- laisser un objet sur la table de nuit: vous voulez toujours tout avoir à votre disposition.
- Voir une table de nuit: vous ne quitterez pas votre maison.
Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :
Chemise De Nuit
- Érotique, mais aussi symbole du caractère de la personne, selon l’état de la chemise.
Gardien De Nuit
- Manque d’assurance dans le comportement.
- Que l’on voit ou avec lequel on a des relations : de l’intérieur ou de l’extérieur, un danger menace la paix au foyer.
- Que l’on est : querelle au foyer.
Vase De Nuit
- On s’arrangera de manière à vivre commodément.
Nuit
- Symbole des dangers de l’inconscient
- mise en garde intérieure.
- Sombre : des temps troubles et difficiles en perspective.
- Sombre dans laquelle on est en route : un malheur menace.
- L’émotion agréable ou pénible éprouvée durant ce rêve indique sécurité pour vos secrets, dans le premier cas, péril imprévu dans le deuxième.
- Il faut tenir compte aussi du ciel, des étoiles ou de la lune qui s’y peuvent observer et des choses vues à leur clarté.
Boîte De Nuit
- Dans laquelle on se trouve : on tombera en mauvaise compagnie, dépensera son argent pour des choses inutiles ou de moindre valeur, ou succombera à une tentation.
Bonnet De Nuit
- Que l’on voit porté par des tiers : mise en garde contre l’infidélité d’une personne proche.
- Que l’on met ou que l’on porte : on manquera ou gâchera sa chance.
Bonnet De Nuit (homme)
- Que l’on voit ou que l’on porte : c’est la femme qui a le dernier mot.
Le somnambulisme
Somnambulisme
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Le somnambulisme, qui signifie en latin marcher en dormant, est une pathologie du sommeil d’origine neurologique.
Il se traduit par un comportement moteur survenant lors d’un éveil incomplet en sommeil lent profond. Généralement limité à des déambulations dans le lieu d’habitation, il peut toutefois conduire à des actes plus dangereux pour le sujet (sortie, défenestration) ou pour d’autres individus (conduite d’un véhicule, comportements violents, voire homicide).
Ils semblent être éveillés, et ont les yeux ouverts. Ils sont capables de répondre à des ordres ou à des questions par oui ou non. Ils semblent toutefois ennuyés par les questions et ils s’irritent si l’interrogatoire est trop long. Lorsqu’on les réveille, ils sont confus et mettent un peu de temps avant de reprendre leurs esprits. Près du tiers des somnambules réagissent de façon agressive. La personne n’a aucun souvenir de ce qu’elle a fait, pas même de s’être levée pendant la nuit. La plupart du temps les épisodes sont courts (quelques minutes et parfois jusqu’à 30min).
Le somnambulisme survient généralement durant les phases 3 et 4 du sommeil, ou sommeil profond. Cette phase correspond au premier tiers du cycle du sommeil (pendant les deux premières heures suivant l’endormissement).
Les somnambules ont une régulation anormale des ondes courtes (observables sur un encéphalogramme). Cette régulation est liée au système thalamo-cortical, qui engendre une paralysie musculaire naturelle durant le sommeil.
Ainsi, des séries d’événements moteurs complexes peuvent intervenir sans que le sujet soit conscient.
Le somnambulisme n’est pas dangereux en tant que tel, mais le mouvement sans connaissance consciente peut entraîner des dangers.
Le somnambulisme de l’enfant
Le somnambulisme s’observe le plus souvent chez les enfants, surtout les garçons entre 7 et 12 ans. Ces accès de somnambulisme disparaissent en général à la puberté.
Aux phases ambulatoires les plus courantes s’ajoutent parfois des phases où l’enfant urine dans un lieu innaproprié, utilise des mots obscènes absents de son répertoire courant. La prévention de chutes dangereuses reste toutefois l’aspect le plus important du somnambulisme infantile.
Le somnambulisme de l’adulte
Entre 10 et 20% des adultes seraient sujets au somnambulisme, avec des écarts nets dans certains pays (40% en Suède). Chez l’adulte, le somnambulisme peut avoir des causes psychologiques (notamment en période de stress), psychiques, ou être liée à la consommation d’alcool. Des prédispositions génétiques ont récemment été envisagées après des études menées par l’hôpital universitaire de Berne. Un gène spécifique aux somnambules vient d’être découvert. Un chercheur a réalisé une étude portant sur 74 personnes atteintes de somnambulisme. Il a découvert que 50% d’entre elles possédait un gène appelé HLA DQB1*05 qui fait parti des gènes impliqués dans la régulation du système immunitaire : ces gènes permettent de faire la distinction entre les cellules de l’organisme et celles qui lui sont étrangères. Mais il reste encore à définir la relation exacte entre le somnambulisme et ce gène. En conséquence on peut ce demander si le somnambulisme peut être une maladie auto-immune c’est-à-dire provoquée par un mauvais fonctionnement du système de protection de l’organisme….
Le somnambulisme simple : on distingue deux cas comportementaux. Pour le premier, l’enfant ou l’adulte s’assoit sur son lit tout en exécutant des gestes plus ou moins adroits. De temps en temps, il peut se mettre à parler. Dans le deuxième cas, le somnambule se lève et déambule dans l’habitation pour ensuite retourner spontanément dans son lit. Ses yeux sont grands ouverts et son regard est inexpressif. Si on lui parle, il peut répondre, il peut même exécuter des ordres. Mais le somnambule s’irrite très vite et devient grognon. Parfois, il peut réaliser des actes relativement élaborés, éviter des meubles, descendre des escaliers, vider une armoire, fouiller le réfrigérateur, se mettre à manger, faire la vaisselle, ou uriner dans un coin; voir même chez les adultes, conduire un véhicule. Sauf dans cette dernière situation, ce type de somnambulisme n’est pas dangereux et se déroule tout au plus une fois par mois durant 10 minutes. Il tend à disparaître au bout de quelques mois ou à la puberté chez les enfants. Si le somnambule commet des actes dangereux pour lui ou pour son entourage, nous passons au second type de manifestation.
Le somnambulisme à risque : c’est une forme accentuée du somnambulisme simple. En effet, la durée dépasse 10 minutes, la fréquence est de 2 à 3 fois par semaine et les actes du somnambule sont dangereux. Par exemple il peut utiliser un couteau, faire des gestes violents qui peuvent le blesser lui et son entourage ou bien, par sa maladresse, il peut tomber (d’une mezzanine ou des escaliers). Lors de ce type de somnambulisme, les risques de défénestrations sont courants.
Le troisième type est nommé le somnambulisme de » terreur « . Les premières crises de somnambulisme de terreur peuvent apparaître avant 6 ans ou après 10 ans et peuvent persister après la puberté. Les crises débutent tôt après l’endormissement. Lorsque l’on tente de calmer, retenir, réveiller ou consoler le somnambule, celui-ci peut devenir encore plus agressif. Chez l’enfant, le risque de défenestration est deux fois plus important lors de cette crise. Le somnambule est dans un état neurovégétatif (inconscient), il est dans un état de terreur, il court et déambule violemment en poussant des hurlements. Sa fréquence cardiaque, sa respiration et son activité musculaire augmentent. Son cortex cérébral* reste probablement en sommeil lent profond ce qui explique l’amnésie lors du réveil. Ce genre de somnambulisme peut se reproduire plusieurs fois par nuits et cause des problèmes psychologiques au somnambule.
Dans un cadre comportemental:
- Le stress ou les tensions nerveuses: produites chez l’enfant par des histoires familiales ou des évènements traumatisants, et chez les adultes par la vie actives des adultes.
- Le manque de sommeil : si l’enfant comme si l’adulte, se couche tard, ses rythmes du sommeil sont bouleversés. Une privation du sommeil peut augmenter la fréquence et la complexité du somnambulisme . En effet , il y a plus de cas de somnambulisme lors d’une nuit de récupération que lors d’une nuit normale ( sur 15 patients 100% on eu une crise lors d’une nuit de récupération contre 60% lors d’une nuit normale ).
- Les migraines (en particulier chez les femmes)
Dans un cadre environnemental:
- Une maladie: il existe un lien étroit entre la fièvre et le somnambulisme. Il a été, aussi, associé à la Maladie de Gilles de la Tourette. Certaines formes de l’épilepsie ou d’énurésie peuvent également entraîner le somnambulisme.
- La puberté: le trouble chez l’enfant peut être lié aux facteurs de croissance comme la puberté.
Dans un cadre toxique:
- La prise de certains médicaments de la classe des psychotropes est consommé par moins de 10% des jeunes actuels. Il y a moins de consommation que chez les adultes. Les adultes utilisent plus de médicaments contre le stress(particulièrement le lithium), et pour dormir.
- L’alcool et les drogues.
Certains patients souffrent de troubles psychologiques liés à leur propre perception du somnambulisme, qui reste assez peu étudié et est mal connu du grand public. Les comportements violents peuvent également avoir un impact psychologique important notamment sur le couple.
Une croyance populaire veut qu’il ne faut pas réveiller un somnambule. Dans les faits il n’y a aucun danger à le réveiller. Il peut seulement être désorienté ou embarrassé. En tout cas, mieux vaut le réveiller que de lui permettre de se mettre en danger.
En tant que maladie, le somnambulisme peut être traité :
- Dans les cas simples, il faut chercher à supprimer les causes tel que le manque de sommeil, le stress et éviter les exercices violents en soirée. Ils doivent également dormir à des heures régulières et adapter l’environnement : dormir au rez-de-chaussée ou verrouiller la porte de sa chambre.
- Si les crises se manifestent trop souvent, les médecins peuvent prescrire des benzodiazépines, du diazepam ou du lorazepam, qui suppriment les crises en éliminant les phases du sommeil profond. Mais l’efficacité de ces benzodiazépines se limitent au début du traitement, il s’en suit un phénomène d’échappement.
- On peut aussi utiliser l’hypnose avec un thérapeute: les résultats semblent efficaces. Si des troubles psychologiques surviennent après les crises, il est préférable de consulter un médecin psychiatre.
Le principe de la responsabilité pénale et civile nécessite de déterminer le dégré de conscience, de liberté ou d’intention.
Même si le somnambulisme n’est pas considéré comme une maladie mentale, la justice peut se référer aux cas d’infractions commises en état de conscience altérée (ivresse, drogue, folie, hypnose, …)
Érotique
Source:doctissimo
Sexsomnie : un somnambulisme classé X
- Accusé(e) par votre partenaire d’avoir des intentions coquines en plein sommeil, vous ne vous souvenez de rien A moins d’avoir trop abusé de substances illicites, peut-être souffrez-vous de sexsomnie. Un somnambulisme sexuel moins exceptionnel qu’il n’y paraît
Vos bas instincts se réveillent alors que vous dormez encore ? Moins avouables que les rêves érotiques, la sexsomnie transforme les bras de Morphée en étreintes plus concrètes Zoom sur un trouble du sommeil très particulier.
Dormez comme vous aimez !
Depuis une vingtaine d’années, certains psychologues ont publié des articles souvent confidentiels sur un « comportement sexuel durant le sommeil », un « sexe dormant : une variante du somnambulisme », des « masturbations pendant le sommeil » Mais deux récentes études portant chacune sur 11 cas de personnes attestent d’une trouble du sommeil d’un nouveau genre, baptisé sexsomnie.
Ce comportement se distingue du somnambulisme par :
- Le plus souvent, la présence d’une excitation visible : érection, éjaculation, lubrification vaginale, rythme cardiaque élevé, sueur
- La focalisation des gestes autour de la sphère génitale
- Une motricité réduite, pas de marche en dehors du lit Pas question donc d’espérer faire avaler un égarement nocturne à votre voisine de palier
Par rapport au somnambulisme, « l’éveil automatique est plus proéminent, les activités motrices sont relativement restreintes et spécifiques, et une certaine forme de conscience onirique est souvent présente » précisent les auteurs des études. Parmi les cas rapportés, on note une fréquence importante de comportements sexuels atypiques (paraphilies). Mais les psychologues supposent que ces comportements ont moins de chances d’être rapportés, lorsqu’ils restent « dans la norme sociale », particulièrement si le partenaire est une personne consentante.
Des histoires à dormir debout
Non, les somnambules ne déambulent pas uniquement les bras levés devant eux en claudiquant maladroitement. Certains peuvent conduire un véhicule, manger ou même commettre un assassinat. Mais qu’ils soient capables d’avoir un comportement sexuel restait surprenant ! Et pourtant quelques cas sur le sujet laissent pantois
- Une jeune femme de 26 ans jette brutalement ces vêtements pendant la nuit et se masturbe violemment, poussant des gémissements et des cris évocateurs. Lorsque son partenaire la réveille, elle nie tout. Retombée dans les bras de Morphée, elle se « reprend en main » deux ou trois fois dans la nuit. Un égoïsme de plus en plus mal vécu par son conjoint
- Somnambule, un officier de police de 37 ans adopte un comportement sexuel pendant le sommeil au moins une fois par mois. Selon sa femme, l’homme n’a pas le même comportement sexuel lors de ces états de demi-sommeil « plus agressifs », « plus amoureux », « sans possibilité de l’arrêter »
- Un autre officier de police (une population qui décidément, ne dort que d’un oeil ) se révèle un tout autre amant pendant son sommeil : plus amoureux, plus attentionné, plus orienté vers la satisfaction de sa partenaire
- Un jeune homme de 27 ans se réveille régulièrement avec une éjaculation pendant la nuit depuis l’âge de 22 ans. Pour éviter ce comportement, il s’est lié les mains Résultat : deux doigts cassés
- Une jeune femme de 26 ans aguiche pendant son sommeil son conjoint de manière très explicite. En cas de réponse positive de ce dernier, elle se réveille et l’accuse de tenter d’abuser d’elle pendant son sommeil
Moins amusants, certains cas ont débouché sur des notifications à la police lorsque le partenaire de ces ébats inconscient n’était pas consentant. Certaines associations de victimes d’abus sexuels craignent que cette sexsomnie ne soit injustement évoquée en vue d’être disculpé.
Comment vivre sa nuit sans réveiller l’autre ?
Les quelques cas confirmés permettent de déceler certains traits caractéristiques : la consommation d’alcool ou de drogues, un récent traumatisme émotionnel, un manque de sommeil, un stress ou un fatigue importants, la présence d’une apnée du sommeil, des antécédents familiaux
Même si les études ne permettent pas d’avoir une idée du nombre réel de sexsomniaque, les scientifiques estiment que ce phénomène serait moins exceptionnel qu’on ne le croit. Selon eux, de nombreux patients souffrent d’un sentiment d’embarras et de culpabilité qui handicape la déclaration de ces faits. Pourtant des traitements existent.
Si vous pensez souffrir de sexsomnie, consultez un psychiatre. Les différentes prises en charge exposées dans ces études comprennent une psychanalyse, certains anticonvulsifs (benzodiazépines), le traitement des apnées du sommeil lorsqu’elles sont présentes, ainsi que l’éviction des facteurs de risque (alcool, drogues, manque de sommeil, stress ). Alors pour retrouvez des nuits plus calmes, n’hésitez pas à en parler.