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Érotique

Source:doctissimo

Sexsomnie : un somnambulisme classé X

 

  • Accusé(e) par votre partenaire d’avoir des intentions coquines en plein sommeil, vous ne vous souvenez de rien… A moins d’avoir trop abusé de substances illicites, peut-être souffrez-vous de sexsomnie. Un somnambulisme sexuel moins exceptionnel qu’il n’y paraît…

Vos bas instincts se réveillent alors que vous dormez encore ? Moins avouables que les rêves érotiques, la sexsomnie transforme les bras de Morphée en étreintes plus concrètes… Zoom sur un trouble du sommeil très particulier.

Dormez comme vous aimez !

Depuis une vingtaine d’années, certains psychologues ont publié des articles souvent confidentiels sur un « comportement sexuel durant le sommeil », un « sexe dormant : une variante du somnambulisme », des « masturbations pendant le sommeil »… Mais deux récentes études portant chacune sur 11 cas de personnes attestent d’une trouble du sommeil d’un nouveau genre, baptisé sexsomnie.

Ce comportement se distingue du somnambulisme par :

    • Le plus souvent, la présence d’une excitation visible : érection, éjaculation, lubrification vaginale, rythme cardiaque élevé, sueur…

 

    • La focalisation des gestes autour de la sphère génitale

 

    • Une motricité réduite, pas de marche en dehors du lit… Pas question donc d’espérer faire avaler un égarement nocturne à votre voisine de palier…

 

Par rapport au somnambulisme, « l’éveil automatique est plus proéminent, les activités motrices sont relativement restreintes et spécifiques, et une certaine forme de conscience onirique est souvent présente » précisent les auteurs des études. Parmi les cas rapportés, on note une fréquence importante de comportements sexuels atypiques (paraphilies). Mais les psychologues supposent que ces comportements ont moins de chances d’être rapportés, lorsqu’ils restent « dans la norme sociale », particulièrement si le partenaire est une personne consentante.

Des histoires à dormir debout…

Non, les somnambules ne déambulent pas uniquement les bras levés devant eux en claudiquant maladroitement. Certains peuvent conduire un véhicule, manger ou même commettre un assassinat. Mais qu’ils soient capables d’avoir un comportement sexuel restait surprenant ! Et pourtant quelques cas sur le sujet laissent pantois…

    • Une jeune femme de 26 ans jette brutalement ces vêtements pendant la nuit et se masturbe violemment, poussant des gémissements et des cris évocateurs. Lorsque son partenaire la réveille, elle nie tout. Retombée dans les bras de Morphée, elle se « reprend en main » deux ou trois fois dans la nuit. Un égoïsme de plus en plus mal vécu par son conjoint…
    • Somnambule, un officier de police de 37 ans adopte un comportement sexuel pendant le sommeil au moins une fois par mois. Selon sa femme, l’homme n’a pas le même comportement sexuel lors de ces états de demi-sommeil « plus agressifs », « plus amoureux », « sans possibilité de l’arrêter »…

 

    • Un autre officier de police (une population qui décidément, ne dort que d’un oeil…) se révèle un tout autre amant pendant son sommeil : plus amoureux, plus attentionné, plus orienté vers la satisfaction de sa partenaire…

 

    • Un jeune homme de 27 ans se réveille régulièrement avec une éjaculation pendant la nuit depuis l’âge de 22 ans. Pour éviter ce comportement, il s’est lié les mains… Résultat : deux doigts cassés

 

  • Une jeune femme de 26 ans aguiche pendant son sommeil son conjoint de manière très explicite. En cas de réponse positive de ce dernier, elle se réveille et l’accuse de tenter d’abuser d’elle pendant son sommeil…

Moins amusants, certains cas ont débouché sur des notifications à la police lorsque le partenaire de ces ébats inconscient n’était pas consentant. Certaines associations de victimes d’abus sexuels craignent que cette sexsomnie ne soit injustement évoquée en vue d’être disculpé.

Comment vivre sa nuit sans réveiller l’autre ?

Les quelques cas confirmés permettent de déceler certains traits caractéristiques : la consommation d’alcool ou de drogues, un récent traumatisme émotionnel, un manque de sommeil, un stress ou un fatigue importants, la présence d’une apnée du sommeil, des antécédents familiaux…

Même si les études ne permettent pas d’avoir une idée du nombre réel de sexsomniaque, les scientifiques estiment que ce phénomène serait moins exceptionnel qu’on ne le croit. Selon eux, de nombreux patients souffrent d’un sentiment d’embarras et de culpabilité qui handicape la déclaration de ces faits. Pourtant des traitements existent.

Si vous pensez souffrir de sexsomnie, consultez un psychiatre. Les différentes prises en charge exposées dans ces études comprennent une psychanalyse, certains anticonvulsifs (benzodiazépines), le traitement des apnées du sommeil lorsqu’elles sont présentes, ainsi que l’éviction des facteurs de risque (alcool, drogues, manque de sommeil, stress…). Alors pour retrouvez des nuits plus calmes, n’hésitez pas à en parler.

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Le sommeil

Source:www.pratique.fr

Les mécanismes du sommeil

 » Que se passe-t-il lorsque nous dormons ? Comment fonctionne le sommeil ? Comment bien ou mieux dormir ? Faut-il et peut-on moins dormir ? Comment combattre l’insomnie ?  » Autant de questions qui nous passionnent parce qu’elles concernent notre corps durant les heures où nous ne sommes pas conscients de son fonctionnement. De nombreuses heures, puisqu’il s’agit environ d’un tiers de notre vie.

La façon dont nous vivons ces heures, la quantité et, surtout, la qualité de notre sommeil conditionnent très largement notre forme physique et notre équilibre psychique. C’est sans doute en comprenant mieux comment ils se déroulent que nous pourrons tirer le plus de profit de ces moments essentiels et souvent trop négligés de notre vie.

 


 

Un domaine inexploré

 

Des instruments d’étude ont permis de mieux connaître le sommeil dans sa complexité : l’électro-encéphalogramme, qui enregistre l’activité des cellules cérébrales, l’électromyogramme qui mesure l’activité musculaire et l’électro-oculogramme qui étudie les mouvements des globes oculaires. Depuis peu, les chercheurs qui étudient le sommeil recourent également à des systèmes vidéos et à des microphones très sensibles. Ils recueillent la température corporelle ou exploitent les résultats des prises de sang pour analyser les modifications biologiques qui se produisent au cours du sommeil.
Cependant, nous sommes encore largement ignorants des caractéristiques du sommeil. En particulier, nous ne savons pas exactement quel est son rôle dans la physiologie de l’organisme : certes nous avons une sensation de fatigue lorsque nous dormons insuffisamment, mais cela ne perturbe pas profondément les conditions de vie de l’organisme. D’autre part, il existe désormais au moins un médicament qui permet de supprimer le sommeil pendant un à deux jours, sans inconvénient (il est pour l’instant réservé à des indications très limitées).

 


à QUOI SERT LE SOMMEIL ?

 

Nous avons l’habitude de diviser notre vie quotidienne en deux périodes, le temps de veille et le temps de sommeil, ce dernier comptant approximativement huit heures par jour. En fait, il serait plus juste de séparer notre vie en trois périodes, si l’on en croit le professeur Michel Jouvet, grand spécialiste du sommeil : il y a la veille, le sommeil et le rêve. Selon Michel Jouvet, nous vivons trois vies qui ont relativement peu de rapport les unes avec les autres. La plus mystérieuse des trois est le rêve, car nous sommes encore loin de connaître son rôle exact, malgré les multiples  » clefs des songes  » et le rôle assigné au rêve dans des théories comme la psychanalyse : pour Freud, le rêve est la réalisation d’un désir, mais cette interprétation est fortement critiquée par les biologistes comme Michel Jouvet.
Nous ne savons donc pas encore exactement à quoi sert le sommeil, et encore moins le rêve, même si les chercheurs sont certains qu’ils ont un rôle dans la physiologie de l’organisme.

Ce rôle est d’autant plus difficile à découvrir que la privation de sommeil, chez des sujets volontaires, entraîne peu de symptômes. Certes, si nous ne dormons pas pendant plusieurs nuits de suite, nous serons irritables, nous n’aurons pas les idées très claires, nous éprouverons des difficultés d’élocution (parler devient plus difficile) et des troubles de l’équilibre. à la longue, nous tomberons de sommeil. Mais nous ne subirons aucune perturbation physique importante, en dehors d’une légère baisse de température. Et il faut remarquer que si nous restons éveillés, volontairement, nous ne rattrapons jamais le sommeil perdu : si vous passez une nuit blanche, vous dormirez seulement quelques heures de plus le lendemain, ou vous ferez une sieste, mais vous ne dormirez pas seize heures pour rattraper la nuit perdue.

Il est certain de toute façon que le sommeil a une fonction de récupération qui s’effectue principalement pendant la phase de sommeil lent profond.

Lors du sommeil, certaines fonctions biologiques sont à leur maximum, notamment la production d’hormones de croissance pendant l’enfance et l’adolescence. C’est pourquoi le besoin de sommeil à cet âge est important et doit être absolument respecté. On a ainsi montré que l’on pouvait aider les enfants à grandir en les incitant à dormir plus longtemps.

Suite (Les rythmes du sommeil)

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Noblesse

  • Recevoir un titre de noblesse : illusion et déception.
  • Parler avec une personne noble : un objectif que l’on s’était fixé ne sera pas atteint.
  • Folie, mégalomanie, délire des grandeurs pour une personne de votre famille.
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La méditation

Une autre façon de reposer son soi !

 

 

La méditation, pratique au cœur de certaines religion ou autre forme plus récente de spiritualité permet, grâce à une concentration centralisée, de se ‘régénérer’ mais surtout de se reposer intellectuellement.

D’après une étude américaine, il est prouvé que la méditation modifie de façon durale le fonctionnement du cerveau.

 Meditation

Une pratique pas si facile :

 

Malheureusement la méditation n’est pas une chose simple à réaliser, l’environnement et la condition de la personne qui tente cette pratique est très importante.

En effet il faut arriver à trouver un endroit calme, reposant. Les bruits ou interaction extérieures sont des éléments qui empêche la bonne pratique de la méditation.

Il existe plusieurs technique pour obtenir la méditation, certaines pratique comme celles du yoga ou du tantra, certaines rattachées à des religions ou complètement corrélées.

La principale forme de méditation bien connue consiste à trouver un endroit calme, de préférence devant un mur ou dans un pièce sombre puis de trouver une posture confortable et concentrer son attention sur un objet ou une pensée afin de pouvoir faire le vide et élimer toute forme d’interaction visant à « déconcerter » le méditant.

Une petite recherche sur notre ami google vous permettra d’avoir des modes d’emploi à une bonne méditation ce qui n’est pas le but de cet article.

Les biens faits :

 

Si les neurologues savaient depuis longtemps que le cerveau d’un méditant a un fonctionnement sensiblement différent de ce son fonctionnement dans un état normal, l’étude américaine montre que la méditation peut aussi engendrer des modification neuronales plus durables, en gros une personne qui médite modifie son cerveau de façon plus pérenne.

Une méditation régulière permet de devenir moins sensible au stimulations de l’environnement, l’idée c’est que notre méditant sera moins sensible de façon émotionnelle au stimulus extérieur, vers une stabilité émotionnel plus durable.

Et pourquoi parler de ça sur vos-reves.com ?

 

J’y viens, l’idée c’est que le rêve permet de reposer notre conscience en faisant le ménage de notre activité journalière, du coup la méditation serai un complément aux rêve, le fait de pratique un demi par jour de méditation pourrais permettre une meilleurs stabilité émotionnel, mais aussi vous permettre d’avoir une meilleur concentration.

Le rêve permet de faire un reset émotionnel de notre vécu et de notre journée… La méditation est clairement un complément à ce procédé.

Pour conclure,

Un esprit sain dans un corps sain, déjà entre un bon sommeil et une petite méditation l’esprit se porte mieux… pour le corps, je vous propose de faire un peu de yoga qui cumul une pseudo pratique de la méditation ainsi qu’un entretien physique, que demander de plus, d’une pierre 2 coups.

Sur ce bonne méditation et faites de beaux rêves.

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Écouter

  • Si vous songez que vous parlez et qu’on vous écoute, l’attitude des auditeurs annonce celle des gens auxquels vous allez avoir affaire dans les jours qui suivront.
  • Si vous écoutez, en rêve, parler quelqu’un, ce sont les choses dont il vous entretient que vous devez considérer comme significatives de présages.
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