42493 rêves interprétés dans notre dictionnaire des rêves à la lettre

Les grands travaux sont presque finis, beaucoup de sentiments y naissent.

bonjour Lily

je ne vous en veux pas. j’étais moi même aussi en vacances . invité à être témoin d’un mariage qui a été annulé trois jours avant. la vie nous réserve toujours des surprises n’est ce pas?
Je lis votre réponse .

cette salle de sport correspondrait donc à votre parcours scolaire? . Il s’agit d’un sous-sol. donc vous y voyez clair un peu , mais pas totalement .

Dans le cadre de votre parcours universitaire vous justifiez le fait de faire peau neuve en envisageant autrement votre parcours scolaire et en vous y préparant dès à présent.
Vous avez le vertige parce que vous craignez la future année scolaire . On a le vertige lorsque l’on est en hauteur . Vous seriez donc dans les idées, les raisonnements , les déductions logiques devant cette future année universitaire et cela vous effraye .
Dans le cadre de votre parcours universitaire il vous reste à justifier « comment deux adversaires seraient amenés à s’affronter »  » comme dans une salle de sport .?

douce journée

cordialement

Les grands travaux sont presque finis, beaucoup de sentiments y naissent.

Bonjour Baptiste!

Ah mince! J’espère qu’il ne s’agissait qu’uniquement d’un contre-temps.
C’est vrai!

J’ai tenté de re-visualiser tout ça dans mon esprit, et on peut dire qu’une cave, un sous-sol -voire même un grenier-, est l’endroit parfait pour entreposer des tas d’objets inutiles qu’on regarde moins et qui prennent la poussière. À la différence d’un grenier, il se situe en bas, sous le sol; ‘au plus profond de moi-même’, si l’on suit le raisonnement maison = moi (ce dont je suis totalement convaincue).

Ce sous-sol est particulièrement vide, vaste et haut comme une salle de sport, et encore dénudé de décoration. J’ai dit aussi qu’il y avait déjà deux/trois meubles disposés au centre de la pièce.
Si ce que je pense aujourd’hui n’est pas insensé, -et je crois que je vais mathématiser ça, attention suivez-moi- maison = moi, et vu que la maison est en travaux, moi (intérieur) = en travaux. Ça rejoint ce que nous disions tout-à-l’heure.

Je pense donc qu’il reste des peurs, des émotions tout au font de moi-même qu’il me reste à travailler. Je remarque qu’avec les nouveaux meubles, j’ai déjà commencé à accomplir certaines choses dans ce travail.

On peut peut-être dire que les meubles représentent à eux-seuls une peur ou une émotion particulière et d’actualité à laquelle il faut jeter un œil vite. Le lit, c’est un petit nid douillet où l’on se repose (et partage également quelques scènes d’amour); c’est l’objectif des travaux. Néanmoins, c’est accessible puisque la mezzanine possède une échelle; l’objectif est alors à ma portée, mais même si ça me fait rêver d’y accéder, j’en reste impressionnée par la hauteur, loin du sol.

Probablement que mon parcours scolaire en fait parti.

Pour le sous-sol qui m’évoque une salle de sport: je dirais qu’il y a dans l’atmosphère un sentiment de ‘petite compétition’, une sorte de challenge. Un peu comme si je deviendrai une championne en atteignant les objectifs. Vous voyez?
Si, contrairement à ce que vous pensez, je vois très clair avec ces longs néons industriels; un vrai stade couvert et pas équipé!

Et puis, dans cette salle, il y a mon compagnon. Je pense qu’il matérialise un objectif en quelque sorte, puisqu’il arrive à monter dans un des lits. Par contre, celui-là, je crois en savoir quelque chose, mais j’ai du mal à me l’expliquer…

En ce qui concerne vos questions: en réfléchissant, j’ai plutôt fait ‘peau neuve’ de par pour m’occuper de mon année qui ne m’intéressait pas, mais aussi pour apprendre le contrôle de moi-même, mes besoins, et mon bien-être général.
J’en ai le vertige de tous ces objectifs qu’il me reste; c’est long, c’est loin. Peut-être que la morale de l’histoire serait la patience? Je devrais peut-être aussi apprendre à relativiser, ne pas m’abandonner à mon anxiété -surtout pour cette nouvelle année scolaire? Enfin, les ‘deux adversaires’ seraient peut-être les ‘deux moi’?

Bonne journée!

Les grands travaux sont presque finis, beaucoup de sentiments y naissent.

Bonjour Baptiste!

Ah mince! J’espère qu’il ne s’agissait qu’uniquement d’un contre-temps.
C’est vrai!

J’ai tenté de re-visualiser tout ça dans mon esprit, et on peut dire qu’une cave, un sous-sol -voire même un grenier-, est l’endroit parfait pour entreposer des tas d’objets inutiles qu’on regarde moins et qui prennent la poussière. À la différence d’un grenier, il se situe en bas, sous le sol; ‘au plus profond de moi-même’, si l’on suit le raisonnement maison = moi (ce dont je suis totalement convaincue).

Ce sous-sol est particulièrement vide, vaste et haut comme une salle de sport, et encore dénudé de décoration. J’ai dit aussi qu’il y avait déjà deux/trois meubles disposés au centre de la pièce.
Si ce que je pense aujourd’hui n’est pas insensé, -et je crois que je vais mathématiser ça, attention suivez-moi- maison = moi, et vu que la maison est en travaux, moi (intérieur) = en travaux. Ça rejoint ce que nous disions tout-à-l’heure.

Je pense donc qu’il reste des peurs, des émotions tout au font de moi-même qu’il me reste à travailler. Je remarque qu’avec les nouveaux meubles, j’ai déjà commencé à accomplir certaines choses dans ce travail.

On peut peut-être dire que les meubles représentent à eux-seuls une peur ou une émotion particulière et d’actualité à laquelle il faut jeter un œil vite. Le lit, c’est un petit nid douillet où l’on se repose (et partage également quelques scènes d’amour); c’est l’objectif des travaux. Néanmoins, c’est accessible puisque la mezzanine possède une échelle; l’objectif est alors à ma portée, mais même si ça me fait rêver d’y accéder, j’en reste impressionnée par la hauteur, loin du sol.

Probablement que mon parcours scolaire en fait parti.

Pour le sous-sol qui m’évoque une salle de sport: je dirais qu’il y a dans l’atmosphère un sentiment de ‘petite compétition’, une sorte de challenge. Un peu comme si je deviendrai une championne en atteignant les objectifs. Vous voyez?
Si, contrairement à ce que vous pensez, je vois très clair avec ces longs néons industriels; un vrai stade couvert et pas équipé!

Et puis, dans cette salle, il y a mon compagnon. Je pense qu’il matérialise un objectif en quelque sorte, puisqu’il arrive à monter dans un des lits. Par contre, celui-là, je crois en savoir quelque chose, mais j’ai du mal à me l’expliquer…

En ce qui concerne vos questions: en réfléchissant, j’ai plutôt fait ‘peau neuve’ de par pour m’occuper de mon année qui ne m’intéressait pas, mais aussi pour apprendre le contrôle de moi-même, mes besoins, et mon bien-être général.
J’en ai le vertige de tous ces objectifs qu’il me reste; c’est long, c’est loin. Peut-être que la morale de l’histoire serait la patience? Je devrais peut-être aussi apprendre à relativiser, ne pas m’abandonner à mon anxiété -surtout pour cette nouvelle année scolaire? Enfin, les ‘deux adversaires’ seraient peut-être les ‘deux moi’?

Bonne journée!

Les grands travaux sont presque finis, beaucoup de sentiments y naissent.

Bonjour Baptiste, je vais essayer!

La maison est en travaux, et elle est presque finie. La principale pièce à terminer est le sous-sol (endroit pouvant servir de débarras généralement, et se situant au bas de la maison).
-> Maison = moi; je réalise un travail sur moi-même. Une partie ‘plus profonde’ (= sous-sol) reste à être étudiée.

Quelques meubles neufs sont disposés dans la grande pièce, qui tend à ressembler à une salle de sport.
-> La pièce garde une atmosphère de ‘compétition’, ou de ‘challenge’. La présence des meubles montrerait que j’ai déjà commencé à accomplir certaines choses dans ce travail sur moi-même. Ils pourraient également matérialiser chacun un challenge que je souhaiterais faire.

Ces meubles sont des mezzanines, garnis d’une échelle pour atteindre ce lit en hauteur.
-> Le lit, espace de confort et de repos, serait donc le but de ce challenge, de ces travaux. Le réconfort après l’effort. Ils sont munis d’une échelle, et je peux constater que je peux facilement les atteindre mais je n’ose pas, car la peur de la hauteur (ou la difficulté) vertigineuse me retient. La salle est très bien éclairée; j’ai tout les atouts pour y arriver mais je m’obstine à la base de l’échelle.

Les seules choses qu’il me reste à expliquer sont: la présence de mon compagnon, qui lui arrive à monter dans un lit, et de son agenda spécial.

Est-ce que je vous ai aidé?

Les grands travaux sont presque finis, beaucoup de sentiments y naissent.

lily

j’ai finalement interrogé le yi king pour lui demander ce que je devais faire pour ce rêve, sachant que j’avais perdu le fil à mon sens . Il m’a dit qu’il était préférable de s’arrêter .
Je suis un peu soulagé car je n’aime pas faire du mauvais travail .
Je prendrai en priorité un de vos prochains rêves.
avec toutes mes excuses . bonnes fins de vacances
cordialement

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