Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Décapitation

  • Révision de la conception que l’on a eue jusqu’à présent de certains processus vitaux.
  • Voir décapiter : triomphe sur un ennemi ou apparition d’un nouvel ennemi.
  • Un ami ou une personne proche : séparation d’une personne chère.
  • Décapiter soi même : si le sang coule, on gagnera un procès ou un litige
  • s’il n’y a pas de sang ou si la personne décapitée retrouve la vie, c’est qu’en dépit de tous les efforts, on ne parvient pas à mettre un ennemi hors de combat.
  • Être décapité : si l’on éprouve des douleurs, présage de maladie
  • sinon on souffrira sous le coup de la honte et de l’humiliation.
Lire la suite...

Exécution

  • On apprend sur soi des propos malveillants.
  • Révision de l’attitude que l’on a eu jusqu’ici dans la vie à l’égard de certains événements.
  • Que l’on voit : triomphe sur un ennemi ou se faire un nouvel ennemi.
  • D’un ami ou d’une personne proche : séparation d’une personne qui est chère.
  • A laquelle on procède : si le sang coule, on gagnera un procès ou un litige
  • si le sang ne coule pas ou si l’exécute redevient vivant, c’est qu’en dépit de tous ses efforts, on ne parvient pas à mettre un ennemi hors de combat.
  • Que l’on subit : si l’on éprouve des douleurs, c’est une maladie qui est annoncée
  • sinon, on souffrira de subir honte et humiliation.
  • Péril pour le condamné sauf s’il se dérobe au bourreau.
Lire la suite...

Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

Lire la suite...

Tigre

  • Et généralement tous les fauves: ennemis redoutables.
  • S’ils passent sans vous voir: on évitera leurs attaques
  • si on les combat victorieusement: on mettra ses ennemis hors d’état de nuire
  • si on succombe: mauvais présage.
Lire la suite...

Un peu d’Histoire autour des rêves

Dans l’Antiquité trois mille ans avant Jésus-Christ.

 

Les Grecs pratiquaient la médecine et possédaient même des techniques assez raffinées. La religion,

qui faisait partie intégrante de la vie des anciens Grecs, était étroitement associée à la guérison. Ainsi,

il existait en Grèce des sanctuaires d’interprétation des rêves où les malades se rendaient pour être

guéris.

 

Voici une petite présentation du dieu grec de la médecine, Asclépios, et du rituel principal de

guérison qui avait cours dans l’Antiquité, notamment au sanctuaire d’Épidaure.

Épidaure est une petite cité située dans le Péloponnèse, au sud d’Athènes. Elle était célèbre par son

sanctuaire dédié au dieu médecin qui guérissait par les rêves.

Les fidèles venaient à Épidaure de partout dans le monde grec pour être guéris, un peu comme on fait

des pèlerinages de nos jours à Lourdes. Ils y pratiquaient le rituel de l’incubation. Ce rituel consistait à

dormir dans un temple pour recevoir en rêve des messages du dieu qui faisait un diagnostic et

donnait des conseils.

Les prêtres médecins interprétaient ces rêves et en déduisaient les prescriptions que les fidèles

devaient suivre pour guérir.

 

Le très connu serment d’Hyppocrate commence ainsi :

« Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les

déesses,…

On ne peut pas assez souligner l’importance que la médecine antique accordait aux rêves qui venaient

des Dieux.

 

Trois siècles avant Jésus-Christ dans l’ancien testament.

 

L’ancien testament que l’on appelle la bible hébraïque a été écrit au 3e siècle avant Jésus-Christ

Il y a environ 250 rêves présents dans l’ancien testament, ce qui atteste de leur extrême importance

à cette époque .Un grand nombre peuvent également être lus dans le nouveau testament.

 

300 ans après J C : La trahison de Saint Jérôme

 

Ici, il convient tout d’abord de mentionner un fait totalement inconnu, il s’agit du rôle prépondérant

qu’a joué Saint Jérôme pour écarter les chrétiens de leurs rêves et les condamner.

Jérôme, 300 ans après J C a traduit la Bible en latin. Jusqu’alors on lisait la Bible dans les textes

hébreux et grecs. Il fit à l’église naissante le monumental cadeau de cette traduction appelée la

Vulgate. Cependant, Jérôme a falsifié la traduction de certains passages et l’a arrangée à sa sauce. Et

c’est justement quand il s’agit des rêves :Voyons un peu :Dans le livre du Lévitique on peut lire dans

le texte hébreu au chapitre 19, verset 26 l’ordre suivant :

 

« Vous ne mangerez rien avec du sang, vous n’observerez ni les serpents ni les nuages pour en tirer

des pronostics. »

 

Jérôme a traduit en latin:

« Vous ne mangerez rien avec le sang. Vous ne consulterez point les augures, et vous n’observerez

pas les rêves. »

 

Où est-il question des rêves dans le texte original ? Jérôme les a introduits à côté des oracles.

Au livre du Deutéronome, chapitre 18, verset 10, on lit dans le texte hébreu original:

 

« Qu’on ne trouve chez toi personne pour consulter les oracles, pratiquer l’incantation, la divination,

les enchantements et les charmes, interroger les revenants et les esprits ou consulter les morts. Car

quiconque fait ces choses est en abomination à l’Eternel. »

 

Jérôme a traduit là encore :

« …Qu’il ne se trouve personne qui interroge des devins, et qui observe les rêves et les augures, ni

qui use de maléfices, ni qui soit enchanteur, ni qui consulte ceux qui consultent les esprits de pythons

et les devins ou qui demandent aux morts la vérité. »

 

Dans ce passage aussi, le traducteur en latin transforme le texte d’origine, le falsifie comme dans le

livre du Lévitique, et l’expression consulter les oracles est traduite par observer les rêves et les

augures.

 

Ainsi, quand, de son côté, l’écrivain biblique condamne seulement les oracles, Saint Jérôme, lui, fait

l’amalgame avec les rêves, les rajoute dans le texte, alors qu’il n’en est nullement question, jetant

ainsi sur eux la condamnation qui a entraîné leur rejet. Et cette confusion est bien un fait encore

aujourd’hui, où les rêves sont considérés par beaucoup comme une démarche ésotérique plus ou

moins sulfureuse.

 

Vous voyez ainsi le fait exact et vérifiable que Jérôme a falsifié les textes et condamné volontairement

le rêve, alors que la Bible ne le fait pas. Au contraire, la Bible est remplie de récits de rêves, ce que

Jérôme savait pertinemment puisqu’il les a traduits. Avec la chute de l’empire romain, on n’aura plus

accès aux textes originaux, la traduction de Jérôme fera donc autorité pendant des siècles, excluant

pour des siècles le rêve de la vie spirituelle.

Depuis la trahison de Saint-Jérome jusqu’au début du 20 e siècle.

 

L’église fit tout alors pour condamner le rêve. En effet, puisque la doctrine exprimée par les pères de

l’église était affirmée comme complète, il n’était pas besoin d’informations supplémentaires. Si

supplément il doit y avoir, ce sont les dogmes qui les déclarent et les définissent. Tout le reste est une

hérésie.

 

L’église catholique va associer l’interprétation à des pratiques hérétiques et la mettre au même rang

que la sorcellerie, la divination. Les individus, soupçonnés de se livrer à des activités occultes, sont

accusés d’hérésie, privés de leurs biens, jetés en prison, torturés, brûlés.

Le rêve et son interprétation sont diaboliques.

 

Ainsi le rêve fut exclu de la civilisation occidentale. Pour des siècles à venir, on ne parla plus des rêves

ni de leur interprétation. Le rêve qui était au centre de la vie spirituelle intérieure disparut de la vie

quotidienne et resta un secret caché au fond des cœurs.

 

Napoléon Bonaparte lui-même a fait interdire l’interprétation des rêves que la révolution Française

avait pourtant fait rétablir.

Depuis le début du 20 siècle

Sygmund Freud et CG Jung ont à eux deux fait grandement avancer la relation entre le rêve et les

humains.

Les thèses freudiennes autour du rêve sont extrêmement répandues. Elles laissent à penser que les

rêves sont orientés par la Libido.

CG Jung a travaillé pendant un temps très court avec Freud. Ils se sont séparés ensuite, ce qui pour

JUNG a été un déchirement. Le travail de Freud lui paraissait pourtant incomplet. Il a ainsi démontré ,

autour de l’interprétation de 80000 rêves dans sa vie, que le rêve est par le biais de l’inconscient, un

dynamisme naturel pour piloter sa vie quotidienne . Le rêve , dit-il , est la porte d’accès à l’âme .

 

Ce n’est qu’en 1992 que l’interprétation des rêves a été officiellement rétablie en France.

 

 

Baptiste51

Lire la suite...

Vautour

  • Que l’on voit : maladie grave.
  • Voler : on sera victime d’une injustice.
  • Que l’on abat : victoire sur un ennemi.
  • Représente un ennemi dangereux duquel on ne doit attendre aucun égard
  • ou encore une circonstance redoutable, une période d’adversité.
  • Si l’animal vu en rêve demeure neutre, prendre le présage comme un avertissement à se tenir sur ses gardes
  • s’il y a combat, interpréter selon l’issue.
Lire la suite...

Les rythmes

Parmi les rythmes biologiques animant les espèces vivantes, il en est un qui leur est commun : le rythme circadien (de circa : tour, cercle ; et dies : jour) ou nycthéméral (de nuktos : nuit ; et hemera : jour). D’une période de vingt-quatre heures environ, il correspond à un cycle comprenant un jour et une nuit. Sur ce cycle se construit le rythme qui fait alterner veille et sommeil. Contrairement, pourtant, à ce que l’on pourrait imaginer, il ne provoque pas le passage brutal de l’état de veille à celui de sommeil, mais modifie progressivement l’état de vigilance.

De la même façon, notre température varie au long de ces vingt-quatre heures, selon un rythme régulier : d’une valeur minimale de 36,7°C environ à six heures du matin, notre température s’élève au cours de la journée pour atteindre à peu près 37,5°C vers dix-sept heures. On admet aujourd’hui que la température moyenne normale du corps, au cours de la journée, est de 37,2°C et non de 37°C.

Toute cette subtile mécanique serait régie par une sorte de métronome biologique, parfois appelé l’oscillateur interne, qui est situé dans le cerveau, au niveau de l’hypothalamus. Cet oscillateur qui fonctionne sur un rythme de base d’environ vingt-quatre heures est influencé par deux types de facteurs :

  • les facteurs environnementaux, comme la lumière.
  • les facteurs qui déterminent les rythmes d’activité sociale:

par exemple l’heure du coucher, qui correspond plus à une habitude culturelle qu’à une nécessité biologique.`Tous ces éléments font qu’en moyenne, chez les Français, les heures de sommeil se situent entre vingt-deux ou vingt-trois heures le soir et six ou huit heures du matin. Toutefois, une proportion non négligeable de personnes paraît déphasée par rapport à ce rythme : ce sont les  » gens du soir  » qui ont le plus grand mal à s’endormir avant deux heures du matin et les  » gens du matin  » qui sont souvent debout à quatre ou cinq heures. Ont-ils un sommeil de nature particulière ? Apparemment non, selon les études qui leur ont été consacrées, mais il semble tout simplement que leur moment de vigilance maximale soit décalé : vers quinze ou seize heures pour les  » lève-tôt « , et vers dix-neuf heures pour les  » couche-tard « .

Suite (La durée du sommeil)

Lire la suite...

Boeuf

  • Comme symbole sexuel expression de la force : souvent rêve de puissance chez les personnes d’un certain âge.
  • Voir des boeufs au pâturage : gain ou prospérité.
  • A l’étable : foyer riche et bien organisé.
  • Attelés à une charrette : travail ou occupation pénible, mais profitable.
  • Que l’on entend mugir : danger qui menace.
  • Par lequel on est attaqué : on aura une personnalité influente comme ennemi.
  • Voir l’abattage d’un boeuf ou y prendre part : des avantages matériels ne pourront être obtenus qu’à la condition de porter atteinte au bonheur ou à la paix de tiers : exhortation à penser non seulement à soi, mais aussi aux autres.
  • Généralement un boeuf à cornes prédit des bénéfices et un boeuf sans cornes appauvrissement.
  • Selon qu’il est blanc ou noir, maigre ou gras, doux ou furieux on l’interprétera selon les règles générales indiquées au début de ce livre.
  • Un boeuf qui saute sur vous, vous mord ou vous blesse: menace d’infirmité.
  • Rêver de boeufs qui dorment annonce le mauvais temps.
  • Égorger un boeuf: triomphe sur ennemi.
Lire la suite...

Massue

  • Que l’on tient : on prendra une ferme résolution.
  • Avec laquelle on frappe quelqu’un : on essaiera de combattre des ennemis.
  • Avec laquelle on est battu : un ennemi médite un mauvais coup.
Lire la suite...

Chien

  • Signe instinctif, réaction normale à un désir ou à un souhait qui se fait jour par cet intermédiaire.
  • Noir que l’on voit : on sera trahi par un ami.
  • Blanc : on fera une connaissance agréable.
  • Enragé : peur injustifiée de quelque chose.
  • Méchant : calomnie.
  • Familier et caressant : on sera attiré dans une embuscade.
  • Mort : on se trouve parmi des gens hostiles
  • Avec lequel on joue : contrariétés et désavantage.
  • Que l’on voit chasser : désordre
  • Par lequel on est attaqué : prudence !
  • Qu’on lance contre quelqu’un : source d’hostilité
  • Qu’on entend aboyer : il faut être vigilant
  • Voir plusieurs chiens se battre : querelle de famille à cause d’un héritage
  • Par lequel on est mordu : maladie.
  • Hurlant : danger
  • Un chien de taille ordinaire vu en songe représente une solide amitié qu’on vous porte
  • si vous le voyez se battre avec d’autres il z aura une querelle quelconque à votre sujet
  • si un chien vous court après, attention à une provocation ainsi présagée
  • un chien enragé serait de mauvais augure, sauf si dans son rêve le dormeur arrivait à le tuer.
  • Un chien maigre, pitoyable, vous annonce qu’un de vos amis se trouve dans l’affliction.
  • Être mordu par un chien: vous serez attaqué par un concurrent, un rival, un adversaire, un ennemi quelconque.
  • Les Orientaux voient dans la chienne une femme légère.
Lire la suite...
1 2 3 4 12