Bonjour Baptiste,
Ce rêve est venu après celui des vers.
Je réfléchis mais je ne vois rien concernant la veille du rêve. C’était durant un week-end où nous sommes resté à la maison à glandouiller tout le week-end.
Dans le rêve, ce n’est pas mon compagnon qui me montre comment descendre. Je lui demande de me montrer, mais ni lui ni mes amis ne comprennent ma question. Je finis par me souvenir en réfléchissant et en regardant les cordes devant moi. Ca nuance un peu les choses alors pas de précipitation.
Mon compagnon dans le rêve est exactement le même que dans la réalité. Il porte ses vêtements de tout les jours, un pull noir et un jean je crois. En fait, aucun de nous ne porte les vêtements de sport pour l’escalade. On a tous nos habits de ville. Lui est détendu et monte sans difficulté, juste derrière nous. Est-ce une description suffisante ?
L’escalade est un sport à sensation qui fait travailler tout les muscles du corps. Au début je trouve ça très sympa. Je suis contente d’arriver jusqu’au bout, la paroi était facile. Et puis lors de ce trou de mémoire, je panique et j’ai le vertige. J’arrive quand même à regarder en bas pour parler à mon compagnon, puis je me souviens et il n’y a plus de problème.
Dans votre interprétation, j’ai dû mal à associer « chercher au fond de soi même » et « lâcher prise ». Je trouve que les deux s’opposent. Lorsqu’on cherche au fond de soi-même, on creuse, et donc on est pas dans le lâcher prise.
Ceci dit, tout le reste me semble correct (redescendre sur terre le regard tourné vers mon compagnon, passer de l’idéal mental à la réalité). Après mettre remise à jour sur ma vie professionnelle, je me suis reposée sur mes lauriers et suis retombée dans une phase d’inertie. Je pense qu’il fallait que je ressorte de ce coton de moi-même, en ne s’appuyant plus sur mon compagnon ou mes amis déjà en haut.