Mon rêve m’accorde une rencontre avec .
Bonsoir!
Je pose la question, histoire de ne pas réfléchir à côté de la plaque.
J’ai eu une nuit agitée, mais j’ai pourtant fait un rêve dans lequel j’aimerais bien retourner…
Accompagnée de quelques de mes nouveaux amis, je retournais prendre des nouvelles d’anciens à la fac. Il faisait beau, d’une température agréable; c’était une fin d’après-midi. J’était émerveillée et toute secouée de retrouver les murs que j’avais déjà longé. Je parcourais le hall avec de grands yeux, répondant à mes amis derrière moi sur l’époque du style architectural -d’une manière qui voulait clore la conversation, un peu comme lorsqu’on veut écouter une belle musique sans bruit de fond. La hall était en reconstruction. J’y ai croisé une vieille amie, et toute excitée de me trouver là, je me suis laissée déborder par mes émotions: j’ai fondu en larmes dans ses bras!
La situation actuelle -la vraie-, est que depuis le début de la semaine, mon comportement est un peu fuyard, effacé. J’ai un penchant pour me retrouver seule et rêvasser. Je pense souvent à mon entourage que je n’ai pas revu depuis quelques semaines; je dois avouer qu’ils me manquent tous un peu, et que certaines fois, ça me fout un coup de blues.
Je ne peux pas nier que ce rêve est le miroir de ce à quoi je ‘rêvasse’.
J’y voyais aussi en arrière-plan -justement- que je délaisserais les autres personnes qui m’entourent actuellement de manière plus physique. Et je voulais savoir, si ce n’était pas un reproche à me faire.
Bien à vous.
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Bonjour Baptiste!
Oui, je parle bien de cette fac.
Je sentais dans ce rêve que je mettais les autres entre parenthèses. Ce n’est pas que je m’en voulais, mais je pensais que ce n’était peut-être pas correct.
Justement, fondre en larmes était un soulagement. Une manière de dire ‘Enfin, vous voilà, je suis rassurée, je suis heureuse!’.
J’étais vraiment contente de les retrouver, ce qui m’a poussé à relâcher et m’exprimer assez ouvertement.