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Voir un camarade de classe décédé en rêve

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Salut…
Cette nuit, j’ai fait un rêve qui m’a fait peur..
Je cherchais un réparateur de téléphone mais il faisait très tard…Donc je me suis dite que tous les réparateurs avaient forcement fermés leur magasin..Il y avait par contre un magasin non fermé mais ce magasin je ne l aime pas même dans la vraie vie, parce qu’il y a trop de garçons lbs..Mais j y suis allée..et j ai vu à gauche du magasin un camarade de classe qui est décédé..Il avait porté un t-shirt rose foncé avec un pantalon noir..il était entrain de causer j’ai eu peur et je suis allée à droite du magasin..et j’étais à côté d’une fille et il est venu j ai eu très peur donc je suis partie..il m’a demandé pourquoi et je n ai pas répondu..je me suis réveiller par peur

Nci Question répondue 26 août 2020

Bonjour NCI

lorsqu’il est question pour vous de restaurer votre communication intérieure , ce magasin vous montrerait les difficultés que vous avez pour y parvenir .
1-La peur de Dieu qui vous semble parler et ne rien faire !
2- il y aurait quelque chose d’incompréhensible pour vous (A gauche de ce magasin)!
Il s’agit de ce garçon décédé qui est vivant !
Décrivez moi ce garçon . Que pouvez vous en dire ?
qu’est ce qui le caractérise ?
Auriez-vous un souvenir particulier avec lui ?
quelle relation aviez-vous avec lui de son vivant !

Voilà pour l’instant !

Nous autres humains avons toujours le sentiment que Dieu parle et ne fait rien pour nous .
Mais regardons , observons .!
En rapport avec le fait que nous ne voyons pas ce que fait Dieu, je vous joint un passage de Vercors. En 1944, il écrit que lui et ses compagnons d’armes sont désespérés et que la simple observation de 4 canards leur amontré de façon ostensible que la victoire est proche .

« …/ C’est alors que nous vîmes venir les quatre petits canetons.
Je les connaissais. Souvent j’avais regardé l’un ou l’autre, l’une ou l’autre de ces très comique boules de duvet jaunâtre, patauger, sans cesse une seconde de couiner d’une voix fragile et attendrissante…/
Cette fois, ils venaient tous les quatre à la file, à la manière des canards. Ils venaient de la grande rue, claudicants et solennels, vifs, vigilants et militaires. Ils ne cessaient de couiner…/ Le dernier était plus jeune, – plus petit, plus jaune, plus poussin. Mais bien décidé à n’être pas traité comme tel. il couinait plus fort que les autres, s’aidait des pattes et des ailerons pour se tenir à la distance réglementaire. Mais les cailloux que ses aînés franchissaient avec maladresse mais fermeté formaient, pour lui, autant d’embûches où son empressement venait buter…/ il se cassait ainsi la gueule et il se relevait et repartait…/ Ainsi défilèrent-ils tous les quatre, selon l’ordre immuable d’une parade de canards. Rarement ai-je assisté à rien d’aussi comique. De sorte que je m’entendis rire…/ Et les canetons, toujours couinants, tournèrent le coin de la ruelle, et nous vîmes le petit, une dernière fois, se casser la gueule avant de disparaître. Et alors, voilà, Randois nous mit ses mains sur les épaules, et il s’appuya sur nous pour se lever, et ce faisant il serra les doigts, affectueusement, et nous fit un peu mal. Et il dit :- A la soupe ! Venez. Nous en sortirons…./ »

amicalement

baptiste51 Question répondue 18 août 2020
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