine à la base de l’échelle.
Les seules choses qu’il me reste à expliquer sont: la présence de mon compagnon, qui lui arrive à monter dans un lit, et de son agenda spécial.
Est-ce que je vous ai aidé?
Bonjour Baptiste!
Ah mince! J’espère qu’il ne s’agissait qu’uniquement d’un contre-temps.
C’est vrai!
J’ai tenté de re-visualiser tout ça dans mon esprit, et on peut dire qu’une cave, un sous-sol -voire même un grenier-, est l’endroit parfait pour entreposer des tas d’objets inutiles qu’on regarde moins et qui prennent la poussière. À la différence d’un grenier, il se situe en bas, sous le sol; ‘au plus profond de moi-même’, si l’on suit le raisonnement maison = moi (ce dont je suis totalement convaincue).
Ce sous-sol est particulièrement vide, vaste et haut comme une salle de sport, et encore dénudé de décoration. J’ai dit aussi qu’il y avait déjà deux/trois meubles disposés au centre de la pièce.
Si ce que je pense aujourd’hui n’est pas insensé, -et je crois que je vais mathématiser ça, attention suivez-moi- maison = moi, et vu que la maison est en travaux, moi (intérieur) = en travaux. Ça rejoint ce que nous disions tout-à-l’heure.
Je pense donc qu’il reste des peurs, des émotions tout au font de moi-même qu’il me reste à travailler. Je remarque qu’avec les nouveaux meubles, j’ai déjà commencé à accomplir certaines choses dans ce travail.
On peut peut-être dire que les meubles représentent à eux-seuls une peur ou une émotion particulière et d’actualité à laquelle il faut jeter un œil vite. Le lit, c’est un petit nid douillet où l’on se repose (et partage également quelques scènes d’amour); c’est l’objectif des travaux. Néanmoins, c’est accessible puisque la mezzanine possède une échelle; l’objectif est alors à ma portée, mais même si ça me fait rêver d’y accéder, j’en reste impressionnée par la hauteur, loin du sol.
Probablement que mon parcours scolaire en fait parti.
Pour le sous-sol qui m’évoque une salle de sport: je dirais qu’il y a dans l’atmosphère un sentiment de ‘petite compétition’, une sorte de challenge. Un peu comme si je deviendrai une championne en atteignant les objectifs. Vous voyez?
Si, contrairement à ce que vous pensez, je vois très clair avec ces longs néons industriels; un vrai stade couvert et pas équipé!
Et puis, dans cette salle, il y a mon compagnon. Je pense qu’il matérialise un objectif en quelque sorte, puisqu’il arrive à monter dans un des lits. Par contre, celui-là, je crois en savoir quelque chose, mais j’ai du mal à me l’expliquer…
En ce qui concerne vos questions: en réfléchissant, j’ai plutôt fait ‘peau neuve’ de par pour m’occuper de mon année qui ne m’intéressait pas, mais aussi pour apprendre le contrôle de moi-même, mes besoins, et mon bien-être général.
J’en ai le vertige de tous ces objectifs qu’il me reste; c’est long, c’est loin. Peut-être que la morale de l’histoire serait la patience? Je devrais peut-être aussi apprendre à relativiser, ne pas m’abandonner à mon anxiété -surtout pour cette nouvelle année scolaire? Enfin, les ‘deux adversaires’ seraient peut-être les ‘deux moi’?
Bonne journée!
Bonjour Baptiste!
Ah mince! J’espère qu’il ne s’agissait qu’uniquement d’un contre-temps.
C’est vrai!
J’ai tenté de re-visualiser tout ça dans mon esprit, et on peut dire qu’une cave, un sous-sol -voire même un grenier-, est l’endroit parfait pour entreposer des tas d’objets inutiles qu’on regarde moins et qui prennent la poussière. À la différence d’un grenier, il se situe en bas, sous le sol; ‘au plus profond de moi-même’, si l’on suit le raisonnement maison = moi (ce dont je suis totalement convaincue).
Ce sous-sol est particulièrement vide, vaste et haut comme une salle de sport, et encore dénudé de décoration. J’ai dit aussi qu’il y avait déjà deux/trois meubles disposés au centre de la pièce.
Si ce que je pense aujourd’hui n’est pas insensé, -et je crois que je vais mathématiser ça, attention suivez-moi- maison = moi, et vu que la maison est en travaux, moi (intérieur) = en travaux. Ça rejoint ce que nous disions tout-à-l’heure.
Je pense donc qu’il reste des peurs, des émotions tout au font de moi-même qu’il me reste à travailler. Je remarque qu’avec les nouveaux meubles, j’ai déjà commencé à accomplir certaines choses dans ce travail.
On peut peut-être dire que les meubles représentent à eux-seuls une peur ou une émotion particulière et d’actualité à laquelle il faut jeter un œil vite. Le lit, c’est un petit nid douillet où l’on se repose (et partage également quelques scènes d’amour); c’est l’objectif des travaux. Néanmoins, c’est accessible puisque la mezzanine possède une échelle; l’objectif est alors à ma portée, mais même si ça me fait rêver d’y accéder, j’en reste impressionnée par la hauteur, loin du sol.
Probablement que mon parcours scolaire en fait parti.
Pour le sous-sol qui m’évoque une salle de sport: je dirais qu’il y a dans l’atmosphère un sentiment de ‘petite compétition’, une sorte de challenge. Un peu comme si je deviendrai une championne en atteignant les objectifs. Vous voyez?
Si, contrairement à ce que vous pensez, je vois très clair avec ces longs néons industriels; un vrai stade couvert et pas équipé!
Et puis, dans cette salle, il y a mon compagnon. Je pense qu’il matérialise un objectif en quelque sorte, puisqu’il arrive à monter dans un des lits. Par contre, celui-là, je crois en savoir quelque chose, mais j’ai du mal à me l’expliquer…
En ce qui concerne vos questions: en réfléchissant, j’ai plutôt fait ‘peau neuve’ de par pour m’occuper de mon année qui ne m’intéressait pas, mais aussi pour apprendre le contrôle de moi-même, mes besoins, et mon bien-être général.
J’en ai le vertige de tous ces objectifs qu’il me reste; c’est long, c’est loin. Peut-être que la morale de l’histoire serait la patience? Je devrais peut-être aussi apprendre à relativiser, ne pas m’abandonner à mon anxiété -surtout pour cette nouvelle année scolaire? Enfin, les ‘deux adversaires’ seraient peut-être les ‘deux moi’?
Bonne journée!