Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Pied

  • S’il n’y a pas de sens sexuel, plan pour la poursuite de l’existence, dans la mesure où le pied fait des mouvements en avant.
  • Avoir un grand pied : on deviendra propriétaire d’immeubles.
  • Un pied mince :on a une route fatigante à parcourir.
  • un pied malade : on sera retenu par une affaire.
  • Un pied sale : maladie.
  • Difforme : signe de mépris.
  • Être mordu au pied : jalousie.
  • Avoir un pied coupé : honte et raillerie.
  • Un gros pied : maladie.
  • Laver les pieds : indique une maison propre.
  • Les baiser : repentir alliant de pair avec une humiliation.
  • Se casser le pied : accident.
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Dormir

  • Peur des réalités et fuite devant elles.
  • Voir quelqu’un dormir : on ne devrait pas manquer une bonne occasion.
  • Voir dormir une personne de l’autre sexe : une bonne occasion s’offre en amour, on ne devrait pas la manquer.
  • Voir dormir une personne jeune et belle : bonheur intérieur et d’amour.
  • Une personne vieille et laide : avantages matériels ou extérieurs.
  • Dans son lit : une surprise au foyer
  • en plein air : une surprise en perspective
  • dans un autre lit ou hors de chez soi : des relations singulières avec une autre personne
  • dans un abri provisoire : des circonstances déplaisantes.
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Un peu d’Histoire autour des rêves

Dans l’Antiquité trois mille ans avant Jésus-Christ.

 

Les Grecs pratiquaient la médecine et possédaient même des techniques assez raffinées. La religion,

qui faisait partie intégrante de la vie des anciens Grecs, était étroitement associée à la guérison. Ainsi,

il existait en Grèce des sanctuaires d’interprétation des rêves où les malades se rendaient pour être

guéris.

 

Voici une petite présentation du dieu grec de la médecine, Asclépios, et du rituel principal de

guérison qui avait cours dans l’Antiquité, notamment au sanctuaire d’Épidaure.

Épidaure est une petite cité située dans le Péloponnèse, au sud d’Athènes. Elle était célèbre par son

sanctuaire dédié au dieu médecin qui guérissait par les rêves.

Les fidèles venaient à Épidaure de partout dans le monde grec pour être guéris, un peu comme on fait

des pèlerinages de nos jours à Lourdes. Ils y pratiquaient le rituel de l’incubation. Ce rituel consistait à

dormir dans un temple pour recevoir en rêve des messages du dieu qui faisait un diagnostic et

donnait des conseils.

Les prêtres médecins interprétaient ces rêves et en déduisaient les prescriptions que les fidèles

devaient suivre pour guérir.

 

Le très connu serment d’Hyppocrate commence ainsi :

« Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les

déesses,…

On ne peut pas assez souligner l’importance que la médecine antique accordait aux rêves qui venaient

des Dieux.

 

Trois siècles avant Jésus-Christ dans l’ancien testament.

 

L’ancien testament que l’on appelle la bible hébraïque a été écrit au 3e siècle avant Jésus-Christ

Il y a environ 250 rêves présents dans l’ancien testament, ce qui atteste de leur extrême importance

à cette époque .Un grand nombre peuvent également être lus dans le nouveau testament.

 

300 ans après J C : La trahison de Saint Jérôme

 

Ici, il convient tout d’abord de mentionner un fait totalement inconnu, il s’agit du rôle prépondérant

qu’a joué Saint Jérôme pour écarter les chrétiens de leurs rêves et les condamner.

Jérôme, 300 ans après J C a traduit la Bible en latin. Jusqu’alors on lisait la Bible dans les textes

hébreux et grecs. Il fit à l’église naissante le monumental cadeau de cette traduction appelée la

Vulgate. Cependant, Jérôme a falsifié la traduction de certains passages et l’a arrangée à sa sauce. Et

c’est justement quand il s’agit des rêves :Voyons un peu :Dans le livre du Lévitique on peut lire dans

le texte hébreu au chapitre 19, verset 26 l’ordre suivant :

 

« Vous ne mangerez rien avec du sang, vous n’observerez ni les serpents ni les nuages pour en tirer

des pronostics. »

 

Jérôme a traduit en latin:

« Vous ne mangerez rien avec le sang. Vous ne consulterez point les augures, et vous n’observerez

pas les rêves. »

 

Où est-il question des rêves dans le texte original ? Jérôme les a introduits à côté des oracles.

Au livre du Deutéronome, chapitre 18, verset 10, on lit dans le texte hébreu original:

 

« Qu’on ne trouve chez toi personne pour consulter les oracles, pratiquer l’incantation, la divination,

les enchantements et les charmes, interroger les revenants et les esprits ou consulter les morts. Car

quiconque fait ces choses est en abomination à l’Eternel. »

 

Jérôme a traduit là encore :

« …Qu’il ne se trouve personne qui interroge des devins, et qui observe les rêves et les augures, ni

qui use de maléfices, ni qui soit enchanteur, ni qui consulte ceux qui consultent les esprits de pythons

et les devins ou qui demandent aux morts la vérité. »

 

Dans ce passage aussi, le traducteur en latin transforme le texte d’origine, le falsifie comme dans le

livre du Lévitique, et l’expression consulter les oracles est traduite par observer les rêves et les

augures.

 

Ainsi, quand, de son côté, l’écrivain biblique condamne seulement les oracles, Saint Jérôme, lui, fait

l’amalgame avec les rêves, les rajoute dans le texte, alors qu’il n’en est nullement question, jetant

ainsi sur eux la condamnation qui a entraîné leur rejet. Et cette confusion est bien un fait encore

aujourd’hui, où les rêves sont considérés par beaucoup comme une démarche ésotérique plus ou

moins sulfureuse.

 

Vous voyez ainsi le fait exact et vérifiable que Jérôme a falsifié les textes et condamné volontairement

le rêve, alors que la Bible ne le fait pas. Au contraire, la Bible est remplie de récits de rêves, ce que

Jérôme savait pertinemment puisqu’il les a traduits. Avec la chute de l’empire romain, on n’aura plus

accès aux textes originaux, la traduction de Jérôme fera donc autorité pendant des siècles, excluant

pour des siècles le rêve de la vie spirituelle.

Depuis la trahison de Saint-Jérome jusqu’au début du 20 e siècle.

 

L’église fit tout alors pour condamner le rêve. En effet, puisque la doctrine exprimée par les pères de

l’église était affirmée comme complète, il n’était pas besoin d’informations supplémentaires. Si

supplément il doit y avoir, ce sont les dogmes qui les déclarent et les définissent. Tout le reste est une

hérésie.

 

L’église catholique va associer l’interprétation à des pratiques hérétiques et la mettre au même rang

que la sorcellerie, la divination. Les individus, soupçonnés de se livrer à des activités occultes, sont

accusés d’hérésie, privés de leurs biens, jetés en prison, torturés, brûlés.

Le rêve et son interprétation sont diaboliques.

 

Ainsi le rêve fut exclu de la civilisation occidentale. Pour des siècles à venir, on ne parla plus des rêves

ni de leur interprétation. Le rêve qui était au centre de la vie spirituelle intérieure disparut de la vie

quotidienne et resta un secret caché au fond des cœurs.

 

Napoléon Bonaparte lui-même a fait interdire l’interprétation des rêves que la révolution Française

avait pourtant fait rétablir.

Depuis le début du 20 siècle

Sygmund Freud et CG Jung ont à eux deux fait grandement avancer la relation entre le rêve et les

humains.

Les thèses freudiennes autour du rêve sont extrêmement répandues. Elles laissent à penser que les

rêves sont orientés par la Libido.

CG Jung a travaillé pendant un temps très court avec Freud. Ils se sont séparés ensuite, ce qui pour

JUNG a été un déchirement. Le travail de Freud lui paraissait pourtant incomplet. Il a ainsi démontré ,

autour de l’interprétation de 80000 rêves dans sa vie, que le rêve est par le biais de l’inconscient, un

dynamisme naturel pour piloter sa vie quotidienne . Le rêve , dit-il , est la porte d’accès à l’âme .

 

Ce n’est qu’en 1992 que l’interprétation des rêves a été officiellement rétablie en France.

 

 

Baptiste51

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Mieux dormir

Source:www.pratique.fr

Les conditions biologiques

 » Comme on fait son lit, on se couche  » pourrait bien en fait se traduire par  » mieux on prépare sa nuit et mieux on dort  » Quelle que soit la vigueur des nuisances de la vie contemporaine, nous sommes tous en mesure de créer des conditions plus satisfaisantes pour un meilleur sommeil. Mais dans cet objectif, il faut tout d’abord mieux connaître les multiples facteurs qui interviennent dans la constitution du sommeil de qualité auquel nous aspirons tous. On peut les regrouper en trois catégories : les conditions biologiques, les conditions liées à l’environnement du dormeur et celles, enfin, dépendant du dormeur lui-même.


Meilleur sommeil

LES CONDITIONS BIOLOGIQUES

Elles sont de deux ordres. Tout d’abord, il y a, bien sûr, la quantité de sommeil nécessaire. Nous avons déjà vu qu’elle dépend de chaque individu et se modifie avec l’âge. Rappelons simplement pour mémoire qu’un adulte doit dormir en moyenne six à huit heures.
Certains ne requièrent que très peu de sommeil, de deux à quatre heures par nuit (c’est l’exemple célèbre de Napoléon), d’autres ont besoin impérativement de douze heures ( c’était le cas d’Einstein ).

Mais il y a aussi le rapport entre nos propres rythmes biologiques et le moment du cycle circadien que nous consacrons au sommeil. L’une des conditions essentielles est de bien respecter ces rythmes biologiques que certains d’entre nous oublient trop souvent ou sont conduits à négliger, à l’instar des travailleurs qui  » font les 3×8 « , dont le sommeil peut être altéré par ce rythme de travail.

Pour savoir quelle est la durée du sommeil nécessaire pour soi, c’est simple : il suffit de se réveiller frais et dispos. Vous comptez vos heures de sommeil, et vous saurez ainsi si vous êtes un petit ou un gros dormeur.

Une fois votre temps de sommeil déterminé, vous pouvez essayer de modifier progressivement votre heure de réveil en agissant seulement sur le moment d’endormissement. Par exemple, si vous vous réveillez en pleine forme à six heures, couchez-vous à vingt-deux ou vingt-trois heures. Mais ne soyez pas plus royaliste que le roi : ce sont seulement des horaires indicatifs, que vous pouvez changer facilement selon vos activités.


Le sommeil et le bruit

Il est préférable de dormir dans le calme et, si possible, loin du bruit. Mais des chercheurs ont réalisé, dans ce domaine, une découverte surprenante, montrant que l’absence totale de bruit est également néfaste à un bon sommeil. En effet, ils ont observé que les individus placés en isolation sensorielle, et donc sonore, ont des difficultés d’endormissement, à cause de l’anxiété que provoque cette absence d’environnement sonore. Un résultat qui pourrait se traduire schématiquement en :  » ni trop, ni trop peu de bruit « .
En réalité, dans les situations de la vie quotidienne, c’est bien le  » trop de bruit  » qui pose problème. La réduction des nuisances sonores ne garantit certes pas un sommeil de qualité, mais elle en constitue assurément l’un des facteurs prédominants. Il est également prouvé maintenant que le bruit est beaucoup plus nocif la nuit, pendant le sommeil, que pendant la journée, en particulier pour les enfants. Sans que nous en ayons conscience, le bruit nocturne modifie la tension artérielle et de nombreuses constantes biologiques de l’organisme.

Suite (Les conditions liées à l’environnement)

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Dormir, avec une personne du sexe opposé

  • Vous avez du nez dans vos décisions importantes.
  • Si vous etes en couple, faites attention à bien lui faire part de vos projets afin d’avoir la meilleur solutions possible.
  • Si vous êtes seul, prenez le temps de vous ressourcer afin de pouvoir entamer une nouvelle relation.
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Dormir comme un yogi

Dans le yoga, une pratique connue sous le yoga nidra est conçu pour vous tirer vers le bas dans l’état profond de relaxation tout en restant pleinement conscient.

Cependant, comme la technique vous oblige à mentir complètement immobile tout en calmant votre esprit et détendre vos muscles, il est facile à adapter pour l’insomniaque qui veut endormir.

Fondamentalement, le yoga nidra implique systématiquement la commutation votre attention autour des parties de votre corps. Vous commencez au bout de vos doigts et voyager lentement votre bras, dans votre torse, puis vers le bas d’un côté de votre corps dans vos orteils, avant de répéter le processus sur l’autre moitié.

Toute personne qui est encore éveillé à la fin peut alors utiliser leurs exhalaisons compte à rebours à partir de 40 (inspirez, expirez, 40, inspirez, expirez, 39, inspirez, expirez, 38, etc.).

Il y a beaucoup de tutoriels guidées sur YouTube pour aider les nouveaux arrivants à obtenir l’idée.

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Apprendre à dormir comme un yogi ninja

Une variante de la méthode décrite ci-dessus, cela implique muscles individuels étroitement serrant dans votre corps. Après la compression, par exemple, votre biceps aussi étroitement que possible, vous relâchez le relais et se sentir flux de relaxation dans les fibres musculaires.

Essayez de ne pas déplacer le muscle par la suite; à la place, penser à elle comme étant «endormi».

Une grande technique de relaxation – et un mini-séance d’entraînement aussi.

Zen
Zen attitude

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