Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Chute

  • A laquelle on assiste ou que l’on fait soi même : un projet ou l’avancement se heurte à des difficultés imprévues.
  • Rêver que l’on tombe par terre: disgrâce, revers, mauvais résultat d’une présomption.
  • Chute dans l’ eau: danger grave.
  • Tomber dans la boue: déception, promesse non réalisée, manque de parole.
  • Tomber de haut, d’un point élevé signifie évidemment l’arrivée de l’adversité succédant au succès, mais si la chute s’effectuait dans une excavation, un puits par exemple le présage prendrait un caractère tragique.
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Interprétation des rêves d’oiseaux

Symbole de liberté et de rupture entre la terre et le ciel, l’oiseau par sa liberté représente souvent votre besoin d’évasion et de pouvoir voir / faire de nouvelles choses.

Les oiseaux de proie / oiseaux qui volent en rêve:

oiseau
Généralement mauvais présage, si ces derniers vous foncent dessus attention des menaces planent sur vous.
Des oiseaux qui volent en cercle au-dessus de vous, vous risquez d’être le dindon d’une farce que vous ne voyez pas venir.
Si le vol est paisible, un sentiment de liberté se dégage.

La captivité :

L’état de captivité de l’oiseau dans les songes est souvent lié à votre relation aux autres ainsi un oiseau qui vous échappe peut être interprété comme une rupture dans vos relations sentimentale. Un oiseau que vous capturez sera le symbole de nouvelle amitié ou d’une relation amoureuse qui semble vous rendre heureux.

Attention néanmoins un oiseau qui vit en captivité peut aussi indiquer une frustration et un besoin de renouveau et d’air frais dans votre vie.

Une cage vide est souvent liée à des duperies ou des tromperies de la part de personnes qui vous sont proche.

Le chant des oiseaux :

Suivant le ressentit du chant dans votre rêve cela peut indiquer un bonheur ou bien au contraire une mise en garde contre des personnes mal intentionné qui semble vous vouloir du mal et interférer dans votre vie sentimentale.
Le chant des oiseaux est aussi lié aux sentiments amoureux et à votre ressenti vis-à-vis de votre vie amoureuse.

Sa couleur :

Un oiseau blanc symbolise la liberté et la paix, la couleur de votre oiseau serra sombre plus il faudra interpréter cela comme une référence à un malheur ou le sentiment que des personnes vous veulent du mal.

L’interprétation du rêve d’oiseau proposé ici n’est qu’une aide pour avoir des pistes pour comprendre votre rêve. Utilisez le dictionnaire des rêves ou notre forum sur les rêves pour obtenir une signification plus fidèle.

 

Interprétation liées dans le dictionnaire des rêves : oiseaux / pie / aigle / cage

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Mine

  • La mine se référé à tous les biens qui sont cachés, non encore apparus ou connus, tels que les trésors , les productions de la terre, une science nouvelle, etc., et quelquefois à un mal inconnu.
  • Voir une mine est, pour un cultivateur, signe de récolte
  • pour un commerçant, de bénéfices provenant de récoltes
  • pour un savant: découverte, fondation, institution d’une science nouvelle
  • et lorsqu’il rêve de distribuer ce qu’il trouve dans la mine, cela est signe d’utilité publique provenant de sa découverte, ou de la science nouvelle fondée par lui.
  • Pour un souverain en guerre, une mine est signe de victoire avec la conquête d’une ville fortifiée
  • pour l’infidélité ou l’hérétique, elle annonce qu’il répandra la zizanie dans le peuple, au préjudice général.
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Baiser

  • Que l’on donne : une prière recevra une réponse négative.
  • A une femme : on est très apprécié de l’autre sexe.
  • A un homme : on sera invité à donner sa démission.
  • A sa mère : désir de tendresse.
  • A une personne âgée : déception en amour.
  • Sur les mains : chance en amour et amitié.
  • Voir des tiers se donner un baiser : tristesse.
  • Baiser la terre : chagrin et humiliation.
  • Donner un baiser sur le visage : succès.
  • Vouloir donner un baiser, mais n’en avoir pas la permission : mélancolie.
  • Recevoir un baiser : on est estimé.
  • Échanger beaucoup de baisers : bonnes perspectives.
  • Embrasser un jeune homme ou un homme sans électivité spéciale: on obtiendra par lui quelque bénéfice
  • le faire avec sympathie: présage inverse.
  • Embrasser une jeune fille: grandes satisfactions.
  • Embrasser une maison, affirme la tradition, signifie l’obtention des faveurs d’une femme.
  • Embrasser un mort: s’il vous est inconnu: vous avez de longues années à vivre et il vous viendra du bien par héritage.
  • Être embrassé entre les yeux: signe de mariage
  • sur la bouche: imprudence en amour.
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Tremblement

  • Toujours fâcheux.
  • Trembler soi même: menaces d’événements redoutables
  • voir un tremblement de terre annonce épidémie ou accident collectif duquel on participera.
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Cordes

  • Entortiller de la corde sur du bois ou sur une personne, en tordre ou en mesurer, signifie : voyage.
  • Corde qui pend du ciel: piété
  • la prendre: droiture
  • si elle vous soulève: mort pieuse
  • si elle vous échappe des mains ou se brise: vous vous éloignerez des choses ou des personnes qui vous sont chères.
  • S’il vous reste dans les mains un morceau de corde: perte de grandeur, mais tout en conservant votre dignité et droiture
  • si elle vous revient toute entre les mains: retour de grandeur
  • mais si après qu’elle vous est revenue vous rêvez d’être soulevé une seconde fois: tromperie, mais mort pieuse.
  • Lorsque la corde pendant du ciel vous bat sur le cou, les épaules, les reins ou la taille: vous serez obligé de répondre, ou de payer pour un autre
  • mariage forcé, ou dont on fera les frais.
  • Attacher une corde à un bâton: mauvaise conduite ou magie.
  • Rêver que l’on est suspendu à une corde qui pend du plafond: honnêteté.
  • Si la corde pend du ciel: souveraineté, grandeur proportionnée à la distance qui passe entre le songeur et la terre, et lorsque la corde se casse: on perdra, après l’avoir obtenue, cette souveraineté ou cette grandeur.
  • Faire un noeud à une corde: religion, mais si ce noeud ne réussit pas: on se trouvera dans les mêmes conditions qu’auparavant
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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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Semailles

  • Peut s’interpréter de deux manières.
  • D’une part semer a trait aux relations intimes et présage grossesse, à moins qu’on ne voie ressortir de la terre le semences.
  • D’autre part semer se rapporte au travail ou au commerce du songeur.
  • C’est ainsi que semer du blé et voir pousser de l’orge signifierait apparence meilleure que la réalité
  • semer du blé de belle apparence pronostique très grand succès dans l’avenir, récompense des efforts présents.
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Cavalier

  • Un cavalier que l’on voit : séduction, tapage et inquiétude
  • Le cavalier chez les femmes une aventure.
  • Que l’on est (rêves d’hommes) : on a de l’assurance.
  • S’il descend de sa monture: pertes
  • s’il reste gisant à terre: blessures
  • monter en croupe derrière un cavalier indique protection d’autant plus efficace que vous le verrez plus robuste et plus alerte.
  • Pour les jeunes filles et les femmes, un cavalier que l’on voit, une amourette secrète
  • pour les hommes une nouvelle importante.
  • Voir des cavaliers du dimanche : on fera la connaissance de personnes qui veulent être plus qu’elles sont.
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Semence

  • On craint que la récompense de certains travaux soit oubliée.
  • Que l’on met en terre : on désir ne se réalisera pas tout de suite.
  • Que l’on voit en herbe : exhortation à se montrer prudent et à prendre des précautions avant de s’engager dans un projet sous peine d’échec.
  • Se pencher sur un champ ensemencé : par mégarde ou délibérément, on cause la ruine d’un bel espoir que l’on avait formé.
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