Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Mort

  • Un changement important semble se dessiner.
  • Voir un proche décédé, peu être un symbole de maladie.
  • Le pleurer, maladie importante.
  • La mort indique généralement une page qui se tourne.
  • Dans le même état d’esprit peut indiquer une révélation importante sur le plan sentimental.
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La paralysie du sommeil

Emprisonné par votre corps à la fois en train de dormir et dans une certaine conscience.

Tout sur le phénomène de la paralysie du sommeil.

 

 

Ce symptôme semble toucher environs 10% de la population, souvent associé aux cauchemars, la paralysie du sommeil est très mystérieuse et pause encore beaucoup de questions, aujourd’hui nous allons tenter de vous expliquer ce phénomène qui reste méconnu mais qui n’est pas dangereux.

 

La paralysie du sommeil se manifeste par une incapacité de bouger, un sentiment d’oppression et bien évidement d’une sensation de paralysie. Les personnes qui se retrouve dans un cas de paralysie du sommeil indique qu’elle semble se produire au moment de l’endormissement ou au moment du réveil.

 

Dan DENIS, étudiant en doctorat de psychologie nous explique qu’il existe 3 types de paralysie :

 

  1. Un sentiment d’intrusion, le rêveur ou plutôt la personne qui a ce sentiment ressent une présence néfaste dans la pièces, il peut arriver à l’entendre et la voir, ce phénomène peut donc expliquer l’impression de voir des fantôme ou encore d’être enlever par des aliens.
  2. Une seconde forme se traduit par l’impression d’avoir une pression au niveau de la poitrine entraînant une impression de suffoquer. Cette seconde forme peut être liée à la première.
  3. La troisième et dernière forme d’hallucination du sommeil, se traduit par une expérience de mouvement illusoire comme, l’impression par exemple de flotter au dessus de son lit, ou encore l’impression de tomber dans le vide.

 

Fritz Schwimbeck - My Dream, My Bad Dream. 1915Fritz Schwimbeck – My Dream, My Bad Dream. 1915

 

La paralysie du sommeil survient plus fréquemment chez les personnes souffrant de troubles mentaux ou le sommeil comme la narcolepsie , la panique ou trouble de stress post-traumatique. Cependant, les paralysie du sommeil ou hallucination du sommeil touche également des individus ne présentant ces pathologies. Journée d’étude Denis a tenté de comprendre les facteurs qui peuvent causer cette condition : le stress , l’anxiété et la qualité du sommeil peut entraîner une paralysie dans un rêve.

 

Gerard Van der Leun Gerard Van der Leun

 

L’étude du sommeil paradoxal, ou le sommeil REM, permet de mieux comprendre le syndrome de paralysie du sommeil. Il s’agit d’étudier le dernier stade de notre cycle de sommeil, c’est lors de cette phase que nous pouvons enregistrer nos rêve et donc nous en rappeler le lendemain. Durant cette phase de sommeil (le sommeil paradoxal) les muscles sont dans un état de paralysie totale, une sorte de verrou de sécurité qui nous permet de reproduire nos actions de nos rêve dans notre lit.

Des chercheurs japonais on fait des expériences sur quelques personnes en les privant de sommeil paradoxal, afin de mieux comprendre si la paralysie du sommeil est liée au sommeil paradoxal. Après un certain temps, les individus entraient directement en période de sommeil REM, une étape également appelée sommeil SOREM, ces personnes ne passaient pas par les quatre autres stades. Ces personnes étaient beaucoup plus assujetties aux paralysies du sommeil, ce que confirme également d’autres études qui expliquent qu’un sommeil perturbé accentue les risques d’hallucination du sommeil ou de paralysie du sommeil.

Nous pouvons donc confirmer que la paralysie du sommeil se produit lors du sommeil paradoxal, l’esprit se réveil mais le corps reste en sommeil, une sorte de désynchronisation dans cerveau. Il semble également que lorsqu’on subit une paralysie du sommeil le niveau de conscience est unique et ne correspond pas ni une activité éveillée ni à une activé de sommeil paradoxal.

 

John Henry Fuseli - The Nightmare.JPG
« John Henry Fuseli – The Nightmare » par Johann Heinrich Füssliwartburg.edu
image. Sous licence Domaine public via Wikimedia Commons.

 

Aujourd’hui, il n’existe aucun traitement pour se soigner des paralysies du sommeil mais il existe néanmoins des méthodes qui permettent de prévenir ce phénomène; Améliorer le confort du dormeur, changer de position, veiller d’avoir une température correcte dans la chambre (environs 18°). Il a également été démontrer que lorsque la personne subit de grand changement dans sa vie, les paralysies ou hallucinations du sommeil ont un terrain plus propices.

Il faut savoir qu’un sommeil régulier permet également d’éviter les paralysies, on rappel également que c’est un état temporaire et sans danger ! Certes c’est inquiétant mais inoffensif.

 

Source : Wikipediasoocurious

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Faire l’amour

On peut interpréter le rêve de faire l’amour de la façon suivante :

  • A ne pas prendre au premier degré.
  • Si l’acte se passe à huit clos, peut indiquer des pulsions refoulées, besoin de s’épanouir.
  • En public, indique dans certain cas une grande ouverture d’esprit.
  • Voir des inconnus pratiquer, des questions existent.
  • Vous pouvez aussi ressentir un sentiment d’épanouissement dans votre vie amoureuse.
  • Si vous faites l’amour avec un/une inconnue : besoin de s’affranchir de certain problème.
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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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Cataclysme

  • Même symbolisme que le seizième arcane du tarot: involution, descente de l’esprit dans la matière, chute de l’âme dans les pièges d’en bas.
  • Le dormeur appréciera, d’après les circonstances de son rêve et les émotions qu’il y ressentira, si ce rêve le concerne ou non
  • dans le premier cas: avertissement lui est donné qu’il se fourvoie moralement
  • dans le second c’est l’annonce d’un retournement du sort: le bras de la justice immanente va glorifier les bons en frappant les pervers.
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Comment vous endormir en 8 méthodes

Vous avez des soucis pour rejoindre Morphée et vous endormir ?

Meilleur sommeil

Vous vous tournez et retournez dans votre lit ? l’heure affichée sur votre réveil vous rappel que demain vous vous levez tôt mais Morphée refuse de vous accueillir ?

 

Le stress, la fatigue et oui parfois même en étant couvert d’une extrême fatigue s’endormir se fait très difficile. Le point clef principale c’est de se vider la tête, de ne penser à rien afin de pouvoir sombrer. Oui vous me direz, il est drôle lui, c’est bien ce que j’essaie de faire que de ne pas penser à mes problèmes de la journée ou à l’excitation d’une bonne nouvelle… Il n’y pas de mystère un esprit encombré aura plus de mal à trouver le sommeil.

 

Heureusement des scientifiques se sont penchés sur la question et je vais essayer ici de vous donner 8 techniques pour vous endormir plus facilement, bien qu’une n’est pas mentionner ici mais compter les moutons peu parfois aider certaines personnes à  s’endormir 🙂

 

 

Dans cette série d’articles nous vous donnerons des méthodes pour mieux, ainsi que plus rapidement, vous endormir et donc profiter d’un sommeil plus long et de meilleurs qualité.

 

vos-reves.com en plus d’être votre bible des rêves vous permet d’améliorer votre sommeil et ainsi profiter pleinement de votre vie éveillée.

 

Bonne nuit 😉 et faites de beaux rêves !

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Concentration sur la respiration ou le 4-7-8

La concentration sur votre respiration ou le 4-7-8

L’idée provient d’un médecin qui a été formé à Harvard, Andrew Weil, sa technique dite du 4-7-8 est aussi simple qu’efficace.

Voici les différentes étapes:

  1. Faire toucher légèrement votre langue avec la crête de tissu de vos dents supérieures.
  2. Expirer complétement.
  3. Respirez par le nez tranquillement pour un nombre de 4
  4. Retenez votre souffle pour un nombre de 7
  5. Souffler de l’air par la bouche pendant un nombre de 8, faisant un bruit ‘whoosh’
  6. Répétez les étapes 3 à 5

Vous devriez vous endormir, en effet cette méthode vous permet de vous concentrer sur votre respiration plutôt que sur vos problèmes de la journée 🙂

 

Comptage régulier contribue également à détourner l’esprit des questions de l’heure qu’il peut porter au lit.

 

Le docteur est tellement convaincu par sa méthode qu’il vous en parle en vidéo :

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Dormir comme un yogi

Dans le yoga, une pratique connue sous le yoga nidra est conçu pour vous tirer vers le bas dans l’état profond de relaxation tout en restant pleinement conscient.

Cependant, comme la technique vous oblige à mentir complètement immobile tout en calmant votre esprit et détendre vos muscles, il est facile à adapter pour l’insomniaque qui veut endormir.

Fondamentalement, le yoga nidra implique systématiquement la commutation votre attention autour des parties de votre corps. Vous commencez au bout de vos doigts et voyager lentement votre bras, dans votre torse, puis vers le bas d’un côté de votre corps dans vos orteils, avant de répéter le processus sur l’autre moitié.

Toute personne qui est encore éveillé à la fin peut alors utiliser leurs exhalaisons compte à rebours à partir de 40 (inspirez, expirez, 40, inspirez, expirez, 39, inspirez, expirez, 38, etc.).

Il y a beaucoup de tutoriels guidées sur YouTube pour aider les nouveaux arrivants à obtenir l’idée.

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Les étapes

Une nuit de sommeil est constituée d’un certain nombre de cycles qui se succèdent les uns aux autres. Chacun d’entre eux dure environ quatre-vingt-dix minutes, et notre sommeil est ainsi découpé en périodes égales d’à peu près une heure et demie. Ces périodes elles-mêmes sont divisées en plusieurs phases.

 


 

Le stade du sommeil léger ou stade 1.

 

à l’heure habituelle où vous vous couchez, le cerveau sécrète une hormone, la sérotonine, qui provoque somnolence, bâillements, picotements des yeux. Si vous vous couchez à ce moment-là, vous vous endormez facilement. Ce stade est très court et caractérisé par de petits spasmes brusques et de petits tressaillements musculaires, tandis que le pouls et la respiration se ralentissent, deviennent très réguliers et que la température corporelle s’abaisse. à ce moment, nous ne rêvons pas encore, seules quelques images nous traversent l’esprit, et le moindre bruit nous réveille.

 


 

Du sommeil léger au sommeil lent profond, le stade 2:

 

Beaucoup plus long, représente une étape transitoire. L’activité cérébrale se réduit, la diminution des sensations est nette, mais un bruit léger reste susceptible de provoquer le réveil.

 


 

Le sommeil lent profond véritablement installé ou stade 3:

Durant cette phase, vous êtes presque totalement isolé du monde extérieur, et il est difficile de vous réveiller. Les muscles sont totalement relâchés, la température est basse et la respiration très lente et régulière. C’est dans cette période que peuvent survenir des troubles du sommeil comme le somnambulisme.

 


 

Le  » sommeil paradoxal « , ou stade 4, est la phase la plus étonnante :

Le corps paraît totalement détendu et les muscles relâchés comme au cours du sommeil lent profond, mais, en même temps, l’activité cérébrale est très intense. Sous les paupières, les yeux sont animés de mouvements très rapides, une érection se produit souvent chez l’homme et le clitoris de la femme augmente de volume, le pouls et la respiration sont irréguliers.Cette période de sommeil paradoxal est celle où l’on rêve de façon intense. Elle représente en moyenne 20% du temps total de sommeil pour une nuit normale, mais sa durée s’allonge à mesure que la nuit avance. Très courte lors des premiers cycles, elle peut se prolonger plus de vingt minutes lors du cinquième ou sixième. Ce qui signifie que plus nous dormons, plus nous rêvons, et inversement.

Lorsqu’ils sont réveillés au cours de cette période, la plupart des individus peuvent décrire très facilement leurs rêves ou leurs cauchemars, en évoquant des détails précis.

Cependant, le sommeil joue sans doute un rôle positif dans la mémorisation et l’assimilation des connaissances. Ainsi, certaines études ont montré que lorsque l’on fait apprendre des mots, en début de journée à un groupe d’individus, et juste avant de dormir à un autre, on s’aperçoit que c’est le second groupe qui s’en souvient le mieux le lendemain. Il faut donc bien admettre que le sommeil est un facteur essentiel d’intégration des connaissances, dans la mesure où un bon sommeil combat le stress, qui influe sur la mémorisation.

Malheureusement, cette perspective a été abandonnée, notamment parce que la masse d’information ainsi diffusée ne pouvait être réellement retenue par l’élève totalement passif, mais aussi parce qu’il apparaissait très difficile de faire co ncider précisément le moment de diffusion des informations avec le temps exact des phases de sommeil paradoxal.

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