Bonjour lulu et merci pour votre réponse.
Le moi et le surmoi sont deux choses complexes que j´ai étudié à maintes reprises dans mes années d´analyse que j´ai arrêté ( on ne peut pas passer sa vie en thérapie et faire du fric à ces gens vitam eternam, ca fait du bien de souffler).
Étrangement, je ne me culpabilise pas du tout pour cette prof de philo, je ne ressens rien. Plus rien, ni amour, ni haine pour elle.
Je ne vois pas ce que je lui aurais fait subir. Elle a aussi été très ambigüe avec moi d´ailleurs dès le départ, je regrette une chose : m´être confiée à cette femme, l´avoir idéalisé, m´être faite ridiculisé par elle, être rentrée dans son jeu malsain.
Une connaissance en terminale m´avait dit de me méfier e cette prof et de ne pas me confier à elle. JE en l´avais pas écouté.
Non, je ne vois pas de culpabilité.
Par contre moi la manière dont je l´aurai analysé c´est un rêve qui me préviens des dangers avec cette prof actuelle . Certes elle a du charme, elle déambule bien des hanches dans les allées de cours, beau sourire. Mais surtout elle fait des différences entre les élèves, en écoutant certains, en rejetant d´autres, elle change souvent d´humeurs etc.
Le rêve me dit " attention, ne recommence pas à te confier à elle. Le charme ne fait pas tut, derrière cette jolie tête, se cache peut être le même monstre que la prof de philo"
Quand je me réveille terrorisée, ce n´est pas de moi que j´ai peur, mais d´elle.
Pour le reste, je ne me méprise pas, j´essaye de m´aimer justement. Par contre les autres ne m´aiment pas toujours beaucoup, ce qui s´avère être douloureux quand on est un être humain.
Merci beaucoup pour votre analyse, mais moi je le vois comme ça.
Maintenant je ne cherche pas qui a raison, ce ne sont que des rêves.
J´ai vu que vous vous êtes inscrite recemment. Laissez aussi vos rêves
Bonne journée,
[clin] [clown]