Bonjour Baptiste!
Je ne vois aucun problème à vous en parler, c´est plus ou moins derrière moi. Eh bien, en fait non, ça ne s´est pas passé au moment de mon rêve! Comme vous l´aviez si bien dit dans un rêve précédent, les songes proposent une situation, exposent le problème, avant de révéler une solution. Je crois avoir percé le mystère de ce rêve…
En réalité, j´ai fait la connaissance de mauvaises personnes dès ma première année de collège. Cette fréquentation s´est poursuivi jusqu´à mon année de première, moment où j´ai commencé à me poser des questions sur cette relation. J´ai toujours était gentille, de bon coeur, mais pas stupide. Néanmoins, je n´ai pas dû voir les petits signes qui démontraient la fausseté de cette amitié. J´en ai beaucoup souffert, et dès ma terminale, mon âme s´est durcie, et je me suis mise à penser avec haine, bien que ma raison en pensait autrement.
Maintenant que j´y pense, le rêve retrace un peu le renforcement de caractère que ça m´a donné.
Joyeuse, je n´ai pas vu venir le danger pourtant ´prévenu´ par le ciel. Je suis le petit garçon mais aussi le petit blond qui veut être accepté dans un groupe qui ne semble pas lui correspondre. Je suis bizutée, torturée. Je suis en colère mais je n´arrive pas à frapper. Je me ´réveille´, sous l´enveloppe moins innocente et enfantine de l´ado rebelle (cf. pantalon de cuir). Je me réconcilie d´ailleurs avec une partie de moi-même que je n´arrive pas à identifier (à moins que je prenne simplement conscience de la source du mal). Je veux me venger, mais la raison, peut-être, me retient.
C´est l´essentiel, on pourrait dire…
Mais je reste perplexe quant à l´épisode où le petit garçon reprend conscience avec des tatouages d´anneaux de pouvoir, ainsi qu´à celui où il est perché dans l´arbre et qu´il voit la femme blonde. Et ces langues ancestrales sur des notes de piano, ça, c´est vraiment étrange…
Voilà ce que j´en pense pour le moment.