Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Le diable et les démons dans les reves

« J’ai rêvé du diable », « Les démons de mes rêve » … Il n’est pas rare de rêver de ce genre de symbole.

Ici, nous allons tenter de vous donner des pistes afin que vous puissiez interpréter vous-même ces symboles.

Dans un premier temps nous étudierons les démons présent dans vos rêves ou cauchemars. Puis nous analyserons la présence du diable dans vos songes.

Les démons:

    • Fortement impliqué avec votre vie amoureuse faites alors attention aux personnes à qui vous accordez votre confiance. La trahison de ces dernières est à prévoir.

 

    • DémonGénéralement les démons tentent de vous mettre en garde face à une situation complexe de votre vie. Un besoin de recul semble se faire ressentir.

 

    • Ensuite comme tout songe il faut mettre en situation ce diable. S’il vous attaque cela semble indiquer des soucis dans votre vie sentimentale.

 

    • S’il vous vient en aide, il peut bien entendu être de votre coté. Cela peut indiquer que vous n’avez pas forcément choisi la meilleure voie. Faites attention à vos choix, car une impression de sécurité semble vous rassurer, mais il vous faut ouvrir les yeux.

 

  • Dans un tout autre domaine, ces êtres peuvent représenter votre création artistique ainsi qu’un besoin de vous ouvrir et d’envisager de nouveaux chemins.

Le diable, Satan …

Ici même si ce symbole est lié à vos amours, il représente davantage un symbole de mise en garde. Les ennuis et les soucis sont à prévoir et vous semblez en être conscient. Il vous faut donc faire des choix rapidement afin d’éviter un drame.

  • Les diables ont beaucoup d’importance dans l’existence : ils sont ces êtres surnaturels, bons ou mauvais génies, qui font peur aux enfants et aux adultes, et qui possèdent dans leurs cornes, leurs barbes et leurs fourches des pouvoirs infernaux.

 

  • Comme un mauvais présage signer un pacte avec ce dernier sera vraiment de mauvais augure, même si pour l’instant la situation semble favorable. Il ne faudrait pas baisser votre garde. En effet, les exigences en contrepartie de ce diable ne sont jamais à votre avantage.

En conclusion :

Ce type de songe doit amener de la méfiance en rapport avec une trahison existante ou à venir, et plus particulièrement dans votre vie sentimentale. Vous semblez vulnérable et vos ennemis le savent.

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Diable

  • La situation psychique est confuse : il est indispensable de l’éclaircir.
  • Que l’on voit : on se laissera entraîner à un acte passionnel que l’on aurait pas accompli de sang-froid.
  • Qui menace ou attaque : un acte passionnel suscite de mauvaises querelles.
  • Ce songe ne saurait signifier quelque chose qu’aux croyants: pour les autres le diable symbolise, ni plus ni moins qu’arlequin ou polichinelle, un sot épouvantail.
  • La tradition indique que rêver du diable est toujours de mauvais augure, sauf dans trois cas: s’il vous attaque sans succès, vous persécute sans effet ou si vous l’abattez.
  • Un démon aimable et enjôleur serait de très mauvais augure et pronostiquerait trahison de femme.
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Interprétations des rêves en détails

Dans cette partie du site vous trouverez les interprétations des rêves détaillées au maximum afin que vous pussiez comprendre au mieux votre dernier rêve.

 

 

Nous avons regroupé les interprétations de rêve par type :

 

Les rêves du corps humains :

Les significations des rêves en rapport avec des animaux :

Les autres interprétations (non catégorisés pour le moment) :

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Satan

  • Que l’on voit : on se laissera entraîner par la passion à un acte irréfléchi.
  • Par lequel on est menacé ou attaqué : par suite d’un acte irréfléchi, on sera mêlé à de mauvaises querelles.
  • Comme pour sabbat.
  • Ce rêve ne saurait pas plus émouvoir une personne bien équilibrée que la vision d’un mythe ordinaire.
  • Prendre le diable au sérieux, croire à son existence substantielle signifie une mentalité fortement tarée.
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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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Couleur

  • Le symbolisme de la couleur est presque toujours en liaison avec des passions sexuelles
  • le noir et le blanc (sexe masculin et sexe féminin) sont considérés comme les extrêmes entre lesquels diverses nuances se trouvent : Bleu = adaptation, douceur
  • jaune = intuition
  • vert = qui s’éveille, indécis
  • rouge = vice, rage, diable, sexuel
  • noir = nuit inquiétant
  • blanc = froid pas encore achevé, vierge.
  • Se barbouiller avec de la couleur
  • on sera victime d’un mensonge.
  • Peindre un objet avec de la couleur : on n’est p as tout à fait sincère à l’égard d’un ami.
  • Barbouiller de couleur le visage d’un tiers : il ne faut pas se railler d’un tiers.
  • Peindre une voiture en couleur : surprise
  • se rapporter à la couleur correspondante.
  • Broyer de la couleur : bonne marche des affaires.
  • En acheter : désir de changement.
  • En avoir dans un récipient : promesse de caisse pleine.
  • Préparer de la couleur pour aquarelle : on va s’engager dans une affaire incertaine.
  • Utiliser des couleurs à l’huile : on consolidera sa position.
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