Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Cerisier

  • Que l’on voit : annonce le beau temps.
  • Sur lequel on grimpe : une amourette à court terme.
  • Dont on tombe : désenchantement après une aventure gaie.
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Course

  • Faire la course: le vaincu triomphera du vainqueur.
  • Si vous courez avec un individu d’une autre espèce que la vôtre, comme, par exemple, un animal: triomphe du vainqueur sur le vaincu.
  • Dans l’animal on doit voir la personne ou la chose qu’il représente.
  • Vouloir courir et ne pas pouvoir: maladie, obstacles, difficultés
  • courir: fortune prospère, bonheur
  • pour un malade: danger
  • courir avec rapidité, impétueusement: bien inattendu
  • avec crainte: sûreté
  • d’autres disent: exil ou fuite du songeur: courir après un ennemi: triomphe, profits, vengeance satisfaite
  • après une gazelle: gros bénéfices
  • après un gibier: pertes
  • courir tout nu: folie, tromperie de patients.
  • Voir une femme qui court: déshonneur pour elle
  • voir des hommes qui courent ensemble: disputes, querelles
  • s’ils sont armés de bâtons: émeute, insurrection, guerre.
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Les étapes

Une nuit de sommeil est constituée d’un certain nombre de cycles qui se succèdent les uns aux autres. Chacun d’entre eux dure environ quatre-vingt-dix minutes, et notre sommeil est ainsi découpé en périodes égales d’à peu près une heure et demie. Ces périodes elles-mêmes sont divisées en plusieurs phases.

 


 

Le stade du sommeil léger ou stade 1.

 

à l’heure habituelle où vous vous couchez, le cerveau sécrète une hormone, la sérotonine, qui provoque somnolence, bâillements, picotements des yeux. Si vous vous couchez à ce moment-là, vous vous endormez facilement. Ce stade est très court et caractérisé par de petits spasmes brusques et de petits tressaillements musculaires, tandis que le pouls et la respiration se ralentissent, deviennent très réguliers et que la température corporelle s’abaisse. à ce moment, nous ne rêvons pas encore, seules quelques images nous traversent l’esprit, et le moindre bruit nous réveille.

 


 

Du sommeil léger au sommeil lent profond, le stade 2:

 

Beaucoup plus long, représente une étape transitoire. L’activité cérébrale se réduit, la diminution des sensations est nette, mais un bruit léger reste susceptible de provoquer le réveil.

 


 

Le sommeil lent profond véritablement installé ou stade 3:

Durant cette phase, vous êtes presque totalement isolé du monde extérieur, et il est difficile de vous réveiller. Les muscles sont totalement relâchés, la température est basse et la respiration très lente et régulière. C’est dans cette période que peuvent survenir des troubles du sommeil comme le somnambulisme.

 


 

Le  » sommeil paradoxal « , ou stade 4, est la phase la plus étonnante :

Le corps paraît totalement détendu et les muscles relâchés comme au cours du sommeil lent profond, mais, en même temps, l’activité cérébrale est très intense. Sous les paupières, les yeux sont animés de mouvements très rapides, une érection se produit souvent chez l’homme et le clitoris de la femme augmente de volume, le pouls et la respiration sont irréguliers.Cette période de sommeil paradoxal est celle où l’on rêve de façon intense. Elle représente en moyenne 20% du temps total de sommeil pour une nuit normale, mais sa durée s’allonge à mesure que la nuit avance. Très courte lors des premiers cycles, elle peut se prolonger plus de vingt minutes lors du cinquième ou sixième. Ce qui signifie que plus nous dormons, plus nous rêvons, et inversement.

Lorsqu’ils sont réveillés au cours de cette période, la plupart des individus peuvent décrire très facilement leurs rêves ou leurs cauchemars, en évoquant des détails précis.

Cependant, le sommeil joue sans doute un rôle positif dans la mémorisation et l’assimilation des connaissances. Ainsi, certaines études ont montré que lorsque l’on fait apprendre des mots, en début de journée à un groupe d’individus, et juste avant de dormir à un autre, on s’aperçoit que c’est le second groupe qui s’en souvient le mieux le lendemain. Il faut donc bien admettre que le sommeil est un facteur essentiel d’intégration des connaissances, dans la mesure où un bon sommeil combat le stress, qui influe sur la mémorisation.

Malheureusement, cette perspective a été abandonnée, notamment parce que la masse d’information ainsi diffusée ne pouvait être réellement retenue par l’élève totalement passif, mais aussi parce qu’il apparaissait très difficile de faire co ncider précisément le moment de diffusion des informations avec le temps exact des phases de sommeil paradoxal.

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Sol

  • Que l’on voit et sur lequel on court : joie et peine.
  • Sur lequel on est étendu : invitation à veiller à sa santé.
  • Sur lequel on est assis : la situation devient de moins en moins sûre.
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