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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

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Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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Rechercher un rêve

Vous venez de vous réveillez et vous vous rappelez de votre rêve ou de vos rêves que vous avez fait durant votre sommeil ?

 

Vous êtes au bon endroit !

 

Faites une recherche et comprenez l’interprétation de votre rêve rapidement et gratuitement grâce aux milliers de définitions de rêves présentes dans notre base de données.

 

Bonne recherche et si vous malheureusement vous ne trouvez pas votre rêve dans le dictionnaire des rêves n’hésitez pas à utiliser notre forum pour avoir une interprétation précise et personnaliser de votre rêve !

 

Bonne journée à toi le rêveur !

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Nombril

  • Recherche des causes de l’inquiétude que l’on ressent, d’un secret intérieur.
  • Que l’on voit, que l’on sent, ou avoir une hernie ombilicale : danger pour ses proches.
  • Ici les avis diffèrent.
  • Artémidore interprète le rêve de celui qui voit un nombril comme présage de la perte de ses parents
  • Représente la femme avec laquelle on a les plus grandes attaches.
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La méditation

Une autre façon de reposer son soi !

 

 

La méditation, pratique au cœur de certaines religion ou autre forme plus récente de spiritualité permet, grâce à une concentration centralisée, de se ‘régénérer’ mais surtout de se reposer intellectuellement.

D’après une étude américaine, il est prouvé que la méditation modifie de façon durale le fonctionnement du cerveau.

 Meditation

Une pratique pas si facile :

 

Malheureusement la méditation n’est pas une chose simple à réaliser, l’environnement et la condition de la personne qui tente cette pratique est très importante.

En effet il faut arriver à trouver un endroit calme, reposant. Les bruits ou interaction extérieures sont des éléments qui empêche la bonne pratique de la méditation.

Il existe plusieurs technique pour obtenir la méditation, certaines pratique comme celles du yoga ou du tantra, certaines rattachées à des religions ou complètement corrélées.

La principale forme de méditation bien connue consiste à trouver un endroit calme, de préférence devant un mur ou dans un pièce sombre puis de trouver une posture confortable et concentrer son attention sur un objet ou une pensée afin de pouvoir faire le vide et élimer toute forme d’interaction visant à « déconcerter » le méditant.

Une petite recherche sur notre ami google vous permettra d’avoir des modes d’emploi à une bonne méditation ce qui n’est pas le but de cet article.

Les biens faits :

 

Si les neurologues savaient depuis longtemps que le cerveau d’un méditant a un fonctionnement sensiblement différent de ce son fonctionnement dans un état normal, l’étude américaine montre que la méditation peut aussi engendrer des modification neuronales plus durables, en gros une personne qui médite modifie son cerveau de façon plus pérenne.

Une méditation régulière permet de devenir moins sensible au stimulations de l’environnement, l’idée c’est que notre méditant sera moins sensible de façon émotionnelle au stimulus extérieur, vers une stabilité émotionnel plus durable.

Et pourquoi parler de ça sur vos-reves.com ?

 

J’y viens, l’idée c’est que le rêve permet de reposer notre conscience en faisant le ménage de notre activité journalière, du coup la méditation serai un complément aux rêve, le fait de pratique un demi par jour de méditation pourrais permettre une meilleurs stabilité émotionnel, mais aussi vous permettre d’avoir une meilleur concentration.

Le rêve permet de faire un reset émotionnel de notre vécu et de notre journée… La méditation est clairement un complément à ce procédé.

Pour conclure,

Un esprit sain dans un corps sain, déjà entre un bon sommeil et une petite méditation l’esprit se porte mieux… pour le corps, je vous propose de faire un peu de yoga qui cumul une pseudo pratique de la méditation ainsi qu’un entretien physique, que demander de plus, d’une pierre 2 coups.

Sur ce bonne méditation et faites de beaux rêves.

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Drapeau

  • Symbole de plans concernant la vie, de créations et de polarité.
  • Voir un drapeau battant au vent : désagréments et souffrance.
  • Le porter : prestige.
  • L’abaisser : repentir à propos d’une action.
  • Un drapeau noir : inimitié.
  • Porter le drapeau national : on rendra un service à son pays.
  • Voir beaucoup de drapeaux sur la façade des maisons : le gouvernement du pays aura la main forte.
  • Brandir un drapeau : les temps seront bons.
  • La couleur de ce drapeau donne une première indication
  • son état en fournit une seconde.
  • Le drapeau indique vers quoi vont tendre vos efforts
  • ainsi voir votre drapeau national indique que vous allez rechercher la considération publique
  • un drapeau brun: occupations matérielles, recherche de profits, etc.
  • Tenir un drapeau indique toujours quelque succès.
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Vache

  • Recherche de la sécurité dans le calme et pour longtemps.
  • Que l’on voit : très bon présage.
  • Que l’on trait : on gagnera beaucoup d’argent sans beaucoup de peine.
  • Par laquelle on est poursuivi : mise en garde contre un ennemi qui pourrait devenir dangereux par sa sottise même.
  • Morte : de graves dommages dans une affaire.
  • Voir une étable : guérison d’un mal.
  • La vache symbolise la vie matérielle.
  • Un cultivateur rêvant de vaches peut interpréter cette vision comme un présage de fertilité si les vaches sont grasses et d’infécondité si elles sont maigres
  • chaque vache peut signifier une année.
  • Plus généralement la vache représente des produits, des marchandises et l’abondance des vachers qu’on rêve dans une localité se rapporte à l’intensité du trafic commercial qui s’y livrera.
  • Bien que la vache ne soit pas utilisée comme monture, rêver qu’on se trouve sur une vache calme et qu’on parcourt lentement quelque localité est bon signe pour le gain.
  • Une ou plusieurs vaches maigres, écorchées ou en fuire sont de mauvais augure et prédisent des malheurs.
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Établissement d’enseignement supérieur

  • Que l’on voit : progrès intellectuels.
  • Que l’on fréquente : chance dans l’avenir.
  • Dans lequel on est élu à un poste : grand honneur, mais en même temps vie monotone, à l’écart. Étain
  • Que l’on coule : on apprendra des nouvelles étranges. Étaler
  • Orgueil ou fierté.Étalon
  • Pour les femmes, symbole purement sexuel
  • recherche d’une vie puissante. Les hommes montant des étalons espèrent que leurs désirs se réaliseront. Étang
  • Que l’on voit : une expérience douloureuse sera suivie d’un bonheur nouveau.
  • Rêve de fécondité : association avec un liquide amniotique.
  • Que l’on voit avec de l’eau claire : on trouvera un nouvel ami ou une nouvelle amie.
  • Avec de l’eau trouble ou sale : on surprendra un ami ou une amie au cours d’une infidélité.
  • Avec beaucoup de poissons : on recevra beaucoup d’argent.
  • Avec des poissons morts : perte d’argent. Étau
  • Que l’on voit ou avec lequel on voit des tiers travailler : on sera bien coincé.
  • Avec lequel on travaille : on est coincé, mais on parviendra à se libérer. Éteindre
  • Une lumière ou une lampe : voir ‘Lumière’, ‘Lampe’, ‘Lanterne’.
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Moulin

Les moulins dans les rêves peuvent signifier les choses suivantes :

  • moulinRecherche de la sécurité, mais crainte secrète de ne pas parvenir au but.
  • Que l’on voit : on vivra quelque chose de beau ou d’avantageux.
  • Arrêté : bonheur en amour.
  • Moulin qui fait tic-tac : un travail rentable.
  • Voir un moulin tourner utilement, e’est à dire moudre quelque chose, indique votre réussite malgré les apparences ou les mauvaises prédictions qu’on vous aurait faites
  • Si l’on voyait tourner le moulin à vide se serait le présage inverse qu’il faudrait tirer.
  • Moulin à vent : Que l’on voit : situation incertaine.
  • Les ailes du moulin par lesquelles on est happé (ou par la roue d’un moulin) : une liaison amoureuse lourde de conséquences.
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Safran

  • Recherche d’une issue à l’insatisfaction intérieure, qui a entraîné une monotonie exagérée.
  • Le safran est signe de biens et de discours charitables, ou de joies suivies de deuil
  • quelquefois ce songe est un avertissement au songeur afin qu’il prépare une chose dont il aura besoin.
  • Se teindre le corps de safran: est signe de chagrins et de douleur.
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