Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Le somnambulisme

Somnambulisme

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Le somnambulisme, qui signifie en latin marcher en dormant, est une pathologie du sommeil d’origine neurologique.

Il se traduit par un comportement moteur survenant lors d’un éveil incomplet en sommeil lent profond. Généralement limité à des déambulations dans le lieu d’habitation, il peut toutefois conduire à des actes plus dangereux pour le sujet (sortie, défenestration) ou pour d’autres individus (conduite d’un véhicule, comportements violents, voire homicide).

Ils semblent être éveillés, et ont les yeux ouverts. Ils sont capables de répondre à des ordres ou à des questions par oui ou non. Ils semblent toutefois ennuyés par les questions et ils s’irritent si l’interrogatoire est trop long. Lorsqu’on les réveille, ils sont confus et mettent un peu de temps avant de reprendre leurs esprits. Près du tiers des somnambules réagissent de façon agressive. La personne n’a aucun souvenir de ce qu’elle a fait, pas même de s’être levée pendant la nuit. La plupart du temps les épisodes sont courts (quelques minutes et parfois jusqu’à 30min).


Pathophysiologie


 

Le somnambulisme survient généralement durant les phases 3 et 4 du sommeil, ou sommeil profond. Cette phase correspond au premier tiers du cycle du sommeil (pendant les deux premières heures suivant l’endormissement).

Les somnambules ont une régulation anormale des ondes courtes (observables sur un encéphalogramme). Cette régulation est liée au système thalamo-cortical, qui engendre une paralysie musculaire naturelle durant le sommeil.

Ainsi, des séries d’événements moteurs complexes peuvent intervenir sans que le sujet soit conscient.

Le somnambulisme n’est pas dangereux en tant que tel, mais le mouvement sans connaissance consciente peut entraîner des dangers.

Le somnambulisme de l’enfant

Le somnambulisme s’observe le plus souvent chez les enfants, surtout les garçons entre 7 et 12 ans. Ces accès de somnambulisme disparaissent en général à la puberté.

Aux phases ambulatoires les plus courantes s’ajoutent parfois des phases où l’enfant urine dans un lieu innaproprié, utilise des mots obscènes absents de son répertoire courant. La prévention de chutes dangereuses reste toutefois l’aspect le plus important du somnambulisme infantile.

Le somnambulisme de l’adulte

Entre 10 et 20% des adultes seraient sujets au somnambulisme, avec des écarts nets dans certains pays (40% en Suède). Chez l’adulte, le somnambulisme peut avoir des causes psychologiques (notamment en période de stress), psychiques, ou être liée à la consommation d’alcool. Des prédispositions génétiques ont récemment été envisagées après des études menées par l’hôpital universitaire de Berne. Un gène spécifique aux somnambules vient d’être découvert. Un chercheur a réalisé une étude portant sur 74 personnes atteintes de somnambulisme. Il a découvert que 50% d’entre elles possédait un gène appelé HLA DQB1*05 qui fait parti des gènes impliqués dans la régulation du système immunitaire : ces gènes permettent de faire la distinction entre les cellules de l’organisme et celles qui lui sont étrangères. Mais il reste encore à définir la relation exacte entre le somnambulisme et ce gène. En conséquence on peut ce demander si le somnambulisme peut être une maladie auto-immune c’est-à-dire provoquée par un mauvais fonctionnement du système de protection de l’organisme….


Les symptômes du somnambulisme


 

Le somnambulisme simple : on distingue deux cas comportementaux. Pour le premier, l’enfant ou l’adulte s’assoit sur son lit tout en exécutant des gestes plus ou moins adroits. De temps en temps, il peut se mettre à parler. Dans le deuxième cas, le somnambule se lève et déambule dans l’habitation pour ensuite retourner spontanément dans son lit. Ses yeux sont grands ouverts et son regard est inexpressif. Si on lui parle, il peut répondre, il peut même exécuter des ordres. Mais le somnambule s’irrite très vite et devient grognon. Parfois, il peut réaliser des actes relativement élaborés, éviter des meubles, descendre des escaliers, vider une armoire, fouiller le réfrigérateur, se mettre à manger, faire la vaisselle, ou uriner dans un coin; voir même chez les adultes, conduire un véhicule. Sauf dans cette dernière situation, ce type de somnambulisme n’est pas dangereux et se déroule tout au plus une fois par mois durant 10 minutes. Il tend à disparaître au bout de quelques mois ou à la puberté chez les enfants. Si le somnambule commet des actes dangereux pour lui ou pour son entourage, nous passons au second type de manifestation.

Le somnambulisme à risque : c’est une forme accentuée du somnambulisme simple. En effet, la durée dépasse 10 minutes, la fréquence est de 2 à 3 fois par semaine et les actes du somnambule sont dangereux. Par exemple il peut utiliser un couteau, faire des gestes violents qui peuvent le blesser lui et son entourage ou bien, par sa maladresse, il peut tomber (d’une mezzanine ou des escaliers). Lors de ce type de somnambulisme, les risques de défénestrations sont courants.

Le troisième type est nommé le somnambulisme de  » terreur « . Les premières crises de somnambulisme de terreur peuvent apparaître avant 6 ans ou après 10 ans et peuvent persister après la puberté. Les crises débutent tôt après l’endormissement. Lorsque l’on tente de calmer, retenir, réveiller ou consoler le somnambule, celui-ci peut devenir encore plus agressif. Chez l’enfant, le risque de défenestration est deux fois plus important lors de cette crise. Le somnambule est dans un état neurovégétatif (inconscient), il est dans un état de terreur, il court et déambule violemment en poussant des hurlements. Sa fréquence cardiaque, sa respiration et son activité musculaire augmentent. Son cortex cérébral* reste probablement en sommeil lent profond ce qui explique l’amnésie lors du réveil. Ce genre de somnambulisme peut se reproduire plusieurs fois par nuits et cause des problèmes psychologiques au somnambule.


Causes autres que génétique


 

Dans un cadre comportemental:

  • Le stress ou les tensions nerveuses: produites chez l’enfant par des histoires familiales ou des évènements traumatisants, et chez les adultes par la vie actives des adultes.
  • Le manque de sommeil : si l’enfant comme si l’adulte, se couche tard, ses rythmes du sommeil sont bouleversés. Une privation du sommeil peut augmenter la fréquence et la complexité du somnambulisme . En effet , il y a plus de cas de somnambulisme lors d’une nuit de récupération que lors d’une nuit normale ( sur 15 patients 100% on eu une crise lors d’une nuit de récupération contre 60% lors d’une nuit normale ).
  • Les migraines (en particulier chez les femmes)

Dans un cadre environnemental:

  • Une maladie: il existe un lien étroit entre la fièvre et le somnambulisme. Il a été, aussi, associé à la Maladie de Gilles de la Tourette. Certaines formes de l’épilepsie ou d’énurésie peuvent également entraîner le somnambulisme.
  • La puberté: le trouble chez l’enfant peut être lié aux facteurs de croissance comme la puberté.

Dans un cadre toxique:

  • La prise de certains médicaments de la classe des psychotropes est consommé par moins de 10% des jeunes actuels. Il y a moins de consommation que chez les adultes. Les adultes utilisent plus de médicaments contre le stress(particulièrement le lithium), et pour dormir.
  • L’alcool et les drogues.

Traitements


 

Certains patients souffrent de troubles psychologiques liés à leur propre perception du somnambulisme, qui reste assez peu étudié et est mal connu du grand public. Les comportements violents peuvent également avoir un impact psychologique important notamment sur le couple.

Une croyance populaire veut qu’il ne faut pas réveiller un somnambule. Dans les faits il n’y a aucun danger à le réveiller. Il peut seulement être désorienté ou embarrassé. En tout cas, mieux vaut le réveiller que de lui permettre de se mettre en danger.

En tant que maladie, le somnambulisme peut être traité :

  • Dans les cas simples, il faut chercher à supprimer les causes tel que le manque de sommeil, le stress et éviter les exercices violents en soirée. Ils doivent également dormir à des heures régulières et adapter l’environnement : dormir au rez-de-chaussée ou verrouiller la porte de sa chambre.
  • Si les crises se manifestent trop souvent, les médecins peuvent prescrire des benzodiazépines, du diazepam ou du lorazepam, qui suppriment les crises en éliminant les phases du sommeil profond. Mais l’efficacité de ces benzodiazépines se limitent au début du traitement, il s’en suit un phénomène d’échappement.
  • On peut aussi utiliser l’hypnose avec un thérapeute: les résultats semblent efficaces. Si des troubles psychologiques surviennent après les crises, il est préférable de consulter un médecin psychiatre.

Aspect juridique


 

Le principe de la responsabilité pénale et civile nécessite de déterminer le dégré de conscience, de liberté ou d’intention.

Même si le somnambulisme n’est pas considéré comme une maladie mentale, la justice peut se référer aux cas d’infractions commises en état de conscience altérée (ivresse, drogue, folie, hypnose, …)

Lire la suite...

Le sommeil

Source:www.pratique.fr

Les mécanismes du sommeil

 » Que se passe-t-il lorsque nous dormons ? Comment fonctionne le sommeil ? Comment bien ou mieux dormir ? Faut-il et peut-on moins dormir ? Comment combattre l’insomnie ?  » Autant de questions qui nous passionnent parce qu’elles concernent notre corps durant les heures où nous ne sommes pas conscients de son fonctionnement. De nombreuses heures, puisqu’il s’agit environ d’un tiers de notre vie.

La façon dont nous vivons ces heures, la quantité et, surtout, la qualité de notre sommeil conditionnent très largement notre forme physique et notre équilibre psychique. C’est sans doute en comprenant mieux comment ils se déroulent que nous pourrons tirer le plus de profit de ces moments essentiels et souvent trop négligés de notre vie.

 


 

Un domaine inexploré

 

Des instruments d’étude ont permis de mieux connaître le sommeil dans sa complexité : l’électro-encéphalogramme, qui enregistre l’activité des cellules cérébrales, l’électromyogramme qui mesure l’activité musculaire et l’électro-oculogramme qui étudie les mouvements des globes oculaires. Depuis peu, les chercheurs qui étudient le sommeil recourent également à des systèmes vidéos et à des microphones très sensibles. Ils recueillent la température corporelle ou exploitent les résultats des prises de sang pour analyser les modifications biologiques qui se produisent au cours du sommeil.
Cependant, nous sommes encore largement ignorants des caractéristiques du sommeil. En particulier, nous ne savons pas exactement quel est son rôle dans la physiologie de l’organisme : certes nous avons une sensation de fatigue lorsque nous dormons insuffisamment, mais cela ne perturbe pas profondément les conditions de vie de l’organisme. D’autre part, il existe désormais au moins un médicament qui permet de supprimer le sommeil pendant un à deux jours, sans inconvénient (il est pour l’instant réservé à des indications très limitées).

 


à QUOI SERT LE SOMMEIL ?

 

Nous avons l’habitude de diviser notre vie quotidienne en deux périodes, le temps de veille et le temps de sommeil, ce dernier comptant approximativement huit heures par jour. En fait, il serait plus juste de séparer notre vie en trois périodes, si l’on en croit le professeur Michel Jouvet, grand spécialiste du sommeil : il y a la veille, le sommeil et le rêve. Selon Michel Jouvet, nous vivons trois vies qui ont relativement peu de rapport les unes avec les autres. La plus mystérieuse des trois est le rêve, car nous sommes encore loin de connaître son rôle exact, malgré les multiples  » clefs des songes  » et le rôle assigné au rêve dans des théories comme la psychanalyse : pour Freud, le rêve est la réalisation d’un désir, mais cette interprétation est fortement critiquée par les biologistes comme Michel Jouvet.
Nous ne savons donc pas encore exactement à quoi sert le sommeil, et encore moins le rêve, même si les chercheurs sont certains qu’ils ont un rôle dans la physiologie de l’organisme.

Ce rôle est d’autant plus difficile à découvrir que la privation de sommeil, chez des sujets volontaires, entraîne peu de symptômes. Certes, si nous ne dormons pas pendant plusieurs nuits de suite, nous serons irritables, nous n’aurons pas les idées très claires, nous éprouverons des difficultés d’élocution (parler devient plus difficile) et des troubles de l’équilibre. à la longue, nous tomberons de sommeil. Mais nous ne subirons aucune perturbation physique importante, en dehors d’une légère baisse de température. Et il faut remarquer que si nous restons éveillés, volontairement, nous ne rattrapons jamais le sommeil perdu : si vous passez une nuit blanche, vous dormirez seulement quelques heures de plus le lendemain, ou vous ferez une sieste, mais vous ne dormirez pas seize heures pour rattraper la nuit perdue.

Il est certain de toute façon que le sommeil a une fonction de récupération qui s’effectue principalement pendant la phase de sommeil lent profond.

Lors du sommeil, certaines fonctions biologiques sont à leur maximum, notamment la production d’hormones de croissance pendant l’enfance et l’adolescence. C’est pourquoi le besoin de sommeil à cet âge est important et doit être absolument respecté. On a ainsi montré que l’on pouvait aider les enfants à grandir en les incitant à dormir plus longtemps.

Suite (Les rythmes du sommeil)

Lire la suite...

L’environnement du sommeil

Aménagez votre environnement. Dormez dans la pièce la moins bruyante de votre appartement. Les couleurs doivent être apaisantes (bleu, vert, blanc) et le mobilier sobre. Utilisez des lumières discrètes et indirectes et une température pas trop élevée (18°C à 20°C au maximum). Pensez à humidifier l’atmosphère de votre chambre, surtout si vous avez un chauffage central, en posant par exemple un verre d’eau sur le radiateur. Si vous habitez à côté d’une rue bruyante, pensez au double vitrage et installez des rideaux épais qui atténueront sensiblement le bruit.Le lit peut être dur ou souple, cela n’a pas réellement d’importance et dépend des goûts de chacun. Un lit dur est préférable pour éviter les problèmes de douleur de dos. On dit souvent que l’on dort mieux si l’on s’installe la tête au nord. Rien n’est prouvé, mais vous pouvez toujours essayer.

L’importance des habitudes. Nous observons tous un rituel au moment de nous endormir : prendre un bain, lire quelques pages, écouter de la musique. Tous ces rituels favorisent l’endormissement, surtout chez les enfants, qui ont souvent des habitudes très précises, exigeant une histoire, une peluche, une porte ouverte ou fermée, une lumière allumée ou éteinte… Respectez ces rituels qui aident les enfants à s’endormir dans le calme.

Le confort de la literie intervient de façon non négligeable. Chacun a pu un jour constater qu’il est possible de s’endormir dans pratiquement n’importe quelles circonstances quand l’on  » tombe de fatigue « , mais que les réveils sont dans ce cas souvent sombres et douloureux.Pour favoriser un sommeil harmonieux, quelques règles essentielles doivent être suivies.

Les sommiers et matelas permettant d’amortir les mouvements et de compenser les creux, causés dans les matelas classiques par les points du corps les plus lourds, sont à recommander, surtout lorsque l’on dort à deux. Ainsi faut-il choisir les structures à ressorts, ou, mieux encore, celles comprenant des lattes articulées, mais il n’est pas contre-indiqué d’avoir recours à des solutions moins habituelles comme les matelas d’eau, par exemple, ou les  » futons  » japonais.

Il est préférable d’éviter les lits trop mous, qui peuvent avoir des effets néfastes sur la colonne vertébrale. Il est même conseillé aux gens qui souffrent du dos de placer une planche rigide entre le sommier et le matelas.

Il n’est pas indispensable de dormir avec un oreiller. Et lorsqu’on le désire, il faut veiller à ce qu’il ne soit pas la cause d’une torsion du cou.

Il faut avoir une liberté de mouvements suffisante et éviter notamment les lits et les vêtements de nuit trop serrés.

L’hygiène est une condition trop souvent oubliée. Pourtant, ne serait-ce que pour des raisons psychologiques, il s’agit d’un point non négligeable. Il est si agréable de se plonger dans des draps propres et sentant le frais !

La température dans la chambre doit être adéquate, répondant à la fois à des critères généraux et aux habitudes particulières de chaque individu. Certains ressentent la nécessité impérieuse de dormir la fenêtre ouverte, d’autres ne cherchent qu’à s’enfouir le plus profondément sous les couettes les plus chaudes, même en été.

Le degré d’humidité de l’air ne doit pas être négligé. Si la moiteur des nuits tropicales peut constituer une gêne, c’est en réalité plutôt la sécheresse excessive des chambres à coucher occidentales qui pose problème, notamment à cause d’un chauffage trop important. Soyez vigilant à cet égard et pensez, en particulier, à installer des humidificateurs d’air dans les chambres d’enfants.

Le degré de luminosité est également important. Certains aiment dormir dans le noir absolu, tous volets fermés, alors que d’autres préfèrent être réveillés par la lumière du jour. C’est affaire d’habitude personnelle, aucune règle n’existe en la matière. Une chambre bien hermétique à la lumière est souvent un excellent somnifère… mais souvenez-vous toutefois que certains (principalement les enfants) ont un besoin impérieux de lumière, qui leur permet de combattre l’anxiété. Respectez, dans ce cas, cette volonté, mais adoptez une source de lumière très diffuse, la moins crue possible, en bannissant le néon.

Suite (Les conditions liées au dormeur)

Lire la suite...

Une chambre sans électronique !

Essayez de vous séparer de vos appareils électroniques lorsque que vous êtes dans votre chambre à coucher !

 

Au moins un appareil électronique est présent dans notre vie et ainsi également dans notre chambre à coucher, attention de récentes étude tendent à prouver que cette omniprésence n’est pas bon pour votre sommeil. La lumière joue un rôle important dans votre cycle de sommeil, ainsi demandez à une personne qui travaille de nuit quels sont ces problèmes la journée pour dormir ?

stop électronique

Voilà parce que la lumière joue un rôle énergique dans nos habitudes de sommeil. La clé ici est l’hormone mélatonine, qui est produite par la glande pinéale et semble faciliter la somnolence. La mélatonine est seulement excrété dans notre flux sanguin lorsqu’il y a peu de lumière dans le milieu environnant; une source de lumière naturelle ou artificielle arrête sa production et nous maintient potentiellement éveillé.

 

Les smartphones, tablettes et plus généralement tout type d’appareil électronique risquent de vous stimuler et ainsi vous empêcher de dormir correctement !

 

Egalement, cela aura aussi une incidence sur votre vie de couple 🙂 effectivement si vous n’avez plus de distractions vous pourrez faire évoluer votre libido qui ne risque pas de passer après votre jeux video !

 

A tester !

Lire la suite...

Sa durée

Combien de temps doit-on dormir ?

 

sommeil et reveil

 

Il faut savoir de quoi l’on parle.pour répondre à cette question. Si l’on considère la durée minimale de sommeil nécessaire à la survie d’un individu, il paraît évident que les limites peuvent être repoussées à l’extrême, certaines expériences ayant montré que l’on peut rester éveillé une dizaine de jours sans trouble majeur.D’autre part, l’on peut considérer que plus on avance dans la vie et moins le besoin de sommeil est important. Ainsi le nouveau-né a-t-il besoin de vingt heures de sommeil, l’enfant de trois à sept ans de quelque douze heures, le pré-adolescent, de neuf heures, l’adolescent, d’au moins huit heures (à respecter particulièrement en période de croissance aigu’) et l’adulte, de six à huit heures. Quant aux personnes âgées, il n’est pas rare qu’elles se contentent, sans inconvénient, de cinq heures de sommeil.

Bien sûr, il s’agit là de règles générales qui s’accommodent d’exceptions. Même si la moitié d’entre nous dort environ huit heures, des différences significatives existent chez les  » gros  » et  » petits  » dormeurs, pour des raisons en partie héréditaires.

 


 

Peut-on dormir moins longtemps ?

 

La plupart d’entre nous pourraient réduire leur durée de sommeil quotidienne à six heures environ, c’est-à-dire à quatre cycles pleins, à condition de bien débuter leur nuit au moment de la soirée où les signes de pré-sommeil apparaissent, et de calculer la durée exacte de leurs cycles de sommeil pour se réveiller précisément à la fin de l’un d’entre eux. Mais l’on ne dispose pas d’arguments décisifs pour affirmer que cela n’a pas d’effet à long terme.En réalité, bien plus que la durée totale du sommeil, c’est la quantité de sommeil lent profond qui constitue le besoin essentiel.

En effet, notre sommeil ne se déroule pas de façon uniforme, mais selon des cycles.

Suite (Les étapes du sommeil)

Lire la suite...

Enfant

enfant

  • Dans une situation de conflit, on cherche une issue
  • on veut s’engager dans une voie nouvelle et repartir à zéro avec des idées nouvelles.
  • Que l’on voit : en général bon présage.
  • Dont on accouche : de nouvelles possibilités d’existence vont s’offrir.
  • Que l’on voit durant l’accouchement : pour l’homme, séparation de sa femme
  • pour les pauvres, un bon présage
  • pour les gens d’affaires et les gens riches, un mauvais présage
  • pour qui voyage, retour au pays.
  • Que l’on voit sous les traits d’un bébé : bonheur pour la mère.
  • Que l’on porte sur les fond baptismaux : signe d’une vie chrétienne.
  • Que l’on voit dormir : bon avenir.
  • Que l’on voit jouer : joie.
  • Que l’on voit malade, tomber ou que l’on entend se quereller ou crier : récession en affaires.
  • Maigre : présage que les temps seront mauvais.
  • Gros : les temps seront bons.
  • Mourant : un succès inespéré.
  • Que l’on assassine : on se causera un grand dommage.
  • Jouer avec beaucoup d’enfants : chance en amour et succès dans tout ce qu’on entreprendra.
  • Être invectivé par des enfants : on dit du bien de vous.
  • Voir des nouveau-nés présage des tracas plus ou moins importants selon le nombre d’enfants.
  • Voir un enfant qui tette: grossesse
  • en tenir un dans ses bras: bonheur.
Lire la suite...

Épouse

  • La voir souffrante: on aura à se plaindre de son humeur
  • la regarder dormir, présage d’autant meilleur que l’épouse paraîtra plus belle et mieux parée.
  • Voir près d’elle un homme âgé: indice de succès dans les affaires
  • voir un jeune homme partager sa couche: ennemi qui à son insu vous servira.
Lire la suite...

Linge De Lit

  • Que l’on lave : il faut mettre de l’ordre dans ses affaires.
  • Dormir dans du linge d’une blancheur éclatante ou avec de riches ornements : amélioration de la situation.
  • Dans du linge sale : on souffre de complexes d’infériorité.
Lire la suite...
1 2 3