Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Dormir

  • Peur des réalités et fuite devant elles.
  • Voir quelqu’un dormir : on ne devrait pas manquer une bonne occasion.
  • Voir dormir une personne de l’autre sexe : une bonne occasion s’offre en amour, on ne devrait pas la manquer.
  • Voir dormir une personne jeune et belle : bonheur intérieur et d’amour.
  • Une personne vieille et laide : avantages matériels ou extérieurs.
  • Dans son lit : une surprise au foyer
  • en plein air : une surprise en perspective
  • dans un autre lit ou hors de chez soi : des relations singulières avec une autre personne
  • dans un abri provisoire : des circonstances déplaisantes.
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Le somnambulisme

Somnambulisme

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Le somnambulisme, qui signifie en latin marcher en dormant, est une pathologie du sommeil d’origine neurologique.

Il se traduit par un comportement moteur survenant lors d’un éveil incomplet en sommeil lent profond. Généralement limité à des déambulations dans le lieu d’habitation, il peut toutefois conduire à des actes plus dangereux pour le sujet (sortie, défenestration) ou pour d’autres individus (conduite d’un véhicule, comportements violents, voire homicide).

Ils semblent être éveillés, et ont les yeux ouverts. Ils sont capables de répondre à des ordres ou à des questions par oui ou non. Ils semblent toutefois ennuyés par les questions et ils s’irritent si l’interrogatoire est trop long. Lorsqu’on les réveille, ils sont confus et mettent un peu de temps avant de reprendre leurs esprits. Près du tiers des somnambules réagissent de façon agressive. La personne n’a aucun souvenir de ce qu’elle a fait, pas même de s’être levée pendant la nuit. La plupart du temps les épisodes sont courts (quelques minutes et parfois jusqu’à 30min).


Pathophysiologie


 

Le somnambulisme survient généralement durant les phases 3 et 4 du sommeil, ou sommeil profond. Cette phase correspond au premier tiers du cycle du sommeil (pendant les deux premières heures suivant l’endormissement).

Les somnambules ont une régulation anormale des ondes courtes (observables sur un encéphalogramme). Cette régulation est liée au système thalamo-cortical, qui engendre une paralysie musculaire naturelle durant le sommeil.

Ainsi, des séries d’événements moteurs complexes peuvent intervenir sans que le sujet soit conscient.

Le somnambulisme n’est pas dangereux en tant que tel, mais le mouvement sans connaissance consciente peut entraîner des dangers.

Le somnambulisme de l’enfant

Le somnambulisme s’observe le plus souvent chez les enfants, surtout les garçons entre 7 et 12 ans. Ces accès de somnambulisme disparaissent en général à la puberté.

Aux phases ambulatoires les plus courantes s’ajoutent parfois des phases où l’enfant urine dans un lieu innaproprié, utilise des mots obscènes absents de son répertoire courant. La prévention de chutes dangereuses reste toutefois l’aspect le plus important du somnambulisme infantile.

Le somnambulisme de l’adulte

Entre 10 et 20% des adultes seraient sujets au somnambulisme, avec des écarts nets dans certains pays (40% en Suède). Chez l’adulte, le somnambulisme peut avoir des causes psychologiques (notamment en période de stress), psychiques, ou être liée à la consommation d’alcool. Des prédispositions génétiques ont récemment été envisagées après des études menées par l’hôpital universitaire de Berne. Un gène spécifique aux somnambules vient d’être découvert. Un chercheur a réalisé une étude portant sur 74 personnes atteintes de somnambulisme. Il a découvert que 50% d’entre elles possédait un gène appelé HLA DQB1*05 qui fait parti des gènes impliqués dans la régulation du système immunitaire : ces gènes permettent de faire la distinction entre les cellules de l’organisme et celles qui lui sont étrangères. Mais il reste encore à définir la relation exacte entre le somnambulisme et ce gène. En conséquence on peut ce demander si le somnambulisme peut être une maladie auto-immune c’est-à-dire provoquée par un mauvais fonctionnement du système de protection de l’organisme….


Les symptômes du somnambulisme


 

Le somnambulisme simple : on distingue deux cas comportementaux. Pour le premier, l’enfant ou l’adulte s’assoit sur son lit tout en exécutant des gestes plus ou moins adroits. De temps en temps, il peut se mettre à parler. Dans le deuxième cas, le somnambule se lève et déambule dans l’habitation pour ensuite retourner spontanément dans son lit. Ses yeux sont grands ouverts et son regard est inexpressif. Si on lui parle, il peut répondre, il peut même exécuter des ordres. Mais le somnambule s’irrite très vite et devient grognon. Parfois, il peut réaliser des actes relativement élaborés, éviter des meubles, descendre des escaliers, vider une armoire, fouiller le réfrigérateur, se mettre à manger, faire la vaisselle, ou uriner dans un coin; voir même chez les adultes, conduire un véhicule. Sauf dans cette dernière situation, ce type de somnambulisme n’est pas dangereux et se déroule tout au plus une fois par mois durant 10 minutes. Il tend à disparaître au bout de quelques mois ou à la puberté chez les enfants. Si le somnambule commet des actes dangereux pour lui ou pour son entourage, nous passons au second type de manifestation.

Le somnambulisme à risque : c’est une forme accentuée du somnambulisme simple. En effet, la durée dépasse 10 minutes, la fréquence est de 2 à 3 fois par semaine et les actes du somnambule sont dangereux. Par exemple il peut utiliser un couteau, faire des gestes violents qui peuvent le blesser lui et son entourage ou bien, par sa maladresse, il peut tomber (d’une mezzanine ou des escaliers). Lors de ce type de somnambulisme, les risques de défénestrations sont courants.

Le troisième type est nommé le somnambulisme de  » terreur « . Les premières crises de somnambulisme de terreur peuvent apparaître avant 6 ans ou après 10 ans et peuvent persister après la puberté. Les crises débutent tôt après l’endormissement. Lorsque l’on tente de calmer, retenir, réveiller ou consoler le somnambule, celui-ci peut devenir encore plus agressif. Chez l’enfant, le risque de défenestration est deux fois plus important lors de cette crise. Le somnambule est dans un état neurovégétatif (inconscient), il est dans un état de terreur, il court et déambule violemment en poussant des hurlements. Sa fréquence cardiaque, sa respiration et son activité musculaire augmentent. Son cortex cérébral* reste probablement en sommeil lent profond ce qui explique l’amnésie lors du réveil. Ce genre de somnambulisme peut se reproduire plusieurs fois par nuits et cause des problèmes psychologiques au somnambule.


Causes autres que génétique


 

Dans un cadre comportemental:

  • Le stress ou les tensions nerveuses: produites chez l’enfant par des histoires familiales ou des évènements traumatisants, et chez les adultes par la vie actives des adultes.
  • Le manque de sommeil : si l’enfant comme si l’adulte, se couche tard, ses rythmes du sommeil sont bouleversés. Une privation du sommeil peut augmenter la fréquence et la complexité du somnambulisme . En effet , il y a plus de cas de somnambulisme lors d’une nuit de récupération que lors d’une nuit normale ( sur 15 patients 100% on eu une crise lors d’une nuit de récupération contre 60% lors d’une nuit normale ).
  • Les migraines (en particulier chez les femmes)

Dans un cadre environnemental:

  • Une maladie: il existe un lien étroit entre la fièvre et le somnambulisme. Il a été, aussi, associé à la Maladie de Gilles de la Tourette. Certaines formes de l’épilepsie ou d’énurésie peuvent également entraîner le somnambulisme.
  • La puberté: le trouble chez l’enfant peut être lié aux facteurs de croissance comme la puberté.

Dans un cadre toxique:

  • La prise de certains médicaments de la classe des psychotropes est consommé par moins de 10% des jeunes actuels. Il y a moins de consommation que chez les adultes. Les adultes utilisent plus de médicaments contre le stress(particulièrement le lithium), et pour dormir.
  • L’alcool et les drogues.

Traitements


 

Certains patients souffrent de troubles psychologiques liés à leur propre perception du somnambulisme, qui reste assez peu étudié et est mal connu du grand public. Les comportements violents peuvent également avoir un impact psychologique important notamment sur le couple.

Une croyance populaire veut qu’il ne faut pas réveiller un somnambule. Dans les faits il n’y a aucun danger à le réveiller. Il peut seulement être désorienté ou embarrassé. En tout cas, mieux vaut le réveiller que de lui permettre de se mettre en danger.

En tant que maladie, le somnambulisme peut être traité :

  • Dans les cas simples, il faut chercher à supprimer les causes tel que le manque de sommeil, le stress et éviter les exercices violents en soirée. Ils doivent également dormir à des heures régulières et adapter l’environnement : dormir au rez-de-chaussée ou verrouiller la porte de sa chambre.
  • Si les crises se manifestent trop souvent, les médecins peuvent prescrire des benzodiazépines, du diazepam ou du lorazepam, qui suppriment les crises en éliminant les phases du sommeil profond. Mais l’efficacité de ces benzodiazépines se limitent au début du traitement, il s’en suit un phénomène d’échappement.
  • On peut aussi utiliser l’hypnose avec un thérapeute: les résultats semblent efficaces. Si des troubles psychologiques surviennent après les crises, il est préférable de consulter un médecin psychiatre.

Aspect juridique


 

Le principe de la responsabilité pénale et civile nécessite de déterminer le dégré de conscience, de liberté ou d’intention.

Même si le somnambulisme n’est pas considéré comme une maladie mentale, la justice peut se référer aux cas d’infractions commises en état de conscience altérée (ivresse, drogue, folie, hypnose, …)

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Jeune Fille

  • S’il ne s’agit pas simplement d’un rêve de désir sexuel, ce sont des souvenirs ou un changement dans la structure des désirs et des plans.
  • Voir plusieurs jeunes filles : une joyeuse compagnie.
  • Vêtues de blanc : un penchant qui rend heureux.
  • Être entouré de jeunes filles qui rient : on est la cible de taquinerie ou de petites moqueries.
  • Donner des baisers à des jeunes filles : on cède à un penchant qui rend ridicule et expose à la moquerie.
  • Recevoir des baisers de jolies jeunes filles : désenchantement après une ivresse passagère.
  • Les voir pleurer : on aura un enfant.
  • Les voir faire des travaux ménagers : mariage.
  • Ici il faut laisser la parole à la tradition: En voir une à peine développée: providence, bel avenir
  • en voir une nue: honneur si sans cause ou mérite.
  • Pour le reste, voyez Femme.
  • Certains auteurs font une distinction entre la femme et la jeune (fille, et donnent des interprétations différentes pour l’une et pour l’autre .
  • Donner le bras à une jeune fille: bon présage
  • l’entraîner par force: perte des liberté
  • rêver qu’une jeune fille vous donne quelque chose: fortune
  • si elle vous prépare une couronne: honneurs, élévation
  • en recevoir une fleur rouge: on aura de très bonnes nouvelles
  • en recevoir une branche de basilic effeuillée: est un avertissement a être constant et avoir bon espoir dans ses amours.
  • Recevoir un citron ou des raisins verts d’une jeune fille: vous souffrirez par elle
  • une pomme: elle accepte votre amour
  • une rose: bonnes nouvelles que vous lui porterez
  • l’embrasser ou en être embrassé: bonne solution de vos affaires.
  • Si vous rêvez qu’une jeune fille vous enveloppe, vous couvre d’un drap de lit: vous la demanderez en mariage et vous l’obtiendrez
  • enlever de la boue, des taches des vêtements d’une jeune fille: on la sauvera d’un mauvais mariage
  • rêver qu’elle vous prépare le lit: elle fera tout pour vous épouser
  • rêver qu’une jeune fille vous donne à boire ou à manger: succès on amour
  • tuer une jeune fille: grand danger dont on est la cause involontaire.
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L’environnement du sommeil

Aménagez votre environnement. Dormez dans la pièce la moins bruyante de votre appartement. Les couleurs doivent être apaisantes (bleu, vert, blanc) et le mobilier sobre. Utilisez des lumières discrètes et indirectes et une température pas trop élevée (18°C à 20°C au maximum). Pensez à humidifier l’atmosphère de votre chambre, surtout si vous avez un chauffage central, en posant par exemple un verre d’eau sur le radiateur. Si vous habitez à côté d’une rue bruyante, pensez au double vitrage et installez des rideaux épais qui atténueront sensiblement le bruit.Le lit peut être dur ou souple, cela n’a pas réellement d’importance et dépend des goûts de chacun. Un lit dur est préférable pour éviter les problèmes de douleur de dos. On dit souvent que l’on dort mieux si l’on s’installe la tête au nord. Rien n’est prouvé, mais vous pouvez toujours essayer.

L’importance des habitudes. Nous observons tous un rituel au moment de nous endormir : prendre un bain, lire quelques pages, écouter de la musique. Tous ces rituels favorisent l’endormissement, surtout chez les enfants, qui ont souvent des habitudes très précises, exigeant une histoire, une peluche, une porte ouverte ou fermée, une lumière allumée ou éteinte… Respectez ces rituels qui aident les enfants à s’endormir dans le calme.

Le confort de la literie intervient de façon non négligeable. Chacun a pu un jour constater qu’il est possible de s’endormir dans pratiquement n’importe quelles circonstances quand l’on  » tombe de fatigue « , mais que les réveils sont dans ce cas souvent sombres et douloureux.Pour favoriser un sommeil harmonieux, quelques règles essentielles doivent être suivies.

Les sommiers et matelas permettant d’amortir les mouvements et de compenser les creux, causés dans les matelas classiques par les points du corps les plus lourds, sont à recommander, surtout lorsque l’on dort à deux. Ainsi faut-il choisir les structures à ressorts, ou, mieux encore, celles comprenant des lattes articulées, mais il n’est pas contre-indiqué d’avoir recours à des solutions moins habituelles comme les matelas d’eau, par exemple, ou les  » futons  » japonais.

Il est préférable d’éviter les lits trop mous, qui peuvent avoir des effets néfastes sur la colonne vertébrale. Il est même conseillé aux gens qui souffrent du dos de placer une planche rigide entre le sommier et le matelas.

Il n’est pas indispensable de dormir avec un oreiller. Et lorsqu’on le désire, il faut veiller à ce qu’il ne soit pas la cause d’une torsion du cou.

Il faut avoir une liberté de mouvements suffisante et éviter notamment les lits et les vêtements de nuit trop serrés.

L’hygiène est une condition trop souvent oubliée. Pourtant, ne serait-ce que pour des raisons psychologiques, il s’agit d’un point non négligeable. Il est si agréable de se plonger dans des draps propres et sentant le frais !

La température dans la chambre doit être adéquate, répondant à la fois à des critères généraux et aux habitudes particulières de chaque individu. Certains ressentent la nécessité impérieuse de dormir la fenêtre ouverte, d’autres ne cherchent qu’à s’enfouir le plus profondément sous les couettes les plus chaudes, même en été.

Le degré d’humidité de l’air ne doit pas être négligé. Si la moiteur des nuits tropicales peut constituer une gêne, c’est en réalité plutôt la sécheresse excessive des chambres à coucher occidentales qui pose problème, notamment à cause d’un chauffage trop important. Soyez vigilant à cet égard et pensez, en particulier, à installer des humidificateurs d’air dans les chambres d’enfants.

Le degré de luminosité est également important. Certains aiment dormir dans le noir absolu, tous volets fermés, alors que d’autres préfèrent être réveillés par la lumière du jour. C’est affaire d’habitude personnelle, aucune règle n’existe en la matière. Une chambre bien hermétique à la lumière est souvent un excellent somnifère… mais souvenez-vous toutefois que certains (principalement les enfants) ont un besoin impérieux de lumière, qui leur permet de combattre l’anxiété. Respectez, dans ce cas, cette volonté, mais adoptez une source de lumière très diffuse, la moins crue possible, en bannissant le néon.

Suite (Les conditions liées au dormeur)

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Fille

  • Voir enfant.
  • Ici il faut laisser la parole à la tradition: En voir une à peine développée: providence, bel avenir
  • en voir une nue: honneur si sans cause ou mérite.
  • Pour le reste, voyez Femme.
  • Certains auteurs font une distinction entre la femme et la jeune (fille, et donnent des interprétations différentes pour l’une et pour l’autre .
  • Donner le bras à une jeune fille: bon présage
  • l’entraîner par force: perte des liberté
  • rêver qu’une jeune fille vous donne quelque chose: fortune
  • si elle vous prépare une couronne: honneurs, élévation
  • en recevoir une fleur rouge: on aura de très bonnes nouvelles
  • en recevoir une branche de basilic effeuillée: est un avertissement a être constant et avoir bon espoir dans ses amours.
  • Recevoir un citron ou des raisins verts d’une jeune fille: vous souffrirez par elle
  • une pomme: elle accepte votre amour
  • une rose: bonnes nouvelles que vous lui porterez
  • l’embrasser ou en être embrassé: bonne solution de vos affaires.
  • Si vous rêvez qu’une jeune fille vous enveloppe, vous couvre d’un drap de lit: vous la demanderez en mariage et vous l’obtiendrez
  • enlever de la boue, des taches des vêtements d’une jeune fille: on la sauvera d’un mauvais mariage
  • rêver qu’elle vous prépare le lit: elle fera tout pour vous épouser
  • rêver qu’une jeune fille vous donne à boire ou à manger: succès on amour
  • tuer une jeune fille: grand danger dont on est la cause involontaire.
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Baiser

  • Que l’on donne : une prière recevra une réponse négative.
  • A une femme : on est très apprécié de l’autre sexe.
  • A un homme : on sera invité à donner sa démission.
  • A sa mère : désir de tendresse.
  • A une personne âgée : déception en amour.
  • Sur les mains : chance en amour et amitié.
  • Voir des tiers se donner un baiser : tristesse.
  • Baiser la terre : chagrin et humiliation.
  • Donner un baiser sur le visage : succès.
  • Vouloir donner un baiser, mais n’en avoir pas la permission : mélancolie.
  • Recevoir un baiser : on est estimé.
  • Échanger beaucoup de baisers : bonnes perspectives.
  • Embrasser un jeune homme ou un homme sans électivité spéciale: on obtiendra par lui quelque bénéfice
  • le faire avec sympathie: présage inverse.
  • Embrasser une jeune fille: grandes satisfactions.
  • Embrasser une maison, affirme la tradition, signifie l’obtention des faveurs d’une femme.
  • Embrasser un mort: s’il vous est inconnu: vous avez de longues années à vivre et il vous viendra du bien par héritage.
  • Être embrassé entre les yeux: signe de mariage
  • sur la bouche: imprudence en amour.
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Moustache

  • Que l’on voit à un homme : un homme que l’on avait tenu pour un héros se révèle être un pauvre bougre.
  • A une femme : dans les rêves d’hommes, on ne sera pas couché sur des roses auprès de sa femme, de sa fiancée ou de son amie
  • dans les rêve de femmes, il faut se défier d’une certaine amie.
  • si, en rêve, un homme portant moustache donne un baiser à une femme, cette femme aura comme mari ou amant un vantard.
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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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Argent

  • Chez l’homme symbole de capacité en amour et dans la vie, chez la femme presque toujours symbole de spéculation érotique.
  • Que l’on voit : dépenses subites.
  • Étranger : on va se lancer dans une entreprise très risquée.
  • Que l’on gagne : chance en amour.
  • Que l’on trouve : on sera préservé d’une perte sensible.
  • Que l’on possède : signe d’orgueil.
  • Que l’on perd : malchance qui, toutefois, passera vite.
  • Que l’on donne à un mendiant : gros gain.
  • Que l’on gagne à la loterie, etc. : mauvais présage.
  • Que l’on fait changer : instabilité dans le commerce.
  • Que l’on paie : on recevra une récompense.
  • Que l’on compte : on gagnera bien sa vie.
  • Toujours ce songe promet aux femmes de multiples joies.
  • Sous forme native ou en ligots l’argent indique à l’homme qu’il sera favorisé financièrement par une femme
  • mais sous forme monnayée c’est dépense imprévue.
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Le serpent dans vos rêves

Vous avez vu un serpent en rêve ?

 

Ce type de rêve s’interprète pas de la même façon si le rêveur est une femme ou alors si il s agit d’un homme.
Le serpent généralement liée à l’animal biblique, met souvent en cause votre vie sentimentale, souvent symbole de soucis de ce domaine et plus particulièrement dans votre vie amoureuse.

Une première piste serait donc de tenter d’analyser votre rêve dans ce sens.

Dans cet article nous allons donc tenter de vous donner des pistes pour les deux principaux cas :

Le rêveur est une femme :

Le serpent pour une femme indique la méfiance afin de pouvoir arriver à maintenir sa vie sentimentale à flot, faites attention au autres femmes qui pourrais nuire à votre couple si vous êtes en couple, dans le cas contraire, vous n’êtes pas forcement impartiale dans un conflit amoureux.

Ici le rêveur est un homme :

Si on prends la référence biblique le serpent va pousser Eve à trahir Adam, on peut donc dire que votre songe vous met en garde contre une ou plusieurs femmes qui n’hésitera pas à vous trahir ou vous faire du mal.

 

serpent

Néanmoins on peut préciser cette interprétation suivant l’animal :

  • Mort ou malade, peut indiquer un changement de situation.
  • Dans un arbre, méfiance.
  • être mordu par ce dernier, changement profitable.
  • Voir ou entendre des serpents, menaçants, rampants, animés de mouvements continus indique de très dangereux ennemis.
  • Si ce dernier parle : cela peut être lié à votre capacité à faire la différence entre le vrai du faux.

Pour résumer :

Généralement pour le rêveur masculin le serpent est un avertissement vis à vis des femmes dans sa vie amoureuse. Et pour les femmes cela est principalement le reflet de pulsion important. Dans les deux cas le serpent est un symbole sexuel fort.

 

Interprétations liées : serpent / adam & eve

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