Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Fruits (d’arbres fruitiers)

Les fruits d’arbres en rêve sont souvent liées à un projet qui est en train de se concrétiser ;

  • Presque sans exception, symbole sexuel, même sous sa forme la plus nette et la plus accentuée.
  • Que l’on voit sur des arbres : prospérité.
  • Dans un magasin ou à un éventaire : des affaires avantageuses se préparent.
  • Dans des corbeilles, des coupes, etc. : on recevra des invités ou sera soi même invité.
  • Que l’on offre : on s’efforce d’obtenir la faveur de quelqu’un.
  • Qui sont offerts : mise en garde contre une tentation ou une séduction.
  • Doux et bons que l’on mange : bons progrès ou succès d’un plan.
  • Amers : difficultés dans un projet.
  • Que l’on veut faire tomber de l’arbre sans y parvenir : avertissement que la violence ne sert à rien.
  • Que l’on fait tomber de l’arbre : dans une affaire, on devrait faire preuve de plus d’énergie.
  • Que l’on ramasse sur le sol : on sera largement récompensé d’une petite peine.
  • Dont on fait des conserves : on sera préservé de dépenses inutiles.
  • En conserves que l’on voit : dans les temps de misère, on aura un compte d’épargne.
  • Que l’on fait cuire ou prépare : un gain d’une provenance nouvelle.
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Roue

  • Symbole du cercle que forme l’intemporalité
  • signe de l’arrondissement de la vie et d’idées également.
  • Que l’on voit : changement imminent dans la vie
  • plus la roue tourne vite, plus le changement sera grand
  • si la roue est immobile, le changement sera insignifiant ou désavantageux.
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Ruisseau

  • L’image dans le ruisseau indique, selon sa forme, ce que la vie apportera en richesses et en peines.
  • Avec de l’eau claire : de bonnes affaires.
  • Avec de l’eau trouble : de mauvaises affaires.
  • Avec un courant torrentiel : infortune.
  • Avec beaucoup de poissons : beaucoup de chance.
  • Se baigner dans un ruisseau : guérir.
  • Les anémiques, les phtisiques, rêvent paraît-il, fréquemment de ruisselets et d’eaux murmurantes.
  • Prophétiquement ce songe saurait donc avoir de valeur que pour les autres
  • son sens général est: gaieté, animation, éléments aimables de la vie.
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Cadavre

  • Symbole d’événement passé, mais des questions personnelles en relation avec eux ne sont pas encore entièrement éclaircies.
  • Que l’on voit : mariage ou naissance dans la famille ou chez des amis.
  • Se voir sous la forme d’un cadavre : on sera libéré d’un gros souci.
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Signification des poissons

Le poisson dans les rêves représente votre état intérieur, peut être aussi dans certains cas lié à votre libido. Globalement un poisson qui se porte bien est le symbole que vous avez l’air d’être satisfait en amour. Un groupe de poissons peut indiquer l’impression d’être noyer dans la masse et de faire partie d’un tout.

 

Un poisson ou un groupe de poissons dans un rêve

 

Un poisson mort, vous pouvez avoir des problèmes affectif, un poisson malade peut indiquer une trahison ou l’impression d’être floué par quelqu’un de votre entourage proche.

Un poisson qui saute hors de l’eau est le symbole de force et de vigueur.

Voir des poissons dans un aquarium, attention vous sembler être observé et vos actes semblent important pour quelqu’un qui vous entoure.

Un poisson que vous mangez indique une certaine forme de richesse.

Un poisson volant vous met en garde contre des choses auxquelles vous ne semblez pas prêter attention.

Un poisson que vous péchez symbolise la puissance mais indique aussi une suspicion de trahison.

PoissonUn poisson oui mais sa couleur semble être importante dans votre rêve

 

Le poisson rouge peut être le symbole de la niaiserie et le sentiment que vous ne pouvez pas avancer comme vous le souhaitez.

Bleu, vous avez vu un poisson bleu dans votre rêve ? Symbole d’ennuie à venir et de soucis sentimentaux.

Le poisson vert est le symbole de la puissance et le besoin d’avancer dans votre vie amoureuse.

Un poisson noir et le symbole de la sagesse, vous pouvez avoir des choix à faire et vous semblez prendre le temps pour les faire.

Et pour finir le poisson blanc, symbole de pureté il peut indiquer un mariage.

 

Les autres interprétations liées dans notre dictionnaire des rêves : poissons / dauphin / sardine / pêcher

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Enfermé

  • Être enfermé : Peut indiquer un besoin de recul afin de pouvoir vivre au mieux sa vie en société.
  • Enfermer quelqu’un, indique dans certain cas une forme de protection, vous souhaitez protéger cette personne.
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Excrétions

  • Sens général bien connu: argent.
  • Voir des excréta: bénéfice inattendu et fortuit.
  • Rêver qu’on accomplit le dernier acte de la digestion: cessation de difficultés si la substance est de forme, de consistance et de volume normaux
  • dans les autres cas: pertes, retards, déceptions.
  • Une bizarre indication traditionnelle affirme que celui qui rêve évacuer au lit se séparera de sa conjointe.
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sandwich

Les significations du sandwich dans les rêves :

 

Il faut voir le sandwich part son coté rapide et efficace et aussi le symbole du repas rapide car manque de temps. Dans les rêves se voir en manger un peu indiquer une certaine forme de stress et l’impression de ne pas avoir le temps de faire tout ce que vous devriez.

 

sandwich

 

Votre rêve peut aussi signifier le besoin de régler rapidement une situation qui devient problématique et la force de trouver une solution qui mettra rapidement d’accord les parties en question.

 

Pour finir le sandwich est aussi le symbole de la nourriture pas cher, on peu donc y voir le sentiment que le rêveur n’arrive pas à faire ce qu’il voudrais et par ce symbole qu’il trouve des solutions pour tout de même pouvoir faire ce qu’il souhaite.

 

Autres significations du sandwich:

 

  • Besoin de faire le point.
  • En voir un, indique un sentiment de stress.
  • En manger un, signification d’un besoin de temps.
  • Peut aussi indiquer dans certain le besoin de vacances pour vous reposer de votre train train quotidien.

 

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Insectes

  • Des détails que l’on a refoulés sciemment ont leur importance
  • ils montrent leur importance en prenant la forme de remords qui aiguillonnent la conscience.
  • Que l’on voit : on aura affaire à un bavard importun.
  • Des insectes petits et inoffensifs : succès et gain.
  • Être piqué par de gros insectes : perte ou maladie.
  • Que l’on tue : on triomphera d’une difficulté.
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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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