Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Grossesse

Les rêves ou vous voyez des femmes enceintes ou que vous vivez une grossesse peuvent interprétés de la façon suivante :

grossesse

  • Changement de manière de vivre.
  • Revoyez vos priorités.
  • Voir une femme enceinte : la chance semble être de votre coté.
  • Vos espoirs vont porter leurs fruits.
  • Peut indiquer un climat positif dans votre vie sentimentale, néanmoins si vous voyez quelqu’un d’autre que vous dans cette état faites le point sur vos sentiments.
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Lait

  • Souvent symbole sexuel
  • sinon, s’interprète comme ‘Eau’
  • bon présage, s’il est clair
  • mauvais, s’il est trouble.
  • Que l’on trait : chance et succès dans la réalisation d’un projet.
  • Que l’on voit : plaisir innocent ou joie pure.
  • Que l’on renverse ou que l’on laisse passer par
  • dessus : on se fait des soucis superflus à cause de quelque chose.
  • Que l’on boit : on se fera beaucoup apprécier pour quelque chose.
  • Aigre : mécontentement et contrariétés.
  • Que l’on a dans les seins : chez les femmes jeunes, grossesse
  • chez les femmes âgées, gains matériels.
  • Préparer ou manger des laitages : changements positifs.
  • En boire: préservation, si on l’absorbe avec plaisir
  • rêver d’une femme dont les seins sont pleins de lait: grossesse pour celte femme.
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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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Embarcation

  • On est prêt à assumer un risque pour avancer.
  • Dans laquelle on se déplace : on peut s’attendre à un changement positif.
  • Changement de direction dans la vie
  • l’eau est moins sure, surtout si elle est trouble.
  • Voir une embarcation : présage de changement.
  • Faire une excursion avec une embarcation : si le temps est clair, présage d’événement favorable
  • sinon, événement défavorable (cf ‘Canot’).
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Les moyens de transport

La voiture ou automobile, le bus ou le tram, l’avion ou le bateau, tous ces outils de locomotion que vous utilisez lors de tous vos déplacements.

Ici nous parlerons du principal moyen de transport personnel tel que votre automobile, puis nous analyserons la signification des autres moyens de locomotion (bus, tramway, bateau, avion …).

Tous les moyens de déplacement dans l’espace sont des symboles forts dans votre songe. De part la nature évolutive dans une situations, ces derniers sont souvent lié à l’évolution de votre vie.

voiture

Votre voiture, automobile, titine …

Ici nous attirons principalement votre attention sur le fait que ce moyen de transport est en votre possession et qu’il vous appartient, c’est important pour la suite de l’explication.

  • Si vous rêvez que vous ne conduisez pas cette voiture, cela peut indiquer que vous avez l’impression de subir la situation, ou de profiter de l’aide d’autrui. Il faut savoir ici que vous êtes passif et de ce fait vous n’avez pas le choix dans la destination. Vous êtes passager à l’arrière, le sentiment de soumission vis à vis des choix dans votre vie est encore une fois présent, mais cette fois-ci vous ne cherchez pas à faire d’effort pour évoluer votre situation.
  • Si vous êtes le conducteur, retenez le symbole de puissance et de contrôle sur la situation, mais faites attention aux nids de poule qui jonchent la route.

Dans le cas d’un accident :

  • Si vous êtes à l’intérieur du véhicule, très mauvais présage avec tout de même une possibilité d’évolution positive si l’accident n’entraîne pas de décès. Dans le cas contraire vous semblez être dans une situation difficile, faites attention.
  • Si vous n’êtes pas à l’intérieur du véhicule, vous semblez avoir jeter l’éponge, quitter le navire, mais faites attention au retour de flamme car vous ne serez pas épargné.

Une voiture trop chargée peut indiquer des soucis au niveau de votre relation aux autres. Cherchez de ce côté.

Les autres moyens de transport… Les transports en commun.

Ce type de transport est associé aux contraintes : contrainte de temps, d’horaires et de place. Généralement les transports en commun vous imposent une situation.

  • Vous avez vos billets ?
  • Vous êtes en retard ?
  • Vous ne trouvez pas de place ?

Si vous avez déjà vos billets c’est déjà un bon point, vous semblez avoir une forte autonomie et vous êtes capable de gérer vos situations.

Si vous n’avez pas prévu vos billets et que cette situation vous empêche de prendre votre moyen de transport, on peut avoir l’impression que vous subissez une situation et que malgré vos efforts, vous ne parvenez pas à vous affranchir. On peut aussi voir la situation d’un autre angle et que cette situation vécue en rêve est une situation qui vous est familière dans votre vie éveillée. Ici aucune interprétation spécifique ne peut être faite.

Si vous êtes en retard, on peut voir cela du point de vue que vous avez « loupé le coche » pour une opportunité dans votre vie.

Vous ne parvenez pas à trouver votre place dans le bus ou le train ou le moyen de transport en question ? Cela peut indiquer une certaine timidité et un manque de confiance en soi. Vous avez besoin de vous affirmer.

En cas d’accident, dans la majorité des cas, cela indique une évolution défavorable dans votre vie, un projet important qui tombe à l’eau.

Finalement, les moyens de transport en rêve :

Globalement à vous de voir comment avancer. Si le rêve est plutôt positif, garder vos priorités et vos objectifs, dans le cas contraire recentrez vous et fixez vous de nouveaux objectifs.

 

Rêves interprétés dans le dictionnaire des rêves : voiture / avion / velo / accident de voiture

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Cheveux

  • Peut être lié au stress vécu dans votre vie, faites le point sur vos responsabilités.
  • Vous avez beaucoup trop de chose à faire sur votre TODO list.
  • Si vous les coupez, faites bien attention de faire ce qu’il faut afin de pouvoir réaliser vos objectifs.
  • Si vous les coiffez, changement positif dans votre vie sentimentale.
  • Rencontre d’une ancienne connaissance à prévoir.
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Héritage

  • L’héritage imprévu est une cause de querelle et de contrariétés.
  • Faire un héritage : on va perdre soudain beaucoup d’argent et connaître de ce fait misère et chagrin.
  • Refuser un héritage : changement positif de la situation.
  • Contestation, rupture d’amitié propos d’argent.
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Étoiles

  • Symbole féminin, suivant les cas peut indiquer de la méfiance vis à vis de sa propre féminité, dans d’autre cas mise en garde vis à vis des autres femmes.
  • Également symbole de chance, de bonne étoile qui veille sur le rêveur.
  • Les objectifs que vous vous êtes fixés seront dans l’ensemble réalisables sans trop de difficultés.
  • Symbole très positif.
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