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Un accident dans les régions glacées du Sud.

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Bonjour!
Bien que je n’ai pas encore tout à fait fini de décrypter le rêve précédent, j’en profite pour coucher celui-ci tant qu’il est encore frais.

J’étais en voyage en Argentine. Il y avait cette atmosphère qui me faisait tout de suite me sentir seule -ce n’était ni désagréable, ni agréable; juste un fait. Ça faisait déjà quelques semaines que j’étais dans le pays et j’ai rencontré des connaissances de chez moi. Je leur ai expliqué comment tout fonctionnait ici.

Plus tard, nous sommes parties toutes les trois ensemble faire une excursion dans le sud du pays. Et nous avons pris un tout petit avion blanc à hélices pour rentrer à la capitale. Il faisait nuit, froid, et très venteux.
Sauf qu’il arriva un accident: le pilote et l’une de notre amie se sont évanouis. On n’a pas cherché à les réveiller car on avait l’intime conviction qu’ils ne se réveilleraient plus jamais. Ça faisait froid dans le dos, mais étrangement, on était sûr de ça.
L’avion était en train de s’écraser à une allure folle vers le milieu de la mer d’un noir insondable. Nous nous sommes équipées et nous avons sauté dans le vide. L’une des deux a eu du mal à activer son parachute, mais il s’est ouvert au dernier moment, et nous avons fait en sorte d’atterrir sur une terre quelconque et non dans l’eau, c’est ce qui m’angoissait le plus -j’ai une peur invraisemblable de ce qui peut se cacher dans le noir et dans le fond de l’eau. J’avais peur d’être touchée par les animaux marins, de sentir quelque chose de désagréable au toucher, ou de mourir portée vers le fond, à cause des énormes baleines, des orques, ou bien des requins. On est tombées dans l’eau mais pas loin d’une bande de terre gelée, sorte de banquise, et on a vite vite vite nagé jusqu’à elle. Puis, épuisées, nous nous sommes couchées sur le dos et on a attendu les secours. On était pas très loin du continent, on savait que certains passaient en bateau.
On était tellement gelées à cause de l’eau, du vent glacés, qu’on pensait que si quelqu’un viendrait, il pourrait nous casser un doigt rien qu’en nous prenant la main.
Finalement un marin seul est venu nous sauver. Tout est bien qui finit bien en somme, même si on avait la mort d’une amie sur la conscience…

baptiste51 Question répondue 16 juin 2019

L’inconscient est toujours amical, c’est vrai. Pourant, on en a pas conscience toujours.

Quand on dit « être un requin », souvent dans le domaine professionnel, c’est aussi être féroce et intraitable pour atteindre son objectif. La grosse niac. La confiance?

La terre, c’est le côté apparent, au final? La face émergée de l’iceberg.
Je ne saurais mieux exprimer ce que vous venez de décoder: je manque d’affection et ce changement de température m’a épuisée. Je me voyais presque m’éteindre endormie dans le froid, dans ce rêve.

Un marin est un homme dont le métier ou l’intérêt est la mer. Il aime voguer et connait tous ses secrets, ou presque. C’est un type de personne à l’aise avec l’eau. Parfois il aime pêcher quand il ne prend pas le bateau pour découvrir, explorer, ou juste se relaxer au rythme des vagues avec les rayons du soleil caressant la peau.
Il avait le teint hâlé, une chemise et un béret. Si c’était son métier, il devait le faire par pur plaisir et pour lui-même. Les couleurs qui portaient étaient plutôt marrons; ce n’est pas un détail qui devait être important. Il était dans une barque blanche munie d’un moteur. Je sais qu’il avait l’air calme, sympathique et vrai. Peut-être aurait-il eu 35-40 ans.

Le prénom, j’en ai eu un en tête, mais il a aussitôt disparu. J’aurais peut-être dit Jean/Juan ou bien Fernando.
Il me semblait être presque assez commun comme personnage.

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