Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Hôpital

  • Réaction de consolation du bas vers le haut.
  • Que l’on quitte : on s’établira à son propre compte.
  • Il faudra s’adapter à court terme à une nouvelle situation, peut
  • être au moyen d’une intervention douloureuse.
  • Que l’on voit : amélioration de la situation.
  • Dans lequel on se trouve comme malade : il faudrait réexaminer un plan ou un projet, car l’objectif visé est remis en question.
  • Dans lequel on travaille : les relations que l’on a avec certaines personnes, sont un obstacle à la réalisation de l’objectif fixé.
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Comment proposer une interprétation

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Mosaïque

  • Que l’on voit : on s’occupera d’une question compliquée.
  • Que l’on produit : on fera naître des complications par son propre comportement.
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sandwich

Les significations du sandwich dans les rêves :

 

Il faut voir le sandwich part son coté rapide et efficace et aussi le symbole du repas rapide car manque de temps. Dans les rêves se voir en manger un peu indiquer une certaine forme de stress et l’impression de ne pas avoir le temps de faire tout ce que vous devriez.

 

sandwich

 

Votre rêve peut aussi signifier le besoin de régler rapidement une situation qui devient problématique et la force de trouver une solution qui mettra rapidement d’accord les parties en question.

 

Pour finir le sandwich est aussi le symbole de la nourriture pas cher, on peu donc y voir le sentiment que le rêveur n’arrive pas à faire ce qu’il voudrais et par ce symbole qu’il trouve des solutions pour tout de même pouvoir faire ce qu’il souhaite.

 

Autres significations du sandwich:

 

  • Besoin de faire le point.
  • En voir un, indique un sentiment de stress.
  • En manger un, signification d’un besoin de temps.
  • Peut aussi indiquer dans certain le besoin de vacances pour vous reposer de votre train train quotidien.

 

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Neige

La neige dans les rêves

La neige dans les rêves

  • Question de puissance sexuelle
  • la nature dort ou est morte
  • froid et froideur
  • la saison est le symbole de l’âge que l’on a atteint dans la vie.
  • Que l’on voit tomber (ou rafale de neige) : des nouvelles ouvrant la perspective d’un destin meilleur dans l’avenir.
  • Que l’on voit couvrant un paysage : bien être au foyer.
  • Tempête de neige : des temps difficiles, mais que l’on parviendra à surmonter.
  • Boule de neige ou bataille à coups de boules de neige : on ne devrait pas se laisser entraîner à de mauvaises actions.
  • Voir un bonhomme de neige : on aura en amour un partenaire froid.
  • Faire un bonhomme de neige : on veut temporairement être glacial jusqu’au fond du coeur.
  • Mauvais présage pour qui s’en voit couvert ou en ressent la froideur
  • préservation exceptionnelle si l’on voit la neige de l’intérieur d’un local clos et suffisamment chaud.
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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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Érotique

Source:doctissimo

Sexsomnie : un somnambulisme classé X

 

  • Accusé(e) par votre partenaire d’avoir des intentions coquines en plein sommeil, vous ne vous souvenez de rien… A moins d’avoir trop abusé de substances illicites, peut-être souffrez-vous de sexsomnie. Un somnambulisme sexuel moins exceptionnel qu’il n’y paraît…

Vos bas instincts se réveillent alors que vous dormez encore ? Moins avouables que les rêves érotiques, la sexsomnie transforme les bras de Morphée en étreintes plus concrètes… Zoom sur un trouble du sommeil très particulier.

Dormez comme vous aimez !

Depuis une vingtaine d’années, certains psychologues ont publié des articles souvent confidentiels sur un « comportement sexuel durant le sommeil », un « sexe dormant : une variante du somnambulisme », des « masturbations pendant le sommeil »… Mais deux récentes études portant chacune sur 11 cas de personnes attestent d’une trouble du sommeil d’un nouveau genre, baptisé sexsomnie.

Ce comportement se distingue du somnambulisme par :

    • Le plus souvent, la présence d’une excitation visible : érection, éjaculation, lubrification vaginale, rythme cardiaque élevé, sueur…

 

    • La focalisation des gestes autour de la sphère génitale

 

    • Une motricité réduite, pas de marche en dehors du lit… Pas question donc d’espérer faire avaler un égarement nocturne à votre voisine de palier…

 

Par rapport au somnambulisme, « l’éveil automatique est plus proéminent, les activités motrices sont relativement restreintes et spécifiques, et une certaine forme de conscience onirique est souvent présente » précisent les auteurs des études. Parmi les cas rapportés, on note une fréquence importante de comportements sexuels atypiques (paraphilies). Mais les psychologues supposent que ces comportements ont moins de chances d’être rapportés, lorsqu’ils restent « dans la norme sociale », particulièrement si le partenaire est une personne consentante.

Des histoires à dormir debout…

Non, les somnambules ne déambulent pas uniquement les bras levés devant eux en claudiquant maladroitement. Certains peuvent conduire un véhicule, manger ou même commettre un assassinat. Mais qu’ils soient capables d’avoir un comportement sexuel restait surprenant ! Et pourtant quelques cas sur le sujet laissent pantois…

    • Une jeune femme de 26 ans jette brutalement ces vêtements pendant la nuit et se masturbe violemment, poussant des gémissements et des cris évocateurs. Lorsque son partenaire la réveille, elle nie tout. Retombée dans les bras de Morphée, elle se « reprend en main » deux ou trois fois dans la nuit. Un égoïsme de plus en plus mal vécu par son conjoint…
    • Somnambule, un officier de police de 37 ans adopte un comportement sexuel pendant le sommeil au moins une fois par mois. Selon sa femme, l’homme n’a pas le même comportement sexuel lors de ces états de demi-sommeil « plus agressifs », « plus amoureux », « sans possibilité de l’arrêter »…

 

    • Un autre officier de police (une population qui décidément, ne dort que d’un oeil…) se révèle un tout autre amant pendant son sommeil : plus amoureux, plus attentionné, plus orienté vers la satisfaction de sa partenaire…

 

    • Un jeune homme de 27 ans se réveille régulièrement avec une éjaculation pendant la nuit depuis l’âge de 22 ans. Pour éviter ce comportement, il s’est lié les mains… Résultat : deux doigts cassés

 

  • Une jeune femme de 26 ans aguiche pendant son sommeil son conjoint de manière très explicite. En cas de réponse positive de ce dernier, elle se réveille et l’accuse de tenter d’abuser d’elle pendant son sommeil…

Moins amusants, certains cas ont débouché sur des notifications à la police lorsque le partenaire de ces ébats inconscient n’était pas consentant. Certaines associations de victimes d’abus sexuels craignent que cette sexsomnie ne soit injustement évoquée en vue d’être disculpé.

Comment vivre sa nuit sans réveiller l’autre ?

Les quelques cas confirmés permettent de déceler certains traits caractéristiques : la consommation d’alcool ou de drogues, un récent traumatisme émotionnel, un manque de sommeil, un stress ou un fatigue importants, la présence d’une apnée du sommeil, des antécédents familiaux…

Même si les études ne permettent pas d’avoir une idée du nombre réel de sexsomniaque, les scientifiques estiment que ce phénomène serait moins exceptionnel qu’on ne le croit. Selon eux, de nombreux patients souffrent d’un sentiment d’embarras et de culpabilité qui handicape la déclaration de ces faits. Pourtant des traitements existent.

Si vous pensez souffrir de sexsomnie, consultez un psychiatre. Les différentes prises en charge exposées dans ces études comprennent une psychanalyse, certains anticonvulsifs (benzodiazépines), le traitement des apnées du sommeil lorsqu’elles sont présentes, ainsi que l’éviction des facteurs de risque (alcool, drogues, manque de sommeil, stress…). Alors pour retrouvez des nuits plus calmes, n’hésitez pas à en parler.

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Nez

Illustration d'un nez

Illustration d’un nez

  • Question de puissance, dans la plupart des cas, interprétation sexuelle
  • parfois mise en garde contre une maladie de l’encéphale et des irritation.
  • Particulièrement grand ou anormal que l’on voit : équivalent d’une mise en garde de ne pas se mêler des affaires d’autrui.
  • Que l’on se voit à soi même : ne pas se laisser déconcerter dans l’exécution d’un plan ou d’un travail par les bavardages de tiers.
  • Qui ne laisse pas passer d’air : des obstacles ou des difficultés dans une affaire.
  • Que l’on voit saigner : perte de fortune.
  • Rêver avoir le nez coupé ou supprimé de quelque façon que ce soit: décès dans la famille
  • se voir un nez très développé en longueur et largeur: paillardise.
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Jambe

  • Sens sexuel (comme tous les membres).
  • Avoir une jambe saine : présage de joie et de bonheur.
  • Avoir une jambe malade : présage de pertes et de dommages.
  • Voir une jambe de cassée chez autrui : succès dans un concours, examen ou une compétition sportive, etc.
  • Le bris d’une jambe présage de grands malheurs
  • une fracture à chaque jambe annonce un désastre irrémédiable.
  • Se sentir faible sur ses jambes: impuissance du caractère
  • voir simplement ses jambes en rêve annonce un voyage, si l’étal des dites jambes présentait quelque chose d’insolite il faudrait y voir un présage sur les conditions heureuses ou fâcheuses du voyage en question.
  • Se voir une jambe de bois (à moins que l’on ne soit réellement unijambiste), chagrins.
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Comment vous endormir en 8 méthodes

Vous avez des soucis pour rejoindre Morphée et vous endormir ?

Meilleur sommeil

Vous vous tournez et retournez dans votre lit ? l’heure affichée sur votre réveil vous rappel que demain vous vous levez tôt mais Morphée refuse de vous accueillir ?

 

Le stress, la fatigue et oui parfois même en étant couvert d’une extrême fatigue s’endormir se fait très difficile. Le point clef principale c’est de se vider la tête, de ne penser à rien afin de pouvoir sombrer. Oui vous me direz, il est drôle lui, c’est bien ce que j’essaie de faire que de ne pas penser à mes problèmes de la journée ou à l’excitation d’une bonne nouvelle… Il n’y pas de mystère un esprit encombré aura plus de mal à trouver le sommeil.

 

Heureusement des scientifiques se sont penchés sur la question et je vais essayer ici de vous donner 8 techniques pour vous endormir plus facilement, bien qu’une n’est pas mentionner ici mais compter les moutons peu parfois aider certaines personnes à  s’endormir 🙂

 

 

Dans cette série d’articles nous vous donnerons des méthodes pour mieux, ainsi que plus rapidement, vous endormir et donc profiter d’un sommeil plus long et de meilleurs qualité.

 

vos-reves.com en plus d’être votre bible des rêves vous permet d’améliorer votre sommeil et ainsi profiter pleinement de votre vie éveillée.

 

Bonne nuit 😉 et faites de beaux rêves !

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