Rêver de sa date de mort
Bonjour, voilà je me pose beaucoup de questions.
Mon mari est décédé il y a 4 mois et depuis qu’il est partit je rêve souvent de lui, notamment un soir où j’ai réver qu’il me donnait un morceau de papier avec inscrit ma date de mort dessus. Svp j’aimerai que quelqu’un me réponde, j’ai beau cherché a quoi pouvait correspondre cette date mais elle ne signifie vraiment rien.
Merci de vos réponses, cordialement.
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bonjour Jenny
Vous êtes dans un couloir , donc dans une situation transitoire qui peut vous sembler longue , et ou vous pourriez vous sentir à l’étroit en ce moment.
Cette maison , sans plus de signe d’appartenance, pourrait vous représenter . A l’étage vous seriez donc dans les idées, les pensées , les raisonnements, par rapport à votre vie quotidienne en ce moment.
Un homme ce sont également des idées et des pensées qui s’affirment à l’extérieur . Votre mari pourrait donc désigner des idées et des pensées DCD.
DCD serait un jeu de mots . on entend « dé céder » , céder à Dieu, car Dé veut dire Dieu. je vous ai préalablement expliqué la présence de Dieu dans les rêves .
Ce rêve vous montre donc à enlacer des idées et des pensées qui cèdent à Dieu .Qu’est ce que ça veut dire ?
Pour tenter de vous l’expliquer voila ce qu’a écrit une personne que j’ai bien connue :
« Quand nous sommes dans nos certitudes, nous suivons un système de pensées rigide, organisé, grâce auquel nous comptons pouvoir obtenir de la vie ce qui vous convient à nous, personnellement ; nous prétendons maîtriser la vie pour pouvoir n’en obtenir que le bien, le bon, le beau et échapper ainsi au mal et à la souffrance.
Voilà aux yeux du monde intérieur une ambition tout à fait égocentriste et limitée, qui ne correspond pas aux lois de la vie. Tôt ou tard, une épreuve vient nous surprendre et nous briser. Mais, si nous écoutons nos rêves à ce moment là, nous apprenons que nous passons par une étape essentielle qui a pour sens de broyer nos résistances égoïstes, de nous assouplir, de nous réduire à notre essence, si bien que nous devenons un instrument docile entre les mains de la vie qui cherche à s’exprimer à travers nous, selon son but et non le nôtre.
Nous comprenons alors que le sens de notre vie n’est pas de forcer les événements à se produire selon notre volonté, mais de nous couler dans son flux, de nous abandonner à cette force qui nous dépasse et qui cherche à nous faire sortir de nos limites étriquées. »
Excusez-moi de ne pas pouvoir vous en dire davantage , du moins pour l’instant .