- Que l’on voit ou avec lequel on a des relations : un désir sera réalisé.
- Que l’on est : un désir ne sera pas réalisé.
Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :
Rêver de tomber de le vide
Vous tombez dans le vide dans vos rêves ?
Nous allons vous aider à mieux comprendre ce que signifie ce type de rêves.
Nous distinguerons 3 cas:
- Tomber dans le vide (sans protection).
- Tomber sans prendre de risques.
- Tomber dans l’eau.
Généralement faire le rêve de tomber n’a pas une connotation positive, on pourrait même dire qu’ils mettent en garde le rêveur si toutes fois les rêves peuvent être interprétés comme des prédictions.
Il faut savoir que le rêve résulte du ressenti et le vécu du rêveur, ces sentiments, sensation etc…
Premier cas, tomber dans le vide sachant que l’issue risque d’être fatale au rêveur.
Le rêveur se retrouve projeté dans le vide indépendamment de sa volonté.
Cela semble indiquer que ce dernier a l’impression de ne plus être le maître de sa vie. Que quelque chose ou quelqu’un le pousse dans une direction qu’il ne semble pas approuver.
Si vous n’avez aucune protection semble également indiquer que le rêveur vit mal cette situation mais qu’il garde néanmoins l’espoir d’un retour à la normale.
On peut prendre à titre d’exemple, cela peut être dû à un changement dans la carrière professionnelle qui semble mettre en difficulté le rêveur.
Deuxième cas, tomber sans risques
La personne qui fait ce rêve peut avoir l’impression d’être un peu déstabilisée, voire trop stressés.
Le rêveur semble savoir qu’il sera capable de prendre le dessus sur la situation afin de pouvoir reprendre une vie normale.
On peut prendre ici, comme exemple, un déménagement qui perturbe le rêveur pendant un temps puis la vie reprend son cours normal.
Dernier cas tomber dans l’eau
Dans notre analyse on entend bien sûr une chute de plusieurs mètres qui aura pour terminaison un point d’eau.
Le dernier cas peut être considéré comme un mixte entre le premier et le second et il peut être un mauvais présage. Il est souvent lié à un événement tragique sans retour possible (décès d’un proche ou grave maladie).
Il est possible de faire ce type de rêve en cas de mauvaise nouvelle ou de problèmes financiers.
Le somnambulisme
Somnambulisme
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Le somnambulisme, qui signifie en latin marcher en dormant, est une pathologie du sommeil d’origine neurologique.
Il se traduit par un comportement moteur survenant lors d’un éveil incomplet en sommeil lent profond. Généralement limité à des déambulations dans le lieu d’habitation, il peut toutefois conduire à des actes plus dangereux pour le sujet (sortie, défenestration) ou pour d’autres individus (conduite d’un véhicule, comportements violents, voire homicide).
Ils semblent être éveillés, et ont les yeux ouverts. Ils sont capables de répondre à des ordres ou à des questions par oui ou non. Ils semblent toutefois ennuyés par les questions et ils s’irritent si l’interrogatoire est trop long. Lorsqu’on les réveille, ils sont confus et mettent un peu de temps avant de reprendre leurs esprits. Près du tiers des somnambules réagissent de façon agressive. La personne n’a aucun souvenir de ce qu’elle a fait, pas même de s’être levée pendant la nuit. La plupart du temps les épisodes sont courts (quelques minutes et parfois jusqu’à 30min).
Le somnambulisme survient généralement durant les phases 3 et 4 du sommeil, ou sommeil profond. Cette phase correspond au premier tiers du cycle du sommeil (pendant les deux premières heures suivant l’endormissement).
Les somnambules ont une régulation anormale des ondes courtes (observables sur un encéphalogramme). Cette régulation est liée au système thalamo-cortical, qui engendre une paralysie musculaire naturelle durant le sommeil.
Ainsi, des séries d’événements moteurs complexes peuvent intervenir sans que le sujet soit conscient.
Le somnambulisme n’est pas dangereux en tant que tel, mais le mouvement sans connaissance consciente peut entraîner des dangers.
Le somnambulisme de l’enfant
Le somnambulisme s’observe le plus souvent chez les enfants, surtout les garçons entre 7 et 12 ans. Ces accès de somnambulisme disparaissent en général à la puberté.
Aux phases ambulatoires les plus courantes s’ajoutent parfois des phases où l’enfant urine dans un lieu innaproprié, utilise des mots obscènes absents de son répertoire courant. La prévention de chutes dangereuses reste toutefois l’aspect le plus important du somnambulisme infantile.
Le somnambulisme de l’adulte
Entre 10 et 20% des adultes seraient sujets au somnambulisme, avec des écarts nets dans certains pays (40% en Suède). Chez l’adulte, le somnambulisme peut avoir des causes psychologiques (notamment en période de stress), psychiques, ou être liée à la consommation d’alcool. Des prédispositions génétiques ont récemment été envisagées après des études menées par l’hôpital universitaire de Berne. Un gène spécifique aux somnambules vient d’être découvert. Un chercheur a réalisé une étude portant sur 74 personnes atteintes de somnambulisme. Il a découvert que 50% d’entre elles possédait un gène appelé HLA DQB1*05 qui fait parti des gènes impliqués dans la régulation du système immunitaire : ces gènes permettent de faire la distinction entre les cellules de l’organisme et celles qui lui sont étrangères. Mais il reste encore à définir la relation exacte entre le somnambulisme et ce gène. En conséquence on peut ce demander si le somnambulisme peut être une maladie auto-immune c’est-à-dire provoquée par un mauvais fonctionnement du système de protection de l’organisme….
Le somnambulisme simple : on distingue deux cas comportementaux. Pour le premier, l’enfant ou l’adulte s’assoit sur son lit tout en exécutant des gestes plus ou moins adroits. De temps en temps, il peut se mettre à parler. Dans le deuxième cas, le somnambule se lève et déambule dans l’habitation pour ensuite retourner spontanément dans son lit. Ses yeux sont grands ouverts et son regard est inexpressif. Si on lui parle, il peut répondre, il peut même exécuter des ordres. Mais le somnambule s’irrite très vite et devient grognon. Parfois, il peut réaliser des actes relativement élaborés, éviter des meubles, descendre des escaliers, vider une armoire, fouiller le réfrigérateur, se mettre à manger, faire la vaisselle, ou uriner dans un coin; voir même chez les adultes, conduire un véhicule. Sauf dans cette dernière situation, ce type de somnambulisme n’est pas dangereux et se déroule tout au plus une fois par mois durant 10 minutes. Il tend à disparaître au bout de quelques mois ou à la puberté chez les enfants. Si le somnambule commet des actes dangereux pour lui ou pour son entourage, nous passons au second type de manifestation.
Le somnambulisme à risque : c’est une forme accentuée du somnambulisme simple. En effet, la durée dépasse 10 minutes, la fréquence est de 2 à 3 fois par semaine et les actes du somnambule sont dangereux. Par exemple il peut utiliser un couteau, faire des gestes violents qui peuvent le blesser lui et son entourage ou bien, par sa maladresse, il peut tomber (d’une mezzanine ou des escaliers). Lors de ce type de somnambulisme, les risques de défénestrations sont courants.
Le troisième type est nommé le somnambulisme de » terreur « . Les premières crises de somnambulisme de terreur peuvent apparaître avant 6 ans ou après 10 ans et peuvent persister après la puberté. Les crises débutent tôt après l’endormissement. Lorsque l’on tente de calmer, retenir, réveiller ou consoler le somnambule, celui-ci peut devenir encore plus agressif. Chez l’enfant, le risque de défenestration est deux fois plus important lors de cette crise. Le somnambule est dans un état neurovégétatif (inconscient), il est dans un état de terreur, il court et déambule violemment en poussant des hurlements. Sa fréquence cardiaque, sa respiration et son activité musculaire augmentent. Son cortex cérébral* reste probablement en sommeil lent profond ce qui explique l’amnésie lors du réveil. Ce genre de somnambulisme peut se reproduire plusieurs fois par nuits et cause des problèmes psychologiques au somnambule.
Dans un cadre comportemental:
- Le stress ou les tensions nerveuses: produites chez l’enfant par des histoires familiales ou des évènements traumatisants, et chez les adultes par la vie actives des adultes.
- Le manque de sommeil : si l’enfant comme si l’adulte, se couche tard, ses rythmes du sommeil sont bouleversés. Une privation du sommeil peut augmenter la fréquence et la complexité du somnambulisme . En effet , il y a plus de cas de somnambulisme lors d’une nuit de récupération que lors d’une nuit normale ( sur 15 patients 100% on eu une crise lors d’une nuit de récupération contre 60% lors d’une nuit normale ).
- Les migraines (en particulier chez les femmes)
Dans un cadre environnemental:
- Une maladie: il existe un lien étroit entre la fièvre et le somnambulisme. Il a été, aussi, associé à la Maladie de Gilles de la Tourette. Certaines formes de l’épilepsie ou d’énurésie peuvent également entraîner le somnambulisme.
- La puberté: le trouble chez l’enfant peut être lié aux facteurs de croissance comme la puberté.
Dans un cadre toxique:
- La prise de certains médicaments de la classe des psychotropes est consommé par moins de 10% des jeunes actuels. Il y a moins de consommation que chez les adultes. Les adultes utilisent plus de médicaments contre le stress(particulièrement le lithium), et pour dormir.
- L’alcool et les drogues.
Certains patients souffrent de troubles psychologiques liés à leur propre perception du somnambulisme, qui reste assez peu étudié et est mal connu du grand public. Les comportements violents peuvent également avoir un impact psychologique important notamment sur le couple.
Une croyance populaire veut qu’il ne faut pas réveiller un somnambule. Dans les faits il n’y a aucun danger à le réveiller. Il peut seulement être désorienté ou embarrassé. En tout cas, mieux vaut le réveiller que de lui permettre de se mettre en danger.
En tant que maladie, le somnambulisme peut être traité :
- Dans les cas simples, il faut chercher à supprimer les causes tel que le manque de sommeil, le stress et éviter les exercices violents en soirée. Ils doivent également dormir à des heures régulières et adapter l’environnement : dormir au rez-de-chaussée ou verrouiller la porte de sa chambre.
- Si les crises se manifestent trop souvent, les médecins peuvent prescrire des benzodiazépines, du diazepam ou du lorazepam, qui suppriment les crises en éliminant les phases du sommeil profond. Mais l’efficacité de ces benzodiazépines se limitent au début du traitement, il s’en suit un phénomène d’échappement.
- On peut aussi utiliser l’hypnose avec un thérapeute: les résultats semblent efficaces. Si des troubles psychologiques surviennent après les crises, il est préférable de consulter un médecin psychiatre.
Le principe de la responsabilité pénale et civile nécessite de déterminer le dégré de conscience, de liberté ou d’intention.
Même si le somnambulisme n’est pas considéré comme une maladie mentale, la justice peut se référer aux cas d’infractions commises en état de conscience altérée (ivresse, drogue, folie, hypnose, …)
Le diable et les démons dans les reves
« J’ai rêvé du diable », « Les démons de mes rêve » … Il n’est pas rare de rêver de ce genre de symbole.
Ici, nous allons tenter de vous donner des pistes afin que vous puissiez interpréter vous-même ces symboles.
Dans un premier temps nous étudierons les démons présent dans vos rêves ou cauchemars. Puis nous analyserons la présence du diable dans vos songes.
Les démons:
- Fortement impliqué avec votre vie amoureuse faites alors attention aux personnes à qui vous accordez votre confiance. La trahison de ces dernières est à prévoir.
Généralement les démons tentent de vous mettre en garde face à une situation complexe de votre vie. Un besoin de recul semble se faire ressentir.
- Ensuite comme tout songe il faut mettre en situation ce diable. S’il vous attaque cela semble indiquer des soucis dans votre vie sentimentale.
- S’il vous vient en aide, il peut bien entendu être de votre coté. Cela peut indiquer que vous n’avez pas forcément choisi la meilleure voie. Faites attention à vos choix, car une impression de sécurité semble vous rassurer, mais il vous faut ouvrir les yeux.
- Dans un tout autre domaine, ces êtres peuvent représenter votre création artistique ainsi qu’un besoin de vous ouvrir et d’envisager de nouveaux chemins.
Le diable, Satan …
Ici même si ce symbole est lié à vos amours, il représente davantage un symbole de mise en garde. Les ennuis et les soucis sont à prévoir et vous semblez en être conscient. Il vous faut donc faire des choix rapidement afin d’éviter un drame.
- Les diables ont beaucoup d’importance dans l’existence : ils sont ces êtres surnaturels, bons ou mauvais génies, qui font peur aux enfants et aux adultes, et qui possèdent dans leurs cornes, leurs barbes et leurs fourches des pouvoirs infernaux.
- Comme un mauvais présage signer un pacte avec ce dernier sera vraiment de mauvais augure, même si pour l’instant la situation semble favorable. Il ne faudrait pas baisser votre garde. En effet, les exigences en contrepartie de ce diable ne sont jamais à votre avantage.
En conclusion :
Ce type de songe doit amener de la méfiance en rapport avec une trahison existante ou à venir, et plus particulièrement dans votre vie sentimentale. Vous semblez vulnérable et vos ennemis le savent.
Ongles
- On arrive pas à gérer toutes les situations comme on le souhaiterais, vous n’avez pas tous les éléments pour prendre la meilleur décision.
- Généralement lié au conflit ou à des discutions animées.
- Que l’on voit : Votre situation financière semble être sur la bonne voie.
- Avoir des ongles d’une longueur exagérée ou les voir croître : on va s’engager dans des spéculations incertaines.
- Que l’on coupe ou que l’on arrache : pertes financières.
- Que l’on lime : ennui.
- Qui se cassent, de sorte que l’objet que l’on voulait tenir échappe : on craint en son for intérieur une perte prochaine.
- Leur aspect fournit un premier présage: bien taillés et brillants, les ongles promettent au songeur une vie raffinée
- négligés, courts, malpropres: misère
- rupture des ongles: maladie
- mains sans ongles: indigence, faillite ou perte de travail
- se voir des ongles longs, forts et acérés comme les griffes du chat ou du lion: force et triomphe sur les adversaires.
- Rongés : (ou se ronger les ongles) peut indiquer une certaine fatigue du rêveur.
Opéra
- Presque toujours la représentation de la vie de la personne qui rêve, ou d’épisodes isolés, ou encore d’aspects non éclaircis.
- Que l’on entend : mise en garde contre le manque de sincérité chez des tiers.
- Dans lequel on joue un rôle : on jouera un rôle de premier plan, mais avec de légers revers.
Fourrure
- Attention à la fièvre et à des maladies possibles.
- Que l’on voit étendue ou suspendue : vie confortable.
- Que l’on reçoit en cadeau : annonce un mariage d’argent ou une liaison dans laquelle l’amour ou l’amitié ne se trouveront pas au premier plan.
- Que l’on porte : on passera une bonne journée aux frais de tiers.
- Voir quelqu’un enveloppé dans une fourrure : on trouvera un ami ou protecteur riche.
- Voir une ferme où l’on élève des animaux à fourrure : grande richesse de courte durée.
Ennemi
- Il faut entendre: rival aussi bien que concurrent ou ennemi personnel.
- Interpréter directement ce qu’on verra.
- Ainsi si vous rêvez adresser à votre ennemi des paroles conciliatrices, la haine va finir
- si c’est lui qui fait le premier pas, attendez vous de sa part à une tentative d’abandon de ses griefs.
- Se cacher à la vue de l’ennemi: il ne pourra vous atteindre
- être découvert dans sa retraite: il triomphera.
- Tuer son ennemi: on l’anéantira, etc.
Broderie
- Que l’on voit : exhortation à se montrer réservé dans un certaine affaire.
- Que l’on fait ou que l’on porte : en essayant de se placer au premier rang dans une affaire, on attirera fâcheusement l’attention sur soi.
- Se voir broder: ambitions qui vous préoccupent
- une femme qui brode: retour de la fortune.
Poing
- Fermé que l’on voit devant son visage : un ennemi prépare une surprise désagréable.
- Que l’on lève contre quelqu’un : on voudrait se trouver au premier plan.
- Que l’on ferme ou que l’on voit : querelle.