- L’un des symbole les plus importants. Selon la situation destructeur, stimulant, réchauffant, selon le cas bon ou inquiétant. Les incendies de maisons doit être considérée comme une personne. Souvent rêve prémonitoire ou liquidation de choses anciennes.
- Que l’on voit : des flammes claires signifient un amour réciproque avec les siens
- beaucoup de fumée est un signe de malheur.
- Que l’on fait ou que l’on voit en plein air : on contractera une belle amitié.
- Autour duquel on danse ou voit des tiers danser : une excursion gaie.
- Dans lequel on tombe : grosse perte.
- Que l’on voit dans le poêle ou dans la cuisinière : perspective d’enfants ou de beaucoup de joie qu’ils procureront.
- Que l’on éteint dans le poêle ou la cuisinière : maladie grave.
- Voir du feu allumé: nouvelle intéressante.
- Un feu qui ne dégage pas de fumée: abondance
- presque toujours le feu brûlant sur terre sans manifestations spéciales annonce le succès.
- Feu qui tombe de haut: catastrophe.
- Si l’on songe allumer un feu, la facilité ou difficulté qu’on éprouvera à le faire prendre la durée du feu, son extinction hors de propos ou à propos, indiquent ce qui va se passer pour vos entreprises présentes.
- Vu de loin, encouragement à poursuivre voir « point de vue »
Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :
Un peu d’Histoire autour des rêves
Dans l’Antiquité trois mille ans avant Jésus-Christ.
Les Grecs pratiquaient la médecine et possédaient même des techniques assez raffinées. La religion,
qui faisait partie intégrante de la vie des anciens Grecs, était étroitement associée à la guérison. Ainsi,
il existait en Grèce des sanctuaires d’interprétation des rêves où les malades se rendaient pour être
guéris.
Voici une petite présentation du dieu grec de la médecine, Asclépios, et du rituel principal de
guérison qui avait cours dans l’Antiquité, notamment au sanctuaire d’Épidaure.
Épidaure est une petite cité située dans le Péloponnèse, au sud d’Athènes. Elle était célèbre par son
sanctuaire dédié au dieu médecin qui guérissait par les rêves.
Les fidèles venaient à Épidaure de partout dans le monde grec pour être guéris, un peu comme on fait
des pèlerinages de nos jours à Lourdes. Ils y pratiquaient le rituel de l’incubation. Ce rituel consistait à
dormir dans un temple pour recevoir en rêve des messages du dieu qui faisait un diagnostic et
donnait des conseils.
Les prêtres médecins interprétaient ces rêves et en déduisaient les prescriptions que les fidèles
devaient suivre pour guérir.
Le très connu serment d’Hyppocrate commence ainsi :
« Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les
déesses,…
On ne peut pas assez souligner l’importance que la médecine antique accordait aux rêves qui venaient
des Dieux.
Trois siècles avant Jésus-Christ dans l’ancien testament.
L’ancien testament que l’on appelle la bible hébraïque a été écrit au 3e siècle avant Jésus-Christ
Il y a environ 250 rêves présents dans l’ancien testament, ce qui atteste de leur extrême importance
à cette époque .Un grand nombre peuvent également être lus dans le nouveau testament.
300 ans après J C : La trahison de Saint Jérôme
Ici, il convient tout d’abord de mentionner un fait totalement inconnu, il s’agit du rôle prépondérant
qu’a joué Saint Jérôme pour écarter les chrétiens de leurs rêves et les condamner.
Jérôme, 300 ans après J C a traduit la Bible en latin. Jusqu’alors on lisait la Bible dans les textes
hébreux et grecs. Il fit à l’église naissante le monumental cadeau de cette traduction appelée la
Vulgate. Cependant, Jérôme a falsifié la traduction de certains passages et l’a arrangée à sa sauce. Et
c’est justement quand il s’agit des rêves :Voyons un peu :Dans le livre du Lévitique on peut lire dans
le texte hébreu au chapitre 19, verset 26 l’ordre suivant :
« Vous ne mangerez rien avec du sang, vous n’observerez ni les serpents ni les nuages pour en tirer
des pronostics. »
Jérôme a traduit en latin:
« Vous ne mangerez rien avec le sang. Vous ne consulterez point les augures, et vous n’observerez
pas les rêves. »
Où est-il question des rêves dans le texte original ? Jérôme les a introduits à côté des oracles.
Au livre du Deutéronome, chapitre 18, verset 10, on lit dans le texte hébreu original:
« Qu’on ne trouve chez toi personne pour consulter les oracles, pratiquer l’incantation, la divination,
les enchantements et les charmes, interroger les revenants et les esprits ou consulter les morts. Car
quiconque fait ces choses est en abomination à l’Eternel. »
Jérôme a traduit là encore :
« …Qu’il ne se trouve personne qui interroge des devins, et qui observe les rêves et les augures, ni
qui use de maléfices, ni qui soit enchanteur, ni qui consulte ceux qui consultent les esprits de pythons
et les devins ou qui demandent aux morts la vérité. »
Dans ce passage aussi, le traducteur en latin transforme le texte d’origine, le falsifie comme dans le
livre du Lévitique, et l’expression consulter les oracles est traduite par observer les rêves et les
augures.
Ainsi, quand, de son côté, l’écrivain biblique condamne seulement les oracles, Saint Jérôme, lui, fait
l’amalgame avec les rêves, les rajoute dans le texte, alors qu’il n’en est nullement question, jetant
ainsi sur eux la condamnation qui a entraîné leur rejet. Et cette confusion est bien un fait encore
aujourd’hui, où les rêves sont considérés par beaucoup comme une démarche ésotérique plus ou
moins sulfureuse.
Vous voyez ainsi le fait exact et vérifiable que Jérôme a falsifié les textes et condamné volontairement
le rêve, alors que la Bible ne le fait pas. Au contraire, la Bible est remplie de récits de rêves, ce que
Jérôme savait pertinemment puisqu’il les a traduits. Avec la chute de l’empire romain, on n’aura plus
accès aux textes originaux, la traduction de Jérôme fera donc autorité pendant des siècles, excluant
pour des siècles le rêve de la vie spirituelle.
Depuis la trahison de Saint-Jérome jusqu’au début du 20 e siècle.
L’église fit tout alors pour condamner le rêve. En effet, puisque la doctrine exprimée par les pères de
l’église était affirmée comme complète, il n’était pas besoin d’informations supplémentaires. Si
supplément il doit y avoir, ce sont les dogmes qui les déclarent et les définissent. Tout le reste est une
hérésie.
L’église catholique va associer l’interprétation à des pratiques hérétiques et la mettre au même rang
que la sorcellerie, la divination. Les individus, soupçonnés de se livrer à des activités occultes, sont
accusés d’hérésie, privés de leurs biens, jetés en prison, torturés, brûlés.
Le rêve et son interprétation sont diaboliques.
Ainsi le rêve fut exclu de la civilisation occidentale. Pour des siècles à venir, on ne parla plus des rêves
ni de leur interprétation. Le rêve qui était au centre de la vie spirituelle intérieure disparut de la vie
quotidienne et resta un secret caché au fond des cœurs.
Napoléon Bonaparte lui-même a fait interdire l’interprétation des rêves que la révolution Française
avait pourtant fait rétablir.
Depuis le début du 20 siècle
Sygmund Freud et CG Jung ont à eux deux fait grandement avancer la relation entre le rêve et les
humains.
Les thèses freudiennes autour du rêve sont extrêmement répandues. Elles laissent à penser que les
rêves sont orientés par la Libido.
CG Jung a travaillé pendant un temps très court avec Freud. Ils se sont séparés ensuite, ce qui pour
JUNG a été un déchirement. Le travail de Freud lui paraissait pourtant incomplet. Il a ainsi démontré ,
autour de l’interprétation de 80000 rêves dans sa vie, que le rêve est par le biais de l’inconscient, un
dynamisme naturel pour piloter sa vie quotidienne . Le rêve , dit-il , est la porte d’accès à l’âme .
Ce n’est qu’en 1992 que l’interprétation des rêves a été officiellement rétablie en France.
Baptiste51
Église
- Symbole de sécurité.
- Paix intérieur.
- Dans laquelle on entre, indique un besoin de croire.
- Y vivre : besoin de changer son mode de vie.
Feu D’artifice
Le feu d’artifice en rêve est souvent synonyme de poudre au yeux :
- Que l’on voit : illusion.
- Que l’on tire : on fera beaucoup de bruit, mais cela passera vite.
Feu-follet
- Que l’on voit : il faut se garder de sortir du droit chemin.
- Vu de loin, encouragement à poursuivre voir point de vue
- feu-follet qui vous poursuit: vengeance.
Couvre-Feu
- Que l’on entend : une rencontre tendre sera troublée.
Feu De Signalisation
- Confusions, éventuellement aussi troubles du cerveau, surtout si on le porte sur la tête.
- Allumé : chagrin.
- Éteint : joie et bonheur.
Cheminée
- Il manque encore beaucoup pour assurer le bonheur dans la maison. Gardez vous du feu !
- Que l’on voit avec du feu : insouciance.
- Sans feu : soucis
- Que l’on voit fumer : soucis ménagers.
- Devant laquelle on est assis et lit un livre : on regrette l’absence de quelqu’un qui se trouve au loin.
- D’une usine : prospérité.
Braises
- Ces charbons ardents symbolisent le feu qui couve qui, bien que rie jetant pas de flammes, est le plus chaud.
- Il s’agira le plus souvent du feu de l’amour. Mais ne pas oublier « être sur des braises « pour signifier une attente anxieuse.
- Incandescentes : Joies affectives. Amour sincère et durable.
Poêle
- Symbole sexuel : puissance.
- Voir un poêle qui chauffe : on aura un appartement confortable ou des relations agréables.
- Éteint : entourage prosaïque, inamical ou froid ou relations avec des personnes telles.
- Que l’on allume : si le feu commence bien à brûler, des heures belles au foyer, si le feu ne prend pas, dissentiments et querelle au foyer.
- Auprès duquel on se réchauffe : on trouvera quelqu’un capable de beaucoup d’amour.
- Auquel on se brûle : une liaison amoureuse entraînera de grosses difficultés.
- Auprès duquel on veut se réchauffer, mais qui est éteint : déceptions en amour.
- Que l’on nettoie et du fait duquel on se salit avec de la suie : une affaire d’amour ou d’amitié portera atteinte à la bonne réputation et au prestige.
- Voir un tuyau de poêle : il faudra encore longtemps pour parvenir à un foyer paisible et confortable.
- Nettoyer un tuyau de poêle et de ce fait, se salir avec de la suie : une affaire d’amour ou d’amitié portera atteinte à la bonne réputation et au prestige.