- Que l’on voit ou mange : force et santé
- Que l’on reçoit en cadeau : on aura un bon camarade.
- Que l’on offre en cadeau : ce n’est pas avec du vinaigre qu’on attrape les mouches.
Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :
Oeuf
Cas général :
Plans conduisant au succès.
- Voir ou avoir un oeuf : bonne entente au foyer.
- Trouver un oeuf : annonce une liaison stable avec quelqu’un, chez les célibataires : fiançailles ou mariage.
- Voir ou tenir dans la main un oeuf très gros : événement très avantageux.
- Voir une poule pondre un oeuf : bonnes nouvelles.
- Manger un oeuf : les soucis relatifs à la nourriture sont éliminés.
- Un bel oeuf en chocolat : on fera la connaissance d’un Don Juan ou d’une dame très élégante.
- Voir des oeufs très coloriés : gros chagrin.
- Des oeufs rouges : mort ou colère d’un ami ou danger d’incendie.
- Jaunes : annonce une maladie.
- Laisser tomber un oeuf : désunion et commérage.
- Un oeuf pourri : on aura mauvaise réputation.
- Ouvrir un oeuf et y trouver un poussin : gros gain, surtout à la loterie.
- Voir éclore des poussins : événement heureux dans la famille, qui se traduit par une amélioration de la situation.
- Jeter sur quelqu’un des oeufs pourris : une injustice que l’on à commise va être vengée.
- Significations traditionnelles: oeuf donné: enfant pour qui le reçoit
- oeufs cuits : réussite
- manger des oeufs crus: on commettra quelque luxure.
- Rêver qu’on casse un oeuf: sacrifice d’une virginité.
- Trouver des oeufs: augmentation de votre progéniture.
- Vendre une quantité d’oeufs: bénéfices.
- Les oeufs boruillés que l’on prépare ou que l’on mange : on saura tirer le meilleur parti d’une certaine occasion.
De pâques :
- Que l’on cache : séparation passagère d’une personne aimée.
- Que l’on cherche : on est amoureux.
- Que l’on trouve : on est aimé.
- Dont on fait cadeau : on sera conquis par l’amour d’un autre.
- Que l’on reçoit en cadeau : s’attendre à une déclaration d’amour.
- Que l’on mange : un amour trop passionné aura des conséquences inattendues ou importunes.
Le dormeur
Elles sont de deux types, l’un physique, l’autre psychologique.
L’exercice physique pratiqué dans la journée influe sur notre sommeil, ce qui revient à formuler cette règle d’or : une activité sportive exercée plusieurs heures avant l’endormissement est un excellent moyen de favoriser le sommeil et de vaincre l’insomnie, mais un exercice physique intense accompli peu de temps avant de s’endormir est, en revanche, néfaste.
Les repas trop importants, trop gras et/ou trop alcoolisés sont à éviter le soir. En effet, ils entraînent une digestion longue et difficile, préjudiciable à un bon sommeil.
Le café d’après-dîner est également à éviter, mais il n’est pas rare que les personnes qui assimilent lentement la caféine soient conduites à s’abstenir de café également dès le milieu de l’après-midi, voire même, parfois, dès le déjeuner. à un degré un peu moindre, il en est de même pour le thé, et toutes les boissons à base de cola (Coca-Cola, Pepsi-Cola) qui sont aussi des excitants. Le chocolat et l’orange peuvent également être rangés dans cette catégorie. Il est donc nettement préférable de remplacer tous ces produits excitants par une tisane sédative, de tilleul par exemple.
Le tabac est également à proscrire, car c’est aussi un excitant, mais il est vrai que les gens habitués à fumer une dernière cigarette avant de dormir ont souvent les plus grandes difficultés à trouver le sommeil si elle leur manque, car elle devient, pour l’organisme, une sorte de signal précédant l’endormissement. Faute de ce signal, le sommeil est parfois difficile à trouver.
Les conditions psychologiques sont sans doute encore plus déterminantes. Pour pouvoir trouver le sommeil, il faut être le plus détendu, le plus serein possible. Toute activité intellectuelle intense, tout conflit, tout sujet de préoccupation est un obstacle à l’endormissement. Il faut libérer au maximum son esprit de tous les sujets de préoccupation qui ont émaillé la journée. Quelques pages de lecture peuvent contribuer à marquer cette rupture avec le monde extérieur, favorisant ainsi l’endormissement.