Un massage, mon chargeur et la mort.
Bonsoir!
J’ai une drôle de sensation…
J’ai fait un très long rêve, mais l’essentiel est la fin.
Mon copain avait la chance d’aller se faire masser par une vraie masseuse (seulement les jambes, car le dos et le buste, c’était pas aujourd’hui) mais il aurait préféré le dos, car il avait mal à cet endroit. En attendant, je devais aller chercher mon chargeur de téléphone. Le veinard me rattrapa sur la route, refait et sentant bon. Il me pris dans sa voiture, tous deux sur la banquette. Oui, il arrive à rouler de là, et je lui faisais des bisous sur le trajet, fiévreusement amourachée. Je devais aller chez des amis -depuis le tout début du rêve. Au rond-point, il ne me fait pas confiance et préfère prendre la droite vers Andlau que tout droit -ou l’inverse? On est arrêté par un policier en gilet pare-balles et armé. ‘Sortez. C’est dangereux. Il ne faut pas rester là. N’allez pas dans cette direction.’ Quelques civils sont regroupés dans la rue. Le long de la route, des lumières rouges. Elles sont éteintes vers la destination inconnue et sous le brouillard. Une lumière bleue est allumée au milieu des rouges. Il fait froid. Tout le monde est paniqué, et je pressens comme eux l’arrivée de la mort…
Merci à vous!
30 Réponses
C’est bien possible.
Dans ce deuxième rêve, je l’accompagnais pour lui faire plaisir. J’y vais donc bien malgré moi. C’est comme si j’étais soumise à d’autres volontés que la mienne.
Je crois même que ce salon représente tout depuis le bac; en tout cas, aujourd’hui, je préférerais même retourner à la fac. Malgré tout on finit parfois par rencontrer des personnes intéressantes avec qui on s’amuse bien. Mais parfois, ça ne suffit pas.
Oui, à retrouver ce potentiel et trouver quoi aimer -je tiens à le redire, ne serait-ce que pour moi, car je pense que c’est important.
L’attente!! C’est le mot exact!
Oui, je recherche la fin de l’ennui et donc le début du travail -non que je ne travaille pas aujourd’hui-, du vrai.
Je pense comme vous qu’il est temps de trouver ce que je compte bien faire dès maintenant. Et c’est une bonne année qui arrive pour ‘partir de quelque chose’. Je ne pense pas me dérober de ce BTS -je garde les pieds sur Terre de ce côté-là, même si ça m’emmerde de l’admettre. Mais je pense que je devrais accomplir ne serait-ce qu’un petit détail chaque jour pour changer un tant soit peu le climat de névrosé qui m’entoure.
‘Eux’ sont les amis rencontrés sur place qui m’y ont aidé. Je leur avais fait part de mon envie de retrouver mon ami et d’en même temps rester en leur compagnie. Ils ont deviné que partir était ce dont j’avais le plus envie et m’ont aidé, accompagnée sur le chemin de la gare, et trouvé les prix et horaires du train.
Je n’ai pas ce sentiment. Je pense que ‘le dernier’, c’est juste un gyrophare alertant. Je pense qu’il serait temps, et que je ne devrais pas rester encore là et repousser le moment.
Je disais ça dans le sens ‘irraisonnable’. Quelque chose d’un peu fou, hors du commun. Qui nous fais oser, voyez.
Merci beaucoup, moi de même!