Vous voulez dire que j´écoute plus mon inconscient et que j´ignore mon/ma… ?
42443 rêves interprétés dans notre dictionnaire des rêves à la lettre
Cours de danse.
Bonjour,
Oops, je reprend ma phrase "…vous écoutez plus votre inconscient et vous ignorez votre conscient…"
Bonne journée !
Cours de danse.
J´ignore ma conscience… Et moi qui croyais être braquée dessus et ignorer mes messages d´alertes…
Non, je refuse d´extérioriser mes sentiments. Je ne vais tout de même pas me mettre à pleurer en plein cours.
Bonne soirée,
Laura.
Cours de danse.
Bonjour,
Quand votre corps souffrait (malaises) vous n´êtes pas partie tout de suite chez le médecin bien que vous saviez que ce n´était pas normal…c´est ce qu´on appelle NE PAS ECOUTER SON CONSCIENT…Ensuite, vous avez fais des rêves dits "étranges" qui vous ont fais peur et là vous vous êtes décidé d´aller voir le médecin….
Pas pleurer à chaudes larmes mais laissez couler deux ou trois larmes discrètement ça soulage et de beaucoup !!!
Qu´en pensez-vous ?
Bonne journée !
Cours de danse.
Non, je suis bloquée. Je ne veux pas pleurer devant des gens, sur ce domaine d´extériorisation de sentiments je suis comme un train qui roule sur une voie, programmé par un logiciel que tu ne peux pas stopper. Tu comprends ?
Oui je suis consciente de ma connerie, donc autant la changer. Mais c´est dur tu sais…
J´suis braquée en fait. J´suis comme un ordi avec une puce incrustée dans le système. Au moins, j´en suis consciente…
Ouais parce que la raison pour laquelle j´ai envie de pleurer c´est vraiment du plus profond de moi. Donc si vous voulez le fait de le montrer me mets à nue. J´ai l´impression d´être exhibe. Alors qu´en réalité, je n´ai rien contre les exhibe, tant qu´ils n´agressent pas…
[perdu]
Cours de danse.
Bonjour,
Les choses doivent se faire doucement mais surement…vous êtes dans une phase de prise de conscience importante … la danse vous a permet de vous connaître et d´exploiter vos possibilités et surtout vos limites chose dont vous aurez surement besoin dans le futur dans le domaine perso. et surtout prof. …je vous assure qu´à votre âge c´est impressionnant … vraiment !!!
Vous avez un fort caractère et une forte personnalité qu´il faudra apprivoiser pour éviter qu´elle ne "durcisse" quand vous deviendrez une femme.
Bonne journée !
Cours de sciences
Bonjour Léa,
je pense que votre rêve a encore un lien avec les deux autres… mais avec une optique assez différente et surprenante.
Voilà mes conclusions:encore dans une salle, avec du monde, vous cherchez donc à situer ce que vous êtes, vos reprères.
Votre double jumelle serait votre objecteur de conscience, et votre personnage aspire à vivrses envies, désirs, même les moins reluisants (sous la table) quoi qu´il arrive(vous persistez).
Vous arrivez à vos fins (il vous rejoint sous la table) en usant de "vice (séduction, chatouilles…), ce que réprouve votre bonne conscience.
Ces envies et pensées apparaissent comme sales pour ce côté "ange"(crottes), mais ls moyens que vous mettez en oeuvre pour séduire cet homme vous conviennent (goût sucré)
Par ailleurs vous essayez de repousser la faute sur autrui, ou ne reconnaissez pas le tort que vous avez à persister dans votre position (dans la vraie vie) et qui se traduit par le fait que vous disiez au second prof que ce n´est pas vous qui avez fait le devoir
Finalement c´est beaucoup pour votre subcosncient, vous sortez et affrontez une opinion publique qui vous semble hostile (bataille avec les délinquants)
Quoi qu´il en soit toute justification pour autonner vos actes sont nuisibles (vous finissez par ne plus pouvoir articuler un son)là je mettrai le parallèkle avec le pouvoir créateur (et destructeur) de la parole.
J´ai fait une interprétation littérale et non thématique mais j´espère vo avoir un peu éclairée.
Bonne nuit
Cours de sciences
Bonjour !
En fait, il y a eu plusieurs confusions; je suis désolée de ne pas avoir été plus claire !
" Vous arrivez à vos fins (il vous rejoint sous la table) en usant de "vice (séduction, chatouilles…), ce que réprouve votre bonne conscience. "
— Là, il ne me rejoint pas sous la table, mais accepte de faire mon devoir.
" se traduit par le fait que vous disiez au second prof que ce n´est pas vous qui avez fait le devoir "
— Ici, ce n´est pas au second prof mais à l´eleve que j´ai croisé au fond du couloir. Ce qui veut dire que je suis plutôt franche, je dis haut et fort que j´ai triché.
Pour le reste, je suis bien d´accord. Tout colle ! Merci, bonne nuit.
Cours de sciences
Désolée pour les confusions
Bonne journée à vous
Cours forest, cours.
[ITALIC][COLOR=blue][SIZE=1]Me revoilà… Je fus assez occupée ces derniers temps…[/SIZE][/COLOR][/ITALIC]
Pour pouvoir interpréter ce rêve, j´ai tout d´abord besoin de poser de contexte générale, tout en me servant de mes citations.
Notons que les mots que j´ai écrit sortent tout droit de l´impression que m´a donné mon rêve… [BOLD]Ils sont donc fondamentales à une bonne interprétation. [/BOLD]
"J´étais dans ma chambre. Avec mon ex-prof de danse. A un moment je l´ai fuit."
>>> Dans la réalité, je la connais depuis la rentrée scolaire. J´ai fais de nombreux cours [UNDERLINE]avec[/UNDERLINE] elle : "[BOLD]j´étais[/BOLD] […] [UNDERLINE]avec[/UNDERLINE]". Notons l´utilisation de l´imparfait, utilisé pour décrire une habitude, ou une action continuelle.
J´étais effectivement dans le cadre d´une habitude lorsque je prenais mes cours avec elle.
"A un moment je l´ai fuit. Jusque là son air démoniaque ne me dérangeait point jusqu´au moment où une mouche me piqua."
>>> "A un moment je l´ai fuit". Le verbe "fuir" est ici à prendre à son sens figuré. En effet, je l´ai [ITALIC]quittée rapidement[/ITALIC], mais d´une façon imagée. C´est comme lorsque vous quitter un travail. Soulignons que le verbe [ITALIC]fuir[/ITALIC] est étroitement lié au [ITALIC]danger[/ITALIC]. Nous y reviendrons un peu plus tard.
"A un moment" signifie ici brusquement ; en effet, l´idée de la quitter m´est brusquement venue. Ca n´avait pas du tout été prévu, mais c´est survenu d´un seul coup, à cause de [ITALIC]la goutte qui a fait déborder le vase[/ITALIC], soit ici la "mouche qui [me] piqua".
"Jusque là son air démoniaque ne me dérangeait point" : cela est tout à fait fidèle à la réalité.
Si l´on prend la seconde phrase en entier, on obtient, en paraphrasant, que son air démoniaque ne me dérangeait pas, que j´y faisais abstraction, jusqu´à que quelque chose vienne me réveiller.
>>> Tout à fait vrai pour la première partie. De plus, son aspect mauvais ne m´a [UNDERLINE]vraiment[/UNDERLINE] dérangée que le jour où il s´est retourné contre moi. Cette [ITALIC]aspect[/ITALIC] va bien plus loin que l´[ITALIC]aspect physique[/ITALIC], en fait. Bien que l´on trouve dans le dictionnaire [ITALIC]"Manière dont quelqu´un ou quelque chose se présente à la vue ; apparence, extérieur"[/ITALIC] cette aspect-là est son aspect intérieur, mais [ITALIC]rendue visible[/ITALIC] par sa [ITALIC]mauvaise langue[/ITALIC].
[BOLD]La parole qu´elle avait prononcé a été la goutte qui a fait déborder le vase. C´est pour cela que j´ai décidé de la quitter, du jour au lendemain.
[/BOLD]
¤¤ Ensuite, la notion de séparation, caractérisée par ma fuite est amplifiée : "J´ai couru […] du plus vite que j´ai pu."
>>> De la crainte est vraiment exprimée ici. [BOLD]Pourtant, je n´avais pas peur d´elle, mais peut-être de ce qu´elle est au fond.[/BOLD] Comme je l´ai précédemment évoqué, c´est son [ITALIC]aspect intérieur[/ITALIC] -m´ayant été révélé- qui a fait que je l´ai quittée.
Si l´on caricature, Madame E. apparaît comme étant une prédatrice, et Forest une proie, qui cours pour sauver sa peau, et se tirer des griffes du prédateur !
Pourquoi une représentation symbolique me direz-vous ? C´est qu´il y a une raison à cela. Nous y reviendrons un peu plus tard.
"Je pensais que Madame E. était restée dans ma chambre. Qu´elle m´avais laissée fuir. C´est étrange, parce que je sentais poursuivie, bien que je ne la voyais pas. Oh ! La voilà !"
>>> Ici, on a clairement l´image d´un prédateur qui surgit d´un seul coup, sans prévenir. [BOLD]Madame E. apparaît clairement comme quelqu´un de vicieux : "je me sentais poursuivie, bien que je ne la voyais pas". Il est important que le vice lui convient très bien dans la réalité.[/BOLD]
Voici un autre aspect de prédateur qu´elle dégage ; elle survient d´un seul coup, d´où ma surprise à la voir apparaître : "Oh ! La voilà !".
"Je la sème. Madame E. n´est maintenant plus qu´une grosse tête dépourvue de corps. On se croirait dans un jeu vidéo."
>>> [BOLD]Ma crainte est tournée en dérision. J´ai tellement peur, que je préfère me moquer de cette dernière et caricaturer la situation dans laquelle je me trouve[/BOLD]. Evidemment, c´est mon subconscient qui le fait, mais cela est révélateur sur ma personnalité de tous les jours.
—> [COLOR=#006600][SIZE=1]Madame E. est ici source d´épouvante. Sachez que dans la réalité, elle en terrorise certaines. Quand je vois ça sous mes yeux, je suis effarée…[/SIZE][/COLOR]
"Je cours, il y a des passants au passage. Oh. Un mec. Je fais marche arrière. LEmec.
– Je me fait poursuivre par une dingue, tu ne voudrais pas m´emmener chez toi ?
– Oui, ok, me répond-t-il d´une façon avenante.
Lui, c´était vraiment Lemec qu´il fallait que je trouve. Imaginez-vous, un type comme cela !"
>>> On comprend bien que là, j´avais besoin de quelqu´un. J´étais en train de fuir Madame E., cela était [ITALIC]bon[/ITALIC], mais [BOLD]j´avais besoin de quelqu´un[/BOLD] qui m´emmène [ITALIC]quelque part[/ITALIC], [BOLD]qui me donne refuge[/BOLD]. Il y a là, rue de Rome, des "passants", soit des gens qui me sont étrangers. Mais je reconnais Lemec, tout d´abord vaguement : "un mec". C´est par observation de son visage que ce dernier se définit peu à peu, et qu´il devient "LEmec". Notons qu´il paraît [ITALIC]plus qu´évident[/ITALIC] à mes yeux…
[BOLD]Notons que sans lui, je n´aurais pu me sauver, puisque ma fuite se serait vouée à l´échec : ainsi, au-delà d´être comme un auxiliaire, il apparaît comme étant un [ITALIC]sauveur[/ITALIC].[/BOLD]
[ITALIC][COLOR=#006600][SIZE=1][CENTER]Faisons un petite pause.[/CENTER][/SIZE][/COLOR][/ITALIC]
J´avais précédemment mentionné que Lemec ressemblait à M. Ce dernier est un type que j´ai rencontré dans un lycée -garçon fort sympathique- que je ne revois plus, étant donné que je ne retourne plus dans ce lycée. J´avoue que, parfois, je suis nostalgique quand je repense à lui…
Mon subconscient a fait d´une pierre deux coups : en plaçant M. entre tous ces "passants", il m´a d´une part donné l´envie d´aller vers lui, et d´autre part, m´a soulagée en me procurant une rencontre imagée avec ce type, qui, je crois, commence à me manquer. [4]
¤¤ [BOLD]Revenons à nos moutons.[/BOLD]
On pourrait également noter que celui que je qualifie de "[DU]mec qu´il fallait que je trouve !" et de "type comme cela !" a un double-sens. Il évoque d´une part le fait que Lemec me sauve, et d´autre part que M., dans un contexte amoureux, [couteau]
[COLOR=#FF0000][SIZE=1][CENTER]Non, je n´en parlerai pas.[/CENTER][/SIZE][/COLOR]
"Puis on a couru ensemble. Je ne sais où. Cours forest cours ! On s´est retrouvé dans un endroit indescriptible… "
>>> D´un côté, cette citation à l´air d´être tirée d´un roman à l´eau de rose… Mais le point le plus important est que la menace est toujours là. Lemec m´aide à m´enfuir, il prend donc par à ma peur. Concernant l’interprétation de "l´endroit indescriptible", elle viendra un peu plus tard…
"Et un mur métallique, très haut et très lisse, que nous avons escaladé, comme si nous avions des appuis."
>>> [BOLD]Je voyais le mur on-ne-peut plus lisse : il n´avais aucune rugosité. De fait, il est impossible de le gravir, et ce, d´y prendre appui. Cette escalade relève donc du miracle.[/BOLD]
"Madame E. nous lorgnait d´en bas. Elle était furieuse que nous lui échappions. Mais, en même temps, qu´est-ce qu´elle nous enviait…
J´étais là-haut, avec Lemec. Lorsque Madame E. a rebroussé chemin, le rêve s´est terminé."
>>> On comprend bien que Madame E., est "furieuse que nous lui échappions", d´avoir laissé d’échapper sa proie : comme tout prédateur qui se respecte. [BOLD]Mais ici, un autre aspect est dépeint : son envie. Notons que lorsque je suis en haut du building, je suis "très-haut", qui peut aussi s´interpréter en tant que [ITALIC]Très-Haut[/ITALIC].[/BOLD]
Madame E. aurait aimé y être, [BOLD]mais elle ne peut pas[/BOLD]. Ainsi, elle "nous lorgn[e] d´en bas". [BOLD]Notons que le regard en biais qu´elle lance fait preuve d´un certain orgueil[/BOLD] : c´est ainsi qu´elle est dans la réalité.
Au final, "Madame E. [rebrousse] chemin" et "le rêve [se termine]". [BOLD]Le rêve, ou [ITALIC]l´histoire[/ITALIC], se solde donc par la défaite de Madame E.[/BOLD]
[ITALIC][COLOR=blue][SIZE=1]Un petit instant…[/SIZE][/COLOR][/ITALIC]