- Selon qu’on fait preuve de prudence ou d’étourderie dans ses rapports avec autrui, on peut ‘casser beaucoup de vaisselle’.
- Neuve que l’on achète : la famille s’accroît.
- Sale que l’on voit : on aura des soucis ménagers.
- Que l’on lave : harmonie en amour et amitié.
- Que l’on casse : chance.
- Vendre ou perdre de la vaisselle est dit
- on signe d’amélioration de position, en briser présage de graves contrariétés.
Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :
Laver
- Des choses sales : des tiers causeront des contrariétés ou des ennuis.
- Se laver : on devra se laver d’une suspicion ou d’une calomnie méchante.
Vaisselle De Chine
- On fréquentera des gens bien.
Laver (se)
- amélioration de la situation économique.
- les mains: renonciations.
- le visage: clarté, honnêteté.
- les pieds: chance et esprit d’initiative.
- la tête: rencontres importantes.
Or
- Presque toujours dans le même sens qu’argent’, mais davantage encore synonyme de ce qui est fugitif.
- Que l’on a ou possède : bonne évolution des affaires.
- Que l’on trouve : on trouvera une personne capable d’un amour sincère.
- Que l’on perd ou l’on dépense : perte.
- Dont on se voit paré : genre de vie superficiel.
- Porter un vêtement en or : on recevra une promesse belle, mais qui ne sera pas d’inspiration sérieuse.
- Que l’on nettoie ou que l’on lave : on s’élèvera par son travail.
- Si on rêve trouver de l’or, porter un sceptre, une bague, un collier d’or on doit en rendre par là le présage d’une utile découverte, d’une prospérité nouvelle ou de dignités.
- Dans les autres cas l’or semble prédire néfastement.
- En voir: pertes
- briser de la vaisselle d’or: décès d’un subalterne ou auxiliaire
- en fondre: litige portant tort à la réputation
Le somnambulisme
Somnambulisme
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Le somnambulisme, qui signifie en latin marcher en dormant, est une pathologie du sommeil d’origine neurologique.
Il se traduit par un comportement moteur survenant lors d’un éveil incomplet en sommeil lent profond. Généralement limité à des déambulations dans le lieu d’habitation, il peut toutefois conduire à des actes plus dangereux pour le sujet (sortie, défenestration) ou pour d’autres individus (conduite d’un véhicule, comportements violents, voire homicide).
Ils semblent être éveillés, et ont les yeux ouverts. Ils sont capables de répondre à des ordres ou à des questions par oui ou non. Ils semblent toutefois ennuyés par les questions et ils s’irritent si l’interrogatoire est trop long. Lorsqu’on les réveille, ils sont confus et mettent un peu de temps avant de reprendre leurs esprits. Près du tiers des somnambules réagissent de façon agressive. La personne n’a aucun souvenir de ce qu’elle a fait, pas même de s’être levée pendant la nuit. La plupart du temps les épisodes sont courts (quelques minutes et parfois jusqu’à 30min).
Le somnambulisme survient généralement durant les phases 3 et 4 du sommeil, ou sommeil profond. Cette phase correspond au premier tiers du cycle du sommeil (pendant les deux premières heures suivant l’endormissement).
Les somnambules ont une régulation anormale des ondes courtes (observables sur un encéphalogramme). Cette régulation est liée au système thalamo-cortical, qui engendre une paralysie musculaire naturelle durant le sommeil.
Ainsi, des séries d’événements moteurs complexes peuvent intervenir sans que le sujet soit conscient.
Le somnambulisme n’est pas dangereux en tant que tel, mais le mouvement sans connaissance consciente peut entraîner des dangers.
Le somnambulisme de l’enfant
Le somnambulisme s’observe le plus souvent chez les enfants, surtout les garçons entre 7 et 12 ans. Ces accès de somnambulisme disparaissent en général à la puberté.
Aux phases ambulatoires les plus courantes s’ajoutent parfois des phases où l’enfant urine dans un lieu innaproprié, utilise des mots obscènes absents de son répertoire courant. La prévention de chutes dangereuses reste toutefois l’aspect le plus important du somnambulisme infantile.
Le somnambulisme de l’adulte
Entre 10 et 20% des adultes seraient sujets au somnambulisme, avec des écarts nets dans certains pays (40% en Suède). Chez l’adulte, le somnambulisme peut avoir des causes psychologiques (notamment en période de stress), psychiques, ou être liée à la consommation d’alcool. Des prédispositions génétiques ont récemment été envisagées après des études menées par l’hôpital universitaire de Berne. Un gène spécifique aux somnambules vient d’être découvert. Un chercheur a réalisé une étude portant sur 74 personnes atteintes de somnambulisme. Il a découvert que 50% d’entre elles possédait un gène appelé HLA DQB1*05 qui fait parti des gènes impliqués dans la régulation du système immunitaire : ces gènes permettent de faire la distinction entre les cellules de l’organisme et celles qui lui sont étrangères. Mais il reste encore à définir la relation exacte entre le somnambulisme et ce gène. En conséquence on peut ce demander si le somnambulisme peut être une maladie auto-immune c’est-à-dire provoquée par un mauvais fonctionnement du système de protection de l’organisme….
Le somnambulisme simple : on distingue deux cas comportementaux. Pour le premier, l’enfant ou l’adulte s’assoit sur son lit tout en exécutant des gestes plus ou moins adroits. De temps en temps, il peut se mettre à parler. Dans le deuxième cas, le somnambule se lève et déambule dans l’habitation pour ensuite retourner spontanément dans son lit. Ses yeux sont grands ouverts et son regard est inexpressif. Si on lui parle, il peut répondre, il peut même exécuter des ordres. Mais le somnambule s’irrite très vite et devient grognon. Parfois, il peut réaliser des actes relativement élaborés, éviter des meubles, descendre des escaliers, vider une armoire, fouiller le réfrigérateur, se mettre à manger, faire la vaisselle, ou uriner dans un coin; voir même chez les adultes, conduire un véhicule. Sauf dans cette dernière situation, ce type de somnambulisme n’est pas dangereux et se déroule tout au plus une fois par mois durant 10 minutes. Il tend à disparaître au bout de quelques mois ou à la puberté chez les enfants. Si le somnambule commet des actes dangereux pour lui ou pour son entourage, nous passons au second type de manifestation.
Le somnambulisme à risque : c’est une forme accentuée du somnambulisme simple. En effet, la durée dépasse 10 minutes, la fréquence est de 2 à 3 fois par semaine et les actes du somnambule sont dangereux. Par exemple il peut utiliser un couteau, faire des gestes violents qui peuvent le blesser lui et son entourage ou bien, par sa maladresse, il peut tomber (d’une mezzanine ou des escaliers). Lors de ce type de somnambulisme, les risques de défénestrations sont courants.
Le troisième type est nommé le somnambulisme de » terreur « . Les premières crises de somnambulisme de terreur peuvent apparaître avant 6 ans ou après 10 ans et peuvent persister après la puberté. Les crises débutent tôt après l’endormissement. Lorsque l’on tente de calmer, retenir, réveiller ou consoler le somnambule, celui-ci peut devenir encore plus agressif. Chez l’enfant, le risque de défenestration est deux fois plus important lors de cette crise. Le somnambule est dans un état neurovégétatif (inconscient), il est dans un état de terreur, il court et déambule violemment en poussant des hurlements. Sa fréquence cardiaque, sa respiration et son activité musculaire augmentent. Son cortex cérébral* reste probablement en sommeil lent profond ce qui explique l’amnésie lors du réveil. Ce genre de somnambulisme peut se reproduire plusieurs fois par nuits et cause des problèmes psychologiques au somnambule.
Dans un cadre comportemental:
- Le stress ou les tensions nerveuses: produites chez l’enfant par des histoires familiales ou des évènements traumatisants, et chez les adultes par la vie actives des adultes.
- Le manque de sommeil : si l’enfant comme si l’adulte, se couche tard, ses rythmes du sommeil sont bouleversés. Une privation du sommeil peut augmenter la fréquence et la complexité du somnambulisme . En effet , il y a plus de cas de somnambulisme lors d’une nuit de récupération que lors d’une nuit normale ( sur 15 patients 100% on eu une crise lors d’une nuit de récupération contre 60% lors d’une nuit normale ).
- Les migraines (en particulier chez les femmes)
Dans un cadre environnemental:
- Une maladie: il existe un lien étroit entre la fièvre et le somnambulisme. Il a été, aussi, associé à la Maladie de Gilles de la Tourette. Certaines formes de l’épilepsie ou d’énurésie peuvent également entraîner le somnambulisme.
- La puberté: le trouble chez l’enfant peut être lié aux facteurs de croissance comme la puberté.
Dans un cadre toxique:
- La prise de certains médicaments de la classe des psychotropes est consommé par moins de 10% des jeunes actuels. Il y a moins de consommation que chez les adultes. Les adultes utilisent plus de médicaments contre le stress(particulièrement le lithium), et pour dormir.
- L’alcool et les drogues.
Certains patients souffrent de troubles psychologiques liés à leur propre perception du somnambulisme, qui reste assez peu étudié et est mal connu du grand public. Les comportements violents peuvent également avoir un impact psychologique important notamment sur le couple.
Une croyance populaire veut qu’il ne faut pas réveiller un somnambule. Dans les faits il n’y a aucun danger à le réveiller. Il peut seulement être désorienté ou embarrassé. En tout cas, mieux vaut le réveiller que de lui permettre de se mettre en danger.
En tant que maladie, le somnambulisme peut être traité :
- Dans les cas simples, il faut chercher à supprimer les causes tel que le manque de sommeil, le stress et éviter les exercices violents en soirée. Ils doivent également dormir à des heures régulières et adapter l’environnement : dormir au rez-de-chaussée ou verrouiller la porte de sa chambre.
- Si les crises se manifestent trop souvent, les médecins peuvent prescrire des benzodiazépines, du diazepam ou du lorazepam, qui suppriment les crises en éliminant les phases du sommeil profond. Mais l’efficacité de ces benzodiazépines se limitent au début du traitement, il s’en suit un phénomène d’échappement.
- On peut aussi utiliser l’hypnose avec un thérapeute: les résultats semblent efficaces. Si des troubles psychologiques surviennent après les crises, il est préférable de consulter un médecin psychiatre.
Le principe de la responsabilité pénale et civile nécessite de déterminer le dégré de conscience, de liberté ou d’intention.
Même si le somnambulisme n’est pas considéré comme une maladie mentale, la justice peut se référer aux cas d’infractions commises en état de conscience altérée (ivresse, drogue, folie, hypnose, …)
Chemise
- Rêve érotique, inquiet et offensif
- peut également signifier la peur ou le désir d’être montré à nu.
- De soie que l’on porte : mauvaise situation financière.
- Sale : désordre.
- Déchirée : protection contre des témoignages d’hostilité.
- Que l’on ôte : déception amère.
- Que l’on lave : mauvaise société.
- Que l’on repasse : on se fera aimer.
- Voir beaucoup de chemises : prochain mariage ou de nouvelles amitiés.
- Que l’on change : on changera de partenaire en amour.
- Courir en chemise : bonheur en amour.
- Symbole des causalités éminemment agissantes.
- Donc interroger la couleur de la chemise vue ou portée en songe.
- Blanche, propre: excellent
- tachée, déchirée: mauvais.
- Trop courte: luxure.
- S’envelopper dans de vieux morceaux de chemises: mort
- en voir de vieilles, toutes en loques: misère.
- En réparer: présage d’une condition modeste mais heureuse
- en changer: visite amicale
- laver son linge: pardon d’injures ou de fautes.
- La tradition veut que celui qui rêve se promener en chemise reçoive un affront.
Main
- La main est symbole de force et d’habileté
- la main gauche est féminine, la main droite est masculine.
- Que l’on contemple : chagrin et souffrance.
- Que l’on se brûle : on a des envieux.
- Que l’on serre à quelqu’un : on conclura une amitié fidèle.
- Que l’on voit sans doigts : graves pertes et fortes influences adverses.
- Petites : infidélité d’amis ou de serviteurs.
- Avoir des p
oils au mains : malheur.
- Voir beaucoup de mains : honneurs et fortune.
- Se laver les mains : prestige.
- Voir une main blessée : on aura un désavantage.
- Avoir une main enflée : discordes.
- Tenir les mains devant les yeux : il faudra se montrer indulgent à l’égard de quelqu’un.
- Avoir des mains sales : privautés avec une mauvaise fille.
- Voir ou avoir une main coupée ou desséchée : infidélité du meilleur ami.
- Avoir une main belle et forte : on conclura une bonne affaire.
- Les mains symbolisent vos moyens d’action.
- Grandes, fortes, subtiles: progrès matériel et moral
- Grêles, petites, gauches: insatisfaction, impuissance, imprudence.
- Les mains blanches, propres, soignées: besogne aisée, succès facile
- Les mains noires et dures: travail difficile et réussite pénible.
- Voir aussi: bras.
Vêtement
- Selon la qualité du vêtement, on discerne combien une situation meilleure est désirée
- on comprend aussi bien des choses.
- D’or que l’on porte : on recevra une promesse belle, mais qui manque de sérieux.
- Brodé d’or que l’on voit : chance et bonheur.
- Que l’on a : gain et bonnes affaires.
- Que l’on porte : des jours tristes et un travail pénible.
- Beau que l’on a : on parviendra à une bonne situation.
- Précieux que l’on met : chance.
- Blanc : on sera reçu d’une manière agréable.
- Bleu : joie.
- Rouge : on deviendra orgueilleux.
- Jaune : hypocrisie.
- Vert : un espoir se réalisera.
- Noir : deuil.
- Laver un vêtement : on fera des économies.
- Le déchirer : on est porté à des accès de colère.
Pied
- S’il n’y a pas de sens sexuel, plan pour la poursuite de l’existence, dans la mesure où le pied fait des mouvements en avant.
- Avoir un grand pied : on deviendra propriétaire d’immeubles.
- Un pied mince :on a une route fatigante à parcourir.
- un pied malade : on sera retenu par une affaire.
- Un pied sale : maladie.
- Difforme : signe de mépris.
- Être mordu au pied : jalousie.
- Avoir un pied coupé : honte et raillerie.
- Un gros pied : maladie.
- Laver les pieds : indique une maison propre.
- Les baiser : repentir alliant de pair avec une humiliation.
- Se casser le pied : accident.