Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Poche

  • Que l’on voit à une robe ou à un manteau : mise en garde contre trop de négligence dans la garde de choses importantes.
  • Dans laquelle on place quelque chose : on perdra quelque chose.
  • Dont on sort quelque chose : on retrouvera quelque chose qu’on avait perdu ou mal rangé.
  • Dans laquelle on cherche quelque chose que l’on ne trouve pas : surprise désagréable.
  • Que l’on perd ou que l’on ne peut pas trouver : on se trouvera dans une situation gênante.
  • Perdu ou mal rangée qu’on retrouve : surprise joyeuse.
  • Pleine: apparence trompeuse.
  • Faire ce rêve alors qu’on croit terminée une affaire ennuyeuse indique qu’elle reviendra sur le tapis.
  • Les poches percées présagent diminution de gain, pertes, indigence.
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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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Nez

Illustration d'un nez

Illustration d’un nez

  • Question de puissance, dans la plupart des cas, interprétation sexuelle
  • parfois mise en garde contre une maladie de l’encéphale et des irritation.
  • Particulièrement grand ou anormal que l’on voit : équivalent d’une mise en garde de ne pas se mêler des affaires d’autrui.
  • Que l’on se voit à soi même : ne pas se laisser déconcerter dans l’exécution d’un plan ou d’un travail par les bavardages de tiers.
  • Qui ne laisse pas passer d’air : des obstacles ou des difficultés dans une affaire.
  • Que l’on voit saigner : perte de fortune.
  • Rêver avoir le nez coupé ou supprimé de quelque façon que ce soit: décès dans la famille
  • se voir un nez très développé en longueur et largeur: paillardise.
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Nom

  • Doit être interprété comme un appel à soi même, comme une mise en garde de ne pas perdre sa propre identité.
  • Entendre son nom : une personne chère est dans la détresse.
  • Le lire : on est cité ou connu en public.
  • L’écrire : mise en garde de ne pas adopter une attitude définitive dans une affaire.
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Champignon

  • Symbole sexuel
  • il ne faut pas se laisser empoisonner par des séductions.
  • Que l’on voit : prudence dans le choix de ses amis.
  • Voir des champignons comestibles, on aura des amis de peu d’apparence, mais influents.
  • Vénéneux : mise en garde contre la perfidie de tiers.
  • Cueillir des champignons : on trouvera son bonheur à l’écart des bruits du monde.
  • Manger par mégarde un champignon vénéneux : mise en garde contre un grand malheur.
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Comment interpréter vos rêves ?

C’est une bonne question, comment interpréter ses rêves ?

 

Nous avons déjà abordé le sujet à plusieurs reprise mais l’interprétation des rêves n’est pas une chose facile, déjà parce-que suivant les personnes la méthode n’est pas forcement la même et de plus c’est pas forcement quelque chose d’universel. L’idéal, comme nous l’avons déjà évoqué sur le site c’est que le rêveur lui même analyse son propre songe.

 

Nous aborderons ici une nouvelle proposition de méthode d’analyse de vos propre rêves.

 

Premièrement – Faut il analyser tout les rêves ?

 

La réponse est évidemment non, la plupart des rêves sont simplement le résultat d’un travail interne à votre cerveau, organiser la journée du lendemain, traiter les informations de la journée…

Rêves type alice au pays des merveilles

Rêves type Alice au pays des merveilles

 

En gros pour faire simple, votre cerveau ne fait que se repasser des informations en vrac et se formaliser sous forme d’un rêve souvent plutôt en mode bande annonce de film :).

 

Ces rêves ne sont donc pas une base de travail pour quelconque interprétations.

 

 

 

Quels sont les éléments qui nous indique que ce rêve rêve est à interpréter?

  1. Un rêve qui vous semble important.
  2. Un rêve « récurent ».
  3. Un rêve qui vous laisse un souvenir important.
  4. Un rêve qui est plutôt facile à se souvenir.

 

Dans un second temps – Le récit de votre rêve :

 

La chose la plus importante à faire c’est de pouvoir raconter son rêve, l’idéal c’est de pouvoir extérioser le souvenir de votre songe, en quelque sorte il s’agit d’ecrire votre rêve de la facon la plus complete pour qu’autruit puisse s’immerger dans votre rêve comme si cette personne lisais un romant.

Tel une rédaction, il faut bien détailler l’ensemble :

  • Éléments connu du rêveur qui vit le rêve, votre travail est cohérent dans votre songe, vos connaissances, vos amis bref votre environnement est il cohérent?
  • La situation du rêve ? fait-il nuit, jour … ?
  • Le lieu où se passe votre rêve ?
  • Les émotions / sentiments que vous ressentez ?

Vous avez compris, plus vous pourrez détailler ce songe plus vous pourrez l’interpréter au plus juste.

 

La synthèse ou le résumé de votre rêve :

 

L’idéal après avoir écrit la version longue de votre songe, il faut maintenant synthétiser tout ça pour ne garder que l’essentiel :). Le but étant que vous vous détachiez de votre rêve pour ne garder que les éléments important et donc certainement ce qui vous aidera à déterminer la clef de votre rêve.

Normalement après cette étape il ne vous restera que des éléments oniriques qui seront plus facile à interpréter.

 

L’interprétation des symboles clés !

 

Il vous reste dans votre sac tout un paquet de mot clef qui seront des clefs pour interpréter votre rêve.

Livres d'interprétation des rêves

Livres d’interprétation des rêves

Comme vous l’avez remarquer pour rechercher dans un dictionnaire des rêves il vous faut des mot clef, des symboles. Il vous faut arriver à faire ressortir les éléments clef de votre rêve, vous seul êtes capable de choisir les éléments importants en fonction de votre ressenti lors de votre rêve.

Vous avez par exemple rêvé que vous preniez l’avion mais plus encore vous étiez le pilote de cet avion, malheureusement cet avion s’est écrasé. Ici vous rechercherez avion et pilote ensuite à vous de faire l’interprétation qui vous semble la plus juste en fonction de votre vécu.

 

Trouver la problématique :

 

Normalement lorsque vous arrivez à cette étape le travail est presque fini, vous vous posez moins de question vous avez des pistes de solution(s) sur votre rêve de la nuit dernière. Reste à mettre dans l’ordre tout ça pour obtenir une interprétation 🙂

 

L’interprétation !

 

Et finalement vous y êtes arrivé vous avez une idée de ce que peut signifier votre rêve !

L'environnement du rêveur est important

L’environnement du rêveur est important

 

Si vous avez encore des doutes n’hésitez à poster votre rêve sur notre forum et l’idéal serai que vous postier également votre proposition d’interprétation afin d’avoir l’avis des intervenants du forum 🙂 effectivement il est plus simple pour le rêveur d’interpréter son propre rêve plutôt qu’a une personne extérieur.

 

 

 

Vous avez donc maintenant tout les éléments qui vous permettrons d’interpréter au mieux vos rêves.

 

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Gage

  • On ne sait comment échapper à de graves soucis et on doit chercher à sauver ce qui peut l’être encore.
  • Que l’on donne : mise en garde contre une liaison ou un engagement irréfléchis ou désavantageux.
  • Que l’on reçoit : on peut se fier à une amitié ou à une connaissance.
  • Participer à un jeu de gage : il ne faut pas s’embarrasser des moyens pour parvenir à son but en amour.
  • Rêver que vous recevez quelque chose en gage signifie qu’on cherchera à vous faire tort, mais que vous tiendrez une garantie vous permettant de contrôler la personne malintentionnée à votre égard.
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Fils

  • Réclamation intérieure parce que la vie profonde n’est pas en ordre, si ce n’est pas une mise en garde directe de veiller sur son fils.
  • Voir son propre fils : intervient très souvent dans les domaines de la transmission de pensée, de la double vue et du ‘sentiment à distance’. Ce sont les détails de la vision qui revêtent une importance majeure
  • d’une manière générale, il existe un rapport entre les circonstances dans lesquelles le père ou la mère voit son fils et la réalité.
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Masques

  • Symbole de la peur de la vérité ou de la révélation
  • souvent manque de clarté sur soi même ou sur une autre personne.
  • Que l’on voit : mise en garde contre un faux ami ou une intrigue ou exhortation à ne pas être trop bavard.
  • Que l’on porte : on est dans l’existence un bon comédien pour le meilleur et pour le pire.
  • Être à un bal masqué : on joue avec quelqu’un et ses sentiments, ou l’on est soi même le jouet d’un autre.
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Officiers

  • Rêve prémonitoire: prudence dans la rue.
  • Que l’on voit : mise en garde contre des relations avec des personnes agissant à la légère.
  • Que l’on a : des relations avec des personnes agissant à la légère seront la cause de dommages ou de désavantages.
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