Aujourd'hui le Friday 26 April 2024, 116eme jour de l'année

L’Ouragan sur ses sabots et sa pupille morte.

18.66K vues

Bonsoir!
Pour faire court, un petit coup de pouce pour deux rêves récents m’aideraient grandement!

RÊVE 1
Invitée à une soirée chez des amis à mon compagnon (pour de plus amples connaissances) et avec lui, un cheval gris pommelé arrive trottinant. ‘Mais c’est Ouragan!’ je m’écrie. Je décide de bonne foi de le reconduire au club, là où il devrait être. Là-bas, tout est vide: pas de chevaux, pas âme qui vive, tout détruit, tout sinistre. Je pose des questions à voix haute à l’adresse du cheval, pour me rassurer. Je devrais laisser le cheval à sa place mais tout me gêne ici. Je pars avec lui. Une course-poursuite soudaine avec Pascal, le moniteur du club avec son air méphistophélique constant, et son chien boxer. Une longue course à travers champs, moi sur le dos d’Ouragan, peinant à accrocher sa crinière et ne pas être éjectée de son dos.

RÊVE 2
Assise sur mon lit, mon frère au sol, nous rions fort. Par inadvertance, je lui donne un coup de talon dans l’oeil. Il hurle de douleur, se cache les deux yeux avec ses mains et se balance comme pour se bercer. Je découvre au sol une tige dont le bout est marqué d’un point noir. Sa pupille! Je suis horrifiée, mal. Le décor n’existe pas; est sorte de halo noir.

Encore une fois, certains sens m’échappent. Si on pouvait éclairer ma petite lanterne! Merci beaucoup!

C’était plutôt le genre de folie qui nous prend lorsqu’on est souvent seul. Cet homme avait un petit chien, il me semble. Il lui parlait, bien sûr, et se parlait à lui-même en se dialoguant ses gestes et pensées.
J’aurais dû noter ce qu’il disait, je m’en souvenais pourtant il y a quelques jours, mais je crois qu’il parlait, pendant qu’il tenait son journal, de quelques choses comme ‘société de merde’, ‘tous cons’, ‘je les aime pas’. Enfin, quelque chose qu’il haïssait.

J’avoue me surprendre moi-même à déblatérer ma vie pour ma propre personne, et des fois, j’aimerais bien m’en débarrasser. C’est presque gênant.

‘Il lui reste donc ce qu’il a à gauche, c’est-à-dire les ressentis de son corps, ses émotions, ses intuitions.’
-> C’est donc un homme en entière introspection. Et son attitude effraie, ce qui le rend encore plus seul.

Ce dynamisme de vie instinctive, je la ressens bien dans la réalité. Je me sens pas mal émotive ces derniers temps; que j’en sais presque plus où donner de la tête!

La veille de ce rêve… C’était fin mars, ça c’est sûr… si c’est bien le jour auquel je pense, j’ai passé la soirée à fêter l’anniversaire de mon compagnon. Et j’ai dû rentrer chez moi… troublée -bien que ce ne soit pas négatif.

Quant aux tics: il fronçait les sourcils en marmonnant des insultes sur son journal. Mais je parlais plutôt de tics gestuels. Je ne peux pas vraiment le décrire alors je vais donner un exemple: quand vous êtes heureux d’avoir reçu une augmentation dans votre travail, vous souriez, vous pouvez vous mettre à danser 5s et faire des gestes de victoire dans le vide. Vous TRADUISEZ vos pensées en gestes. Le genre de choses extrêmement bizarre si vous êtes seul et que l’on vous regarde… Vous voyez?

Pour les termes folie/jolie, j’ai eu cette idée d’un coup. Mais je vais y réfléchir un peu plus. Je vous renverrai un post après là-dessus!

J’ai répondu d’un ton sincère et souriant à son compliment, et c’est là qu’il m’a suivie, tel un psychopathe avec des envies sinistres. Je me suis réfugiée dans un magasin qui fermait tard, sous l’œil d’une quarantenaire bienveillante, et tandis qu’il se débattait d’un homme pour m’attraper moi, je lui ai tiré dessus.

Mais j’ai fait le rêve deux fois de suite.
Un peu comme si j’avais deux possibilités, deux choix.
(Voire plus.)

La deuxième fois, je suis passée par le jardin du voisin d’en face -alors que lui dialoguait avec sa folie sur le perron de sa maisonnette. Il ne m’a jamais vue. J’ai volé une voiture sur le parking du magasin pour avoir fait un accident dans le village voisin, puis j’ai continué désespérément à pied, dans le froid, sur la route. À un rond-point, j’ai cherché refuge en prenant la route vers un château où un couple riche y résidait. J’avais peur et il y avait beaucoup de grandes portes et je ne savais laquelle était l’entrée. Mon rêve s’est terminé lorsque j’ai trouvé un interrupteur.

Vous affichez 1 des 0 réponses, cliquez ici pour afficher toutes les réponses.