L’Ouragan sur ses sabots et sa pupille morte.
Bonsoir!
Pour faire court, un petit coup de pouce pour deux rêves récents m’aideraient grandement!
RÊVE 1
Invitée à une soirée chez des amis à mon compagnon (pour de plus amples connaissances) et avec lui, un cheval gris pommelé arrive trottinant. ‘Mais c’est Ouragan!’ je m’écrie. Je décide de bonne foi de le reconduire au club, là où il devrait être. Là-bas, tout est vide: pas de chevaux, pas âme qui vive, tout détruit, tout sinistre. Je pose des questions à voix haute à l’adresse du cheval, pour me rassurer. Je devrais laisser le cheval à sa place mais tout me gêne ici. Je pars avec lui. Une course-poursuite soudaine avec Pascal, le moniteur du club avec son air méphistophélique constant, et son chien boxer. Une longue course à travers champs, moi sur le dos d’Ouragan, peinant à accrocher sa crinière et ne pas être éjectée de son dos.
RÊVE 2
Assise sur mon lit, mon frère au sol, nous rions fort. Par inadvertance, je lui donne un coup de talon dans l’oeil. Il hurle de douleur, se cache les deux yeux avec ses mains et se balance comme pour se bercer. Je découvre au sol une tige dont le bout est marqué d’un point noir. Sa pupille! Je suis horrifiée, mal. Le décor n’existe pas; est sorte de halo noir.
Encore une fois, certains sens m’échappent. Si on pouvait éclairer ma petite lanterne! Merci beaucoup!
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Est-ce que je peux parler ici d’une situation moins concrète? Quand je me rappelle mon rêve, je suis surprise de voir le cheval -que j’avais d’ailleurs monté quand j’avais 11 ans, à peu près. Puis je me revois, du point de vue du ciel, chevaucher à toute vitesse à travers champs et peiner à me tenir à ma monture pour cause qu’il n’a ni selle, ni bride.
Si je vois ça d’une autre manière, à travers les études et ma motivation: je suis surprise de rencontrer un changement -que je vois arriver d’ailleurs-, un ‘ouragan’. Je veux le reconduire probablement où je l’ai toujours laissé, dans le passé entre autre, qu’il représente aussi -puisque j’étais cavalière petite. Ces temps aussi où j’avais plus d’acharnement et de motivation qu’aujourd’hui.
Et je pense -si je pense bien- qu’un ancien caractère referait surface pour m’emmener loin et vite, me sortir de ma petite promenade de chat de salon pour rattraper mon retard ou aller puiser au-delà de mes capacités.
Et si j’ai dû mal à me retenir au cheval, à cette grande motivation, c’est peut-être que je n’ai pas pris tous les moyens nécessaires à ma grande traversée. Ou un état qui balance entre deux (se pavaner ou se bouger) malgré qu’il se tienne fermement aux crins du cheval.
Que dites-vous?